Doit On Et Peut On Contrôler La Masse Monétaire

Economie monétaire et financière Introduction générale : formes et fonctions de la monnaie La monnaie est un concept économique multidimensionnel car la monnaie occupe plusieurs fonctions dans les systèmes économiques contemporains mais elle revêt aussi différentes formes. La monnaie occupe des fonctions économiques, sociales et politiques. Il y a les dichotomiques qui pensent que c’est seulement un moyen de paiement et les keynésiens par exemple qui pensent que la monnaie peut être un outil

politique budgétaire : monnaie et taux de change. Si on veut accentuer la croissance et lutter contre le chômage, on met en œuvre une politique de relance. On utilise donc une politique budgétaire expansive, et l’augmentation de la dépense publique doit permettre d’augmenter la demande, et si la demande devient supérieure à l’offre, alors l’ajustement passe par une augmentation des prix. … Cette transformation est liée au débat théorique initié à partir de la fin des années 1960 par les néoclassiques

un instrument d’épargne ? a. La monnaie permet de transférer du pouvoir d’achat dans le temps. La monnaie détenue par un agent représente un pouvoir d’achat dont il dispose pour pouvoir acquérir des biens et des services. Ce pouvoir d’achat peut être différé dans le temps. La monnaie est donc un lien entre le présent et le futur. Remarque : l’épargne s’appelle consommation différée. On épargne pour pouvoir consommer plus tard. b. Les motifs de détention de monnaie Il y a trois motifs :

scripturale → monnaie gérée par les banques Monnaie électronique → monnaie informatique Les composantes de la monnaie : Les agrégats (instruments macroéconomiques) monétaires : Puisqu'on ne peut pas faire tourner la planche à billets car la masse monétaire doit correspondre au PIB du pays, on doit contrôler cette masse monétaire. Pour la contrôler, on utilise des agrégats. En Europe, on en utilise 3 : M1 : l'agrégat « étroit » , il comprend seulement la monnaie au sens strict → pièces, billets et dépôts

Ce post répond à la question de Monsieur Peyrelevade sur l'interprétation des propositions d'organisation bancaire et monétaire de Maurice Allais Chers amis blogueurs, Tous ces débats sont passionnants. Mais je ne comprends pas tout. Pour m'y retrouver je vais essayer de distinguer la réalité objective de sa mesure et du calcul effectué par les banques ; centrale ou commerciale refinancée totalement ou partiellement par la banque centrale. La mesure de la réalité se fait par la monnaie qui visiblement

disposant de n biens échangeables mais d’une unité de compte commune, le nombre de prix relatif à calculer est égal à n-1. La monnaie est aussi un instrument de paiement qui permet d’acheter n’importe quel B &S. C’est un équivalent général, on peut convertir tous les B & S. Il faut qu’y ait un consensus social pour que cela puisse fonctionner. Pour que la monnaie soit acceptée il faut qu’il y ait confiance et croyance. La double coïncidence des désirs : il faut que les deux aient quelques

FINANCEMENT ET POLITIQUE MONETAIRE NOTION, ANALYSE ET MESURE DE LA MONNAIE 1 NOTION DE MONNAIE La monnaie est un instrument d’utilisation permanente pour tous les agents économiques. C’est un bien indirect représentant un droit de créance et constituant un moyen de libération générale, indéterminée et immédiate. 1 Les formes matérielles A l’origine, l’homme se procure se dont il a besoin par ses propres moyens puis au fur et à mesure de l’avancement de la civilisation, les hommes ne

dispositif qui peut stocker de la monnaie sans avoir besoin d'un compte bancaire et d'effectuer directement des paiements sur des terminaux de paiement. * Moyens de paiement : chèque , carte , TIP , virement , porte monnaie électronique * Actif liquide : il s’agit de monnaie fiduciaire,c'est à dire d'argent LIQUIDE (billets de banques, pièces) que l'on peut avoir en main pour des petites dépenses et à constante portée de main.  CHAPITRE 2 : LA CRÉATION MONÉTAIRE * Masse monétaire : quantité

marché est une danse, c’est l’Etat qui fournit la piste et l’orchestre. » ; Paul Valéry « si l’Etat est fort, il nous écrase ; s’il est faible nous périssons. » ; Pour John Stuart Mill[1] l’état doit agir en ignorant l’égoïsme de ceux qui refusent l’impôt comme la hargne de ceux que motive l’envie. Il doit pratiquer une politique qui, tout en maintenant le cadre concurrentiel et en respectant la propriété privée, réduise les inégalités. Pour JS Mill une telle politique suppose trois types d’intervention :

les uns par rapport aux autres. Elle détermine une échelle générale des prix entre tous les biens. Avec la monnaie, on peut mesurer et comparer des biens et des services différents. Elle constitue un véritable étalon de mesure, elle permet d’exprimer la valeur de tous les autres biens. La monnaie permet d’établir une échelle de prix simple et unique, exprimées en unités monétaires. La monnaie est alors une concrétisation de la valeur. • la monnaie comme réserve de valeur (temps) La monnaie est