Dom Juan Acte Iv Scène 4

contre son persécuteur. • Acte I - Arnolphe fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été tenue à l’écart. Horace, le fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe), se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour ne sachant pas que le personnage de M. de La Souche est en faite Arnolphe. Donc quiproquo sur la véritable identité de M.de la Souche tout au long de la pièce. • Acte II – Arnolphe décide de ne pas

Analyse de la Scène d’Exposition de Ruy Blas(Acte I, scène1) Dans quelle mesure cette scène d'exposition s'écarte-t-elle de la tradition classique ? Introduction : *Début du 19éme siècle= nouveau courant Drame Romantique=par V.Hugo *Le but du drame romantique= rompre avec la tradition classique=montrer la vie ss toutes ses facettes = Art Total *Procédés du DR= théorisés dans la préface de Cromwell(1927) : -mélange de la tragédie (passions)et la comédie(caractères)

d’athéisme en 1665, et deux de ses pièces Le Tartuffe et Dom Juan seront interdites. Il revient ensuite à la farce avec Les fourberies de Scapin et monte des comédies-ballets alliant théâtre musique et danse comme Le Bourgeois gentilhomme ou encore Le Malade imaginaire. Jean-Baptiste Lully fut à ce titre d’ailleurs son collaborateur. Avec Molière, nous nous trouvons donc dans le genre du théâtre, dont le monologue d’Harpagon (acte IV, scène 7) extrait de L’Avare s’inscrit dans le mouvement littéraire

2007) |Questions : 1) Quelles remarques pouvez-vous faire sur la forme poétique de chacun de ces poèmes ? | |- Hugo, Les Contemplations, IV |2) Quelles fonctions les poètes attribuent-ils à la poésie dans chacun des textes du corpus ? Vous justifierez votre réponse en vous fondant | |- Eluard, « Sept poèmes d’amour en guerre »,

Tartuffe ou l’imposteur est une pièce créée par Molière l’année avant Dom Juan en 1664. Rapidement interdite, elle sera finalement autorisée en 1669 après remaniement. Comme de nombreux personnages de Molière, le Tartuffe est devenu aujourd’hui un type : on utilise ainsi « tartuffe » comme un nom commun désignant un imposteur. En effet, cette comédie met en scène un faux dévot, hypocrite et manipulateur, s’introduisant dans la famille de Mr Orgon comme un

du monde après le refus de Célimène ne remet pas en cause l’ordre du monde). Le spectacle[3] Le texte de théâtre ne vit que quand il est porté par la voix de l’acteur et est mis en relation avec le public. Pour incarner des êtres fictifs sur scène, il fallait : - triompher du bruit (capacité physiques, un art de la diction) - capter l’attention du public, et la garder - faire participer le public et les comédiens dans cette même cérémonie qu’est la représentation théâtrale

lorsqu’il est entouré des gens tel que le supérieur et lorsqu’il est seul. Note 52 :  « il s’agit d’un manquement grave à l’éthique aristocratique, et il marque une étape dans la dégradation morale du personnage :on l’observait également dans le Dom Juan de Molière. » P119 : contraste entre religion et le libertinage qui oppose Tiberge et CG. P120 : « l’amour quoiqu’il trompe assez souvent, ne promet du moins que des satisfactions et des joies, au lieu que la religion veut qu’on s’attende à une

Acte I, scène 14 : « Par quel tour d’adresse est-il connu de Madame ?»  Acte I, scène 17 : « Ne trouvez-vous pas que ce petit galant-là fait les yeux doux ? » ; « Allons faire jouer toutes nos batteries » Acte II, scène 10 : « J’ai vu par hasard un tableau où Madame était peinte, et j’ai cru qu’il fallait l’ôter ». Acte II, scène 12  : « Madame, j’ai cru la chose sans consé- quence » ; « c’est le procureur qui a

vers (alexandrins) Titre original L'École des femmes Lieu de parution Paris Éditeur Jean II Guignard Date de parution 1663 Date de la 1re représentation en français 26 décembre 1662 Lieu de la 1re représentation en français Paris Metteur en scène Molière modifier Consultez la documentation du modèle L’École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement quatre, cinq, cinq, neuf et neuf scènes) et en vers (1779 dont 1737 alexandrins), créée au théâtre du Palais-Royal

à l’esclavage social (injustice et inégalité) : l’île des esclaves de Marivaux [théâtre] ➢ Montesquieu, les Lettres persanes (1721) [roman épistolaire] + comparaison avec lettre XXIV (manuel p.36) ➢ Beaumarchais, Le Mariage de Figaro acte V, scène 3[théâtre] ➢ Voltaire, Micromégas (1752)[conte philosophique]  1) Montesquieu, « De l’esclavage des nègres » tiré de L’esprit des lois, livre XV, chapitre V (1748) [essai] « Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre