Dom Juan Parodie

différents types : de mœurs (Tartuffe), de caractère (Les femmes savantes). L’éventail des comédies est large : des pièces sont toujours proches de la farce (Les Fourberies de Scapin), certaines, exceptionnellement, restent assez irrégulières (Dom Juan : trente-six heures, plusieurs décors, grande tension dramatique), enfin des pièces sont des spectacles complets (Le Malade imaginaire et sa farandole de docteurs ; Le Bourgeois gentilhomme et ses apparitions de merveilleux). 2) Perfection de

(événements imprévus, retournements de situation); - Le dénouement apporte une résolution au conflit. Il peut être l'aboutissement logique des tensions, le fruit d'une ultime péripétie, un retournement de situation, un deus ex machina (ainsi, dans Dom Juan de Molière). 4-LES REGISTRES Chaque registre exprime et cherche à susciter chez le lecteur des émotions différentes. Par ailleurs, certains registres sont plus particulièrement liés à un genre littéraire. LE REGISTRE TRAGIQUE Le registre

le rire) Donc a une portée sociale : traves de la société. Ex : bourgeois Mais aussi une portée morale : vices, défauts des H. qui traversent le temps. Ex : avarice Molière : Inspiration dans la Commedia dell’arte + création de la comédie ballet. Dom Juan : un H infidèle, séducteur, libertin, être de l'inconstance et du mouvement est accompagné de son valet Sganarelle et séduit les jeunes villes, nobles comme servantes. Il remet en q° dogmes religieux et cherche les défis jusqu’à son dernier : repas

de philosophie politique a influencé Montaigne, Pascal, et de nombreux souverains des cours européennes à la Renaissance. Baltasar Gracian (1601-1658), natif de l'Aragon, passa son temps à écrire dans le palais de son illustre protecteur Vicencio Juan de Lastanosa. Il inspira Molière, La Bruyère, La Rochefoucauld et plus tard Nietzsche. Il prodigue des conseils à l'honnête homme : « Toi qui aspires à la grandeur, écoute bien ce conseil : que tous te connaissent, que personne ne te comprenne...»

différents types : de mœurs (Tartuffe), de caractère (Les femmes savantes).   L’éventail des comédies est large : des pièces sont toujours proches de la farce (Les Fourberies de Scapin), certaines, exceptionnellement, restent assez irrégulières (Dom Juan : trente-six heures, plusieurs décors, grande tension dramatique), enfin des pièces sont des spectacles complets (Le Malade imaginaire et sa farandole de docteurs ; Le Bourgeois gentilhomme et ses apparitions de merveilleux).   2) Perfection de

pastichant les danses macabres : « Et j’suis précipité la tête la première Dans l’grand trou noir d’ ous qu’ on n’revient jamais » Quant aux dadaïstes, la mort n’ est qu ‘ un motif comme tant d’ autres propice à la fantaisie. Tristan Tzara parodie un crime passionnel dans sa «  chanson dada » : « Mais l’ époux le jour de l’ an Savait tout et dans une crise Envoya au Vatican Leur deux corps en trois valises » La mort se chante comme une comptine enfantine, à elle seule elle

nature variée. On peut distinguer dans cette forme de comique différents types selon les mécanismes sur lesquels il repose. *La déformation de la langue : le jeu est courant et se pratique encore beaucoup. Le patois dans la scène des paysans de Dom Juan de Molière mais aussi les accents étrangers, les fautes de grammaire, le jargon médical ou juridique, et même les néologismes sont des ressorts comiques importants.[7] Exemple : Alfred Jarry, Ubu roi : Père Ubu, personnage lâche et cupide devient

qu’elles étaient une parodie des 10 Commandements. De plus, quelques dévots ont jugé le quiproquo avec le ruban malsain et équivoque. Vient ensuite le tour de Tartuffe (1664), véritable attaque contre les dévots représentés par le personnage de Tartuffe, manipulateur, hypocrite et vil. La pièce sera interdite puis réécrite afin de ne plus attirer l’attention de l’Eglise, en 1669. Pour finir, c’est Dom Juan (1665) qui est totalement interdit à cause de son personnage Don Juan. Ce dernier, athée

d'exposition d'une œuvre dramatique est une scène fournissant les éléments nécessaires à la compréhension de la situation initiale. Il s'agit en général de la première scène, mais l'exposition s'étale souvent sur plusieurs scènes (comme dans L'Avare ou Dom Juan de Molière, où l'exposition est constituée par les deux premières scènes). La scène d'exposition est comparable à l'incipit d'un roman. Une bonne exposition, en dramaturgie classique, « doit instruire le spectateur du sujet et de ses principales

il y a des excès : la compagnie du Saint-Sacrement devient un groupe de pression : elle sera dissoute en 1665. C'est le renouveau du catholicisme à cette époque qui est à l'origine des multiples attaques contre Molière, pour ses pièces Tartuffe et Dom Juan, on le soupçonne d'impiété, de libertinage et son mariage avec la sœur de son ancienne maîtresse, qui a de plus vingt ans de moins que lui, donne un motif de reproche supplémentaire à ses détracteurs. D'autres auteurs sont également critiqués pour