Don DeLillo

commentaire dissertation écriture d'invention dom juan français I. La complicité de Don Juan A. Le double jeu de Don Juan · Il passe d’une femme à l’autre. · Les deux femmes sont présentes : nécessité d’un choix, risque d’être démasqué, possibilité de lutte. · La mise en scène : alternance Mathurine / Charlotte dans les didascalies. · Il promet la même chose aux deux femmes « une envie d’être ma femme » ; « voudrait bien que je l’épousasse ». B. Le double langage · Périphrases

parle plus qu'il n'agit réellement car il a été mis en échec dans l'acte II. Sganarelle veut convertir son maître en démontrant que Dieu existe. Mais il n'y parvient pas car sa démonstration est illogique. Quelles sont les positions de Sganarelle et de Don Juan vis à vis de la religion ? I) La démonstration de Sganarelle A) Sganarelle tente de démontrer l'existence de Dieu - Sganarelle incarne la morale traditionnelle et le bon sens populaire : croyance à Dieu, au « moine Bourru », « mon petit

cette opération mentale complexe qui consiste à anticiper, introduire une hypothèse (c'est différent d'entériner le fait). Le contrat introduit une réciprocité : don et contre-don (c'est une forme de socialité qui majore le cadeau que l'on donne en retour). Dans le contrat on échange un donné contre un possible. Dans le don, c'est le don qui porte l'obligation avec la chose. Le contrat suppose deux volontés qui s'abstraient de la chose et décident de la chose contre une autre prestation; il y a donc

Don Juan est le fils espéré du comte don Carlos de Maraña qui veut faire de lui un homme brave tandis que sa mère rêve d’un fils pieux. C’est un enfant très gâté et élevé dans le luxe et l’abondance de biens. Dans sa jeunesse, il fut marqué par un tableau de Moralès qui représentait les tourments du purgatoire infligés à des pécheurs ; tableau qui ornait l’oratoire de la comtesse de Maraña, sa mère. A dix huit ans, Don Juan, doué pour la religion et les armes mais beaucoup moins pour le latin, fut

L'histoire est la suivante : Don Juan s'enfuit de Naples après avoir séduit la Duchesse Isabelle en se faisant passer pour son fiancé. Pendant son voyage vers Séville, il fait naufrage et est recueilli par une paysanne qu'il séduit encore et qu'il abandonne aussitôt. A Séville, il se fait passer pour son ami La Mota pour séduire la maîtresse de ce dernier. Le père de la jeune femme, le Commandeur Don Gonzalo, meurt en voulant venger l'honneur de sa fille, Dom Juan le tue. Don Juan se retire à la campagne

difficultés financières, après que Tartuffe a été interdit en 1665. En effet, les dévots on déjà manifesté leur opposition à Tartuffe (1664) car Molière dénonçait l’hypocrisie religieuse. Les dévots se déchaînent à nouveau contre Molière qui avec Don Juan persévère dans la critique de l’hypocrisie. Il y a beaucoup de scènes comiques. Ce qui nous marque beaucoup c’est l’opposition des personnages principaux. En effet, Sganarelle crée un contraste comique avec Dom Juan. On est totalement étonné

- Ruy Blas : laquais de Don Salluste puis Premier Ministre. Jeune homme idéaliste, il est amoureux de la reine. - Don Salluste de Bazan, marquis de Finlas, grand d’Espagne, âme noire qui prépare un plan diabolique pour se venger de la reine et qui cause la perte de Ruy Blas. Il est froid, calculateur et sans pitié. - Don César de Bazan, comte de Garofa, cousin de Don Salluste, noble ruiné et marginal qui s’est fait bandit (sous le nom de Zafari) mais qui reste fidèle à son code d’honneur

incroyance, Don Juan la prouve. On peut se demander quel est le rôle de Sganarelle dans cette scène avec Don Juan et un pauvre. Pour répondre à cette question, il faut d’abord analyser le rôle de Sganarelle en tant que spectateur puis ses interventions. I- Sganarelle spectateur 1- L’effacement de Sganarelle Sganarelle obéit à Don Juan et demande leur chemin. Le pauvre s’adresse à tous deux ne sachant pas qui est le maitre et qui est le valet « messieurs ». Mais c’est Don Juan qui

Question sur corpus Problématique : Quelle vision offrent les trois femmes de Don Juan ? Ce corpus est composé de trois extraits de texte : le premier est issu de L’Abuseur de Séville et l’Invité de pierre de Tirso de Molina, écrit en 1630 ; le second est un extrait de Dom Juan ou la Festin de Pierre de Molière écrit en 1665 et le dernier extrait est tiré de Lélia de George Sand écrit en 1833-1839. Ce corpus est assez homogène. Les trois femmes nous donnent une vision pessimiste de Dom Juan

à 81, depuis « tu vois en Don Juan, mon maître, le plus grand scélérat… » jusqu’à « …à ce que mon âme déteste ». Plan indicatif : C’est une scène d’exposition qui présente les deux principaux personnages : 1) Don Juan 2) Sganarelle -Acte II, scène 4, de la ligne 338 à 400, depuis « Monsieur, que faites-vous donc là avec Charlotte ? » jusqu’à « Il est question de juger ça. » Plan indicatif : 1) Une scène de comédie 2) Don Juan, un manipulateur habile