Don Juan Comédie Ou Tragédie

poésie, est comme nous le rappelle Antonin Artaud « une branche de la littérature ». Boileau en a défini les règles dans son art poétique. La pièce de théâtre, avant d’être mise en scène, est un texte littéraire, ce qui assure sa pérennité. Si les tragédies d’Eschyle, d’Euripide ou de Sophocle n’avaient pas été écrites, elles n’auraient pas existé pour nous Giraudoux n’aurait pas écrit Electre. De même, notre théâtre accorde une telle importance à la parole que l’on peut parfois même préférer

participe à des concours poétiques. Ses premières œuvres théâtrales sont elles aussi vivement applaudies, notamment ses comédies de cape et d'épée telles que « La Dame fantôme » et « Le Prince constant ». Calderón écrira 120 comédies représentées lors de fêtes royales. En 1635, il écrit son œuvre qui deviendra la plus célèbre, un drame philosophique et religieux autant comédie que sacramentelle* intitulé : « La Vie est un songe ». Dans cette pièce, Sigismond** est devenu le symbole universel de

synonyme d’ « aller au théâtre », et, par extension, à un concert, au music-hall, un tour de chant…Plus encore que la tragédie, la comédie présente la particularité de fréquemment contenir un spectacle dans le spectacle qu'elle même constitue. C'est un phénomène qui peut s’appréhender à 3 niveaux : · celui du personnage,· celui de la dramaturgie,· et celui du genre même de la comédie. Tantôt c'est un personnage qui, consciemment ou non, se donne en spectacle aux yeux de son entourage, comme

incorrect): I) quels sont les moyens employes pour le representer 1. a travers la tragedie - avec des personnages puissants et nibles exemple: phedre - il me manque ces 2 arguments - " " 2. a travers la comedie - avec des personnages grossiers et egocentriques - en respectant la regle des 3 unites (temps, lieu, action) 3. a travers la tragi-comedie - exemple de don juan - exemple du Cid - exemple de Tartuffe II) dans quels buts 1. denonciation - par

perceptible dans l’œuvre du Cardinal de Retz. D’autres parlent même du « naturalisme » des classiques, en évoquant la peinture sociale dans les grandes comédies de Molière, dans les romans de Charles Sorel ou d’Antoine Furetière. On décèle en outre, dans la période dite « classique », une persistance du baroque, comme dans les pièces à machines (le Dom Juan de Molière) ou dans la thématique funèbre de Jacques Bossuet. Tout cela conduit les commentateurs à multiplier les étiquettes : préclassicisme, préciosité

langue érudite avec des expressions populaires pour montrer à son maître )Il se sert des ses types de comiques pour faire rire son publique.La comedie est en cinq actes et obéit aux règles classiques.THEMES:critique le classe bourgeois parce qu’ils voulaient sauver l’argent pour réaliser un esclade social (bourgeois gentilhomme),et précieuse

Dom Juan, Molière Acte V, scènes 5 et 6 Introduction Dans les scènes précédentes Dom Juan refuse de se battre en duel avec le frère de Done Elvire, Dom Carlos, sous prétèxte que c’est le Ciel qui le lui interdit. Dom Juan affirme qu’il de dégainer son épée qu’en cas de légitime défense. Sganarelle s’indigne d’une telle duplicité, quand apparaît soudain un spectre sous l’apparence d’un femme voilée. D’abord nous verrons qu’est ce qui fait des ces deux scènes un grand spectacle pour le public

Commentaire Dom Juan Acte I scène I Proposition 1 : Plan : I) Une scène d'exposition séduisante A. Lieu, temps et action : un effet d'ouverture B. Un incipit qui séduit car surprenant avec l'éloge paradoxal du tabac II) Les deux valets = des personnages comiques A. Gusman B. Sganarelle : un poltron, hypocrite, commérant, pédant III) Le portrait du grand absent : DJ : cette rencontre en attente fonctionne comme un désir de rencontrer en vrai le personnage A. Un homme infidèle

quitté Paris et rejoint sa troupe, Molière rejoint en province la troupe de Dufresne qui est sous la protection de protecteurs puissants tels que :Le Duc d’Epernon, Le comte d’Aubijoux et le Prince de Conti. Grâce à ses aides la nouvelle troupe peut donner des représentations en privé chez ces Seigneurs mais aussi en public, ce qui est un privilège rare à l’époque car l’église prône l’interdiction des représentations théâtrales publiques. Entre 1645 et 1658, on pense que Molière a vécu convenablement

de la comédie au 17e siècle. En effet depuis sa création au sixième siècle avant Jésus Christ par Aristophane la comédie s’est toujours montrée sous deux visages, l’un étant plus subtil que l’autre car à première vue seule la volonté de faire rire prédomine. A partir de cette idée nous allons chercher à savoir si la seule fonction de la comédie est de faire rire. Nous allons d’abord parler du lien direct présent entre la comédie et le rire pour ensuite développer la particularité de la comédie qui