Dorine

est sa « bru » ce qui traduit une dureté de la belle-mère envers sa « belle-fille ». Celle-ci est la seconde femme d’Orgon, ce qui fait d’Elmire la belle mère de Damis et Marianne (vers 28). Elle est critiquée par Mme Pernelle pour sa coquetterie. Dorine est une femme de chambre qui parle beaucoup ce qui est surprenant. Elle est la suivante et est « forte en gueule » et « impertinente ». Son rôle est exceptionnel ; elle défend Damis et Elmire en tenant tête à ses maîtres. Cléante est le beau frère

apprend que Dorine = servante, Damis + Marianne = enfants d’Orgon, Elmire = seconde femme d’Orgon. Méthode -> permet à Pernelle de se présenter + prendre la place centrale au sein de cette première scène Permet à Molière de dresser critique de mœurs. b. Portraits critiques, critiques de mœurs. Caricatures -> Pernelle -> ton péremptoire, hargneux, ne souffre aucune critique + individualité puisque Pernelle dénonce s’attaque tour à tour à tout le monde (Elmire, Marianne, Damis, Dorine, Cléante…)

raconte sa rencontre à l’église avec un Tartuffe qui feint l’humilité. Plus tard, on voit apparaître sur scène un Tartuffe qui, apercevant Dorine, ordonne à son valet de resserrer sa discipline (ostentation d’une mortification du corps que les vrais dévots tenaient secrète). Tartuffe joue de ses airs et de ses discours. Mais son attitude le démasque. Ainsi Dorine raconte comment, gros et gras, il mange comme six. On le voit se traîner aux pieds d’Orgon pour qu’il pardonne à Damis, puis justifier de

: amant de Mariane. * Cléante : beau-frère d'Orgon et frère d’Elmire. Personnage calme, réfléchi et intelligent. C'est pourquoi il essaye de raisonner Tartuffe à l'acte IV. * Tartuffe : faux dévot. Hypocrite et pique-assiette. Escroc * Dorine : suivante de Mariane. Personnage plein de bon sens et de franc parler. * Monsieur Loyal : sergent royal. Bien que Tartuffe soit le personnage principal, ce n’est pas lui que l’on voit le plus. Il n'arrive pas avant la scène 2 de l'acte

dire. Dorine, quant à elle, intervient et confronte Orgon avec l'idée de ce mariage insensé. Ne pouvant la faire taire, Orgon se met en colère. Marianne est attristée de la nouvelle car celle-ci aime Valère. Elle doit s'affirmer et tenir tête à son père. Découragée, Marianne laisse entendre qu'elle préfèrerait mourir que de se souscrire à un tel mariage. S’enchainera une confrontation entre Marianne et Valère. Cette confrontation se transformera en une dispute entre les deux amants. C'est Dorine qui

♦ Elmire est sa belle-fille : « Laissez ma bru » ; ♦ Dorine est une domestique : « Vous êtes, mamie, une fille suivante » ; ♦ Damis est son petit-fils : « […] mon fils, c’est moi qui vous le dis, qui suis votre grand-mère » ; ♦ Mariane est sa petite-fille et la sœur de Damis : « Mon Dieu, sa sœur, vous faites la discrète » ; ♦ Cléante est le frère d’Elmire : « Pour vous, Monsieur son frère » ; ♦ Elmire n’est pas la mère de Damis et Dorine : « Et leur défunte mère en usait beaucoup mieux » .

pouvoir qui l’emportera ?  Il prend la place du maître (« s’impatronise »), et, en cela, il constitue une menace : « se méconnaître » (v. 65), « usurper » (v. 46). Puis tous dénoncent son hypocrisie. Des doutes sont émis sur sa sincérité religieuse par Dorine après Damis : « cagot de critique »,  v. 69-70, et 72, à travers son domestique  Question 2 Le rythme de la scène est très rapide, en raison du caractère agressif de Mme Pernelle : les nombreux points de suspension, les nombreux impératifs du début

le maître mot est l'action avec Orgon et Damis, tandis que, en opposition, Cléante, Dorine et Madame Pernelle ont une facilité de parole plus calme. Cependant le personnage de Dorine permet à l’auteur de développer un comique plus subtil. Les procédés comiques à l’œuvre dans les répliques de la servante relèvent davantage de l’ironie, du comique de mot et font appel à une certaine complicité avec le public. Dorine commence par se moquer de son maître en lui rappelant cette phrase connut « le pauvre

que joue le valet ou la soubrette dans chacun des extraits. Dans chacun des 4 extraits présentés, la fonction dramaturgique que joue le valet ou la soubrette est importante. Le premier texte est la scène 2, de l’acte 3 de Tartuffe, par Molière, où Dorine, une servante, annonce l’arrivée d’Elmire à Tartuffe. Dans ce passage, on voit qu’elle se moque, grâce à des procédés comiques de celui-ci, particulièrement sur son hypocrisie. Dans le deuxième texte, qui est la scène 1 extraite de L’île des esclaves

prétend s'intéresser le moins du monde à l'argent, il veut s'emparer de la fortune de son bienfaiteur. Bien qu'il pardonne à Damis de l'avoir, selon Orgon, calomnié, il se refuse à réconcilier le père et le fils. Tandis qu'il se choque du décolleté de Dorine (vers 861), il tente de séduire Elmire dans le dos d'Orgon. L'hypocrisie se manifeste également dans les enseignements qu’il prodigue à Orgon qui révèle à Cléante que son maître lui a conseillé de «n'avoir affection pour rien» (vers 276), qu'il pourrait