Douaumont

volontiers cassant, son intelligence et son courage face au feu le distinguent au point que le commandant du 33e RI lui offre d'être son adjoint13. Le 2 mars 1916, son régiment est attaqué et presque décimé par l'ennemi en défendant le village de Douaumont, près de Verdun. Sa compagnie est anéantie au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, la violence du combat l'oblige à sauter dans un trou d'obus pour se protéger, mais des Allemands le suivent et le blessent

du gouvernement allemand doit participer aux côtés d'un président français à la commémoration de l'armistice de la guerre de 1914-1918, qui marque la défaite de l'armée allemande. Le 22 septembre 1984, Helmut Kohl s'était déplacé à l'ossuaire de Douaumont (Meuse) bâti en hommage aux morts de la bataille de Verdun, événement immortalisé par des images désormais célèbres du chancelier allemand donnant la main au président François Mitterrand. Nicolas Sarkozy et Angela Merkel devaient, place de l'Etoile

premières heures sont effroyables : des obus déferlent en continu sur les positions françaises, prises par surprise et totalement impuissantes. L’infanterie allemande prend rapidement le relais et tente une percée. Elle parvient à prendre le fort de Douaumont. En réaction, le général Pétain est nommé au commandement de la bataille : il lui faut protéger la ville de Verdun. 2. « L'enfer de Verdun » a. Un massacre organisé Au terme des premiers jours, donnant l’avantage aux Allemands, le camp français réagit

    Document 1 : Verdun, les tranchées |[pic] | 1914-1918 : la Lorraine est un des champs de bataille du premier conflit mondial. Autour de Verdun, à Vaux, à Douaumont, les champs ne seront plus jamais cultivés et deviendront des lieux de mémoire. La région a déjà été très éprouvée lors de la guerre de 1870 qui a entrainé l'annexion de l'Alsace et de la Moselle par l'Allemagne.   Document 2

la ligne de front que l'armée allemande ne transpercera pas. Le monument du Mort-Homme évoque davantage le massacre que cette bataille a pu être, cette bataille fit 500000 morts français et allemands confondus, 2000000 blesses. L'ossuaire de Douaumont recueille les restes de 130000 soldats inconnus, ce qui témoigne de l'extrême violence des combats au cours desquels l'artillerie a été utilisée très massivement (30 millions d'obus tirés en 300 jours) ainsi que de nouvelles armes comme les mitrailleuses

Un instant le commandement allemand peut croire qu’il a vu juste. Malgré une résistance acharnée de ce qui reste des défenses françaises, les Allemands progressent de 10km en quatre jours sur la rive droite de la Meuse. Apres l’occupation du fort Douaumont, les journaux allemands proclament la défaite française et toutes les cloches de la mère patrie carillonnent la victoire. 3. Suite moins Glorieuse Dès lors, l’opération échappe à tous les calculs de Falkenhayn. Les inconvénients et les faiblesses

de guerre, pourtant il n’y a aucune image des tranchées. La guerre est suggérée par les affiches apposées sur les murs du camp. Renoir montre l’absurdité de cette guerre. En effet, dans la même journée : - les allemands fêtent la prise de Douaumont ; - le soir même, lors du spectacle, Maréchal annonce la prise du fort par les troupes franco-britanniques et entonne la Marseillaise. Il est alors « isolé ». Après plusieurs tentatives d’évasion, Maréchal, Rosenthal et de Boldieu se retrouve

se lance à l'assault des forts et des tranchées Françaises. Les trois divisions françaises (flèche rouge) sont bombardées pendant neuf heures sur quinze kilometres par l'armée Allemande. Les soldats Français résistent malgré la perte du fort de Douaumont. Publiée par Pierre Luliée – Archives Verdun – 5 mai 1989 Un canon de 21 cm en pleine action pendant la bataille de Verdun. L'artillerie Allemande est à la fois plus nombreuse et plus moderne, avec des canons à tirs rapides. Les lignes

le résistant Charles de Gaulle naît à Lille le 22 novembre 1890. Il grandira au sein d'une famille catholique et traditionaliste. Charles entre à 18 ans dans l'école militaire de Saint-Cyr. Au terme d'un long combat contre les Allemands à Douaumont en 1916, de Gaulle est à nouveau blessé. Mais ses soins se feront de l'autre côté du front. Prisonnier des Allemands, il est à hôpital de Mayence pour quelques temps. Il sera ensuite enfermé au fort d'Ingolstadt. Durant plus de deux ans de captivité

non plus, on ne retrouve pas d’intertitre ou de formule finale, pour clôturer l’article et contribuant à un effet de chute dans la conclusion. Quant au circuit latéral, on retrouve une seule fois un petit encadré : « Cérémonie internationale à Douaumont ». Il apporte des informations supplémentaire sur l’évènement et permet une ouverture sur le futur en expliquant ce qu’il va se passer par la suite. Enfin, en ce qui concerne la lisibilité, la mise en page et le style de l’article, on constate