Drame Romantique En Attendant Godot

lecteurs, c’est que ceux-ci y voient le reflet de leurs propres pesanteurs, errances ou indécisions. 3. Des personnages repoussants qui fascinent Certains personnages peuvent être laids, voire monstrueux physiquement. Victor Hugo, au nom de son idéal romantique, veut faire une place au « grotesque » à côté du « sublime ». C’est ainsi qu’il crée le personnage de Quasimodo dans Notre-Dame de Paris, le sonneur de cloches, bossu, borgne, sourd et boiteux, qui a été abandonné par ses parents à cause de sa difformité

du conte et met en scène un locuteur « je » et un allocutaire « tu » (la femme aimée) en proie à la malédiction de l’amour par suite de l’intervention maléfique de la Lune. Effets croisés d’une même « inspiration » qui s’inscrit dans la tradition romantique ? Nous verrons que Baudelaire fait subir d’étranges torsions à cette tradition par le biais d’une ironie – la déclaration d’amour est supposée galante – venue saper un lyrisme qui ne perd cependant pas ses droits. Dans la suite de l’explication

Cervantes, ch. 10), Arlequin et Iphicrate (L'île des esclaves de Marivaux, scène 1), Jacques et son maître (Jacques le Fataliste de Diderot), Figaro et le comte Almaviva (Le Barbier de Séville, de Beaumarchais, acte I, scène 1), Pozzo et Lucky (En attendant Godot, acte I). Mais, avec le metteur en scène Jacques Lassalle, on pourrait aussi faire de Sganarelle le compagnon de Dom Juan, catastrophé par ses erreurs, et voir alors dans le couple Dom Juan-Sganarelle, moins le parangon de la relation maître-valet

consacrés au sujet. * 2. " Roadrunner " de Tex Avery. Le duel sans fin qui oppose le chacal à l'oiseau-coureur peut se réduire à une seule fonction narrative : la fonction " embûche ". Au profit du comique de répétition. * 3. De même " En attendant Godot " de Samuel Beckett : fonction " Attente ". * 4. Les romans du "flux de conscience " (la voix intérieure) qui font une large part aux commentaires et aux digressions : Virginia Woolf, Marcel Proust, Robert Musil, Thomas Bernhard, … *

sujet est tiré de la vie quotidienne ; la pièce se termine bien (souvent par un mariage). La farce (du Moyen Age au XVIII e s surtout) est une forme populaire de comédie, qui fait appel à un comique plus grossier (de mots, de gestes surtout). Le drame (XVIIIe-XIXe s.) mêle les registres tragique et comique. 14. Le genre poétique se définit par un usage différent de la langue, une recherche particulière sur les mots, un jeu sur leurs sens, leurs sonorités, un travail des rythmes. La poésie ancienne

scierie dans Un roi sans divertissement de Jean Giono ? Question 2 (12 points) Giono à qui l’on demandait dans un entretien radiophonique quel était le thème de son livre Un roi sans divertissement répondit : « Eh bien c’est tout simplement le drame du justicier qui porte en lui-même les turpitudes qu’il entend punir chez les autres. » Vous examinerez la chronique de Giono à la lueur de ce jugement que vous expliquerez. ----------------------------------------------------------------------

récit ses parents. Il insiste sur leur attitude distante vis-à-vis de lui (« tendre indifférence », ligne 13). Puis, il met d’emblée en évidence le couple mal assorti qu’ils forment : différence d’âge, de caractère… II - Portrait d’un adolescent romantique (lignes 25 à 57). 1- Le jeune homme présente des signes de sensibilité très nets : la mélancolie (l’adjectif est employé à la ligne 40), « les larmes » (ligne 40). Il a aussi une âme de poète : « passant la plus claire partie de mon temps à déclamer

modernité, et plus encore l’opposition peut-être factice entre les deux notions. L’enjeu de modernité, s’il a trouvé des illustrations particulièrement vives lors de la Querelle des Anciens et des Modernes, ou dans le conflit entre classiques et romantiques, semble bien se manifester à chaque génération d’auteurs et d’artistes, jusqu’à présenter au e XX siècle comme « inutiles », « répétitives » ou « illégitimes » les créations qui dérogeraient à ce critère. Il s’agit, en défendant une modernité esthétique

6. chapitre III p39-41 : les vécés (de "Elle regarda dans la cour" à "elle est dehors") 7. chapitre IV page 59-61 : les bloudjinnzes (de "Elle s'arrêta pile" à "chouette") 8. chapitre IV pages 63-65 : la bouffe et la bière (de "En attendant la bouffe" à "l'auriculaire") 9. chapitre V p69-71 : enfance de Zazie (de "Ltipstu" à "une bonne mère ?") 10. chapitre V p73-74 : Zazie se fait avoir (de "Zazie ne dit rien" à "tes parents") 11. chapitre VI pages 81-83 : Zazie écoute

la porte. Josserand s’était tournée avec majesté vers son mari. Elle eut ce mot profond : Mme – Voilà, monsieur, comment vous les avez élevées ! – 45 – M. Josserand ne protesta pas, occupé à se cribler un ongle de petits points d’encre, en attendant de pouvoir écrire. Berthe, qui avait achevé son pain, trempait un doigt dans le verre, pour finir son sirop. Elle était bien, le dos brûlant, et ne se pressait pas, peu désireuse d’aller supporter, dans leur chambre, l’humeur querelleuse de sa sœur