Drame satyrique

Le drame romantique Le drame romantique et une rupture et un mélange des genres et des personnages. La poésie de ce drame se sent à travers l’harmonie des contraires (dès la première scène avec Don Carlos, jeune monarque imprévisible aux allures de bandits) Le sublime et le grotesque sont intimement liés dans le drame romantique et par le coté protéiforme des personnages. Le drame romantique est aussi cocasse et le burlesque par le déguisement, la situation. Le coté tragique est quand même relativement

est né le 5 octobre 1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris. C’était un écrivain, un philosophe et un encyclopédiste français. Il laisse une marque dans l’histoire et tous les genres littéraires il s’est essayé : il pose les bases du drame bourgeois au théâtre, il révolutionne le roman avec Jacques le Fataliste, il invente la critique à travers ses Salons. A part ça il a fait quelque chose d’extraordinaire :le célèbre encyclopédie. Diderot fait aussi de la philosophie. Denis Diderot

Le drame bourgeois naît au XVIIIe siècle du déclin de la tragédie classique. Il vise à la remplacer comme grand genre du théâtre sérieux. L'audience qu'obtiennent ces pièces est à mettre en relation avec l'évolution du public, elle-même liée à celle de la société. Chez les spectateurs, quelle que soit leur naissance, le goût s'embourgeoise. Le genre atteste les qualités de sérieux qui caractérisent l'amateur de théâtre au XVIIIe siècle : amour de la modernité, désir de réfléchir sur des problèmes

vers et choisit le genre du Proverbe, genre dramatique mondain et mineur basé sur une intrigue sentimentale légère, mais dans le dernier acte il s'éloigne du genre sous l'influence du drame romantique avec la présence de l'échec et de la mort. Histoire du texte En mars 1834, Musset quitte Venise seul après le drame de la rupture avec George Sand quand elle l'abandonne et part avec le médecin Pagello. Commence alors une correspondance amicale « plus ardente que l’amour » 1 entre les deux amants séparés

avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[4] et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée

théâtral, on parle de « la bataille d’Hernani ». L’extrait de la pièce qui nous est donné appartient à ce théâtre révolutionnaire, nous avons à faire au dénouement du drame romantique de Ruy Blas publié en 1836. Nous pouvons nous interroger sur cette scène, recherché si, ce dénouement remplit toutes les caractéristiques d’un drame romantique. Pour se faire, nous verrons en premier lieu les aspects romantiques de se dénouement dans cette scène mais aussi son originalité. Dans un second temps, nous

scène8, Samuel Beckett avec un extrait de l’acte I de En attendant Godot, et la scène 5 de l’acte III dans  Ruy Blas  de Victor Hugo. Chacune de ces pièces datent du XVIII, XIX et XXème siècle avec des registres variés : deux comédies, une tragédie, un drame romantique et une pièce qui s’inscrit dans le théâtre de l’absurde. Toutes mettent en scène des relations de maître à valet. Ces différents affrontements sont caractérisés par plusieurs éléments. La supériorité du maître est parfois mise en valeur

théâtre (caractère lié au passé). C’est comme forme que le théâtre est lié au passé. Bien souvent, il nous apparait comme un forme liée au passé. Les images que l’on a du théâtre sont souvent d’abord des images d’acteurs en costumes d’époque. Le drame romantique exige des vêtements à la mode de l’époque dans laquelle se situe la pièce. (ex : Hernani de Victor Hugo). Hugo se tourne vers le passé. Ce n’est pas exclusivement le cas de Victor Hugo, car Montherlant a situé telle ou telle de ses pièces

d’Harpagon (IV, 7). – Dans la comédie : le long monologue de Figaro, dans le Mariage de Figaro (V, 3). – Dans la tragédie ou la tragi-comédie : « To be or not to be ? », Hamlet ; les stances du Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo)

"Nuit Vénitienne", il publie néanmoins en 1832 "Spectacle dans un fauteuil", qui se compose d'un drame, "La Coupe et les Lèvres", d'une comédie, "À quoi rêvent les jeunes filles ?" et d'un conte oriental, "Namouna". Musset y exprime déjà la douloureuse tension entre débauche (abus), et pureté qui domine son œuvre. Il part en Italie, en compagnie de George Sand. Voyage qui lui inspire "Lorenzaccio", drame romantique qu'il écrit en 1834, et "Contes d'Espagne et d'Italie". Mais il tombe malade et George