Drancy

gendarmerie les enfant durent partir mais ne sachant pas pk le 9 octobre 1942 il furent emmenés dans un séminaire et mis sous la protection dune polonaise par une amie ils ne mangeait point a leur faim puis le 16 octobre emmenés dans un train pour Drancy (30 jeunes enf ,42 femmes et 43 hommes)qui était un camp d'internement il semblait morose froid puis ils ont tondu les cheveux du garçon et de sa sœur tout le monde était serres ils étaient mal nourrit le garçon essayer de s occuper de sa sœur tant

Convoi 62 Numéro du convoi | Date de départ | Lieu de départ | Destination | Nombre de déportés | Survivants en 1945 | 62 | 20 novembre 1943 | Camp de Drancy | Auschwitz | 1 200 | 29 | On trouve dans ce convoi le Rabbin Josué Pruner, et le Grand-Rabbin Bernard Schonberg ? C’est le seul convoi où il y a eu des évadés. Alois Brünner Alois Brunner est un officier SS, membre du parti nazi et un criminel de guerre nazi. Il serait l'un des derniers criminels de guerre nazis vivants. En

quelques policiers ont laissé fuir leurs victimes, des concierges, des voisins, des anonymes ont ouvert leurs portes et caché des Juifs... Embarqués dans des autobus, les personnes seules et les couples sans enfants sont convoyés vers le camp de Drancy, au nord de Paris. Les familles avec enfants sont quant à elles dirigées vers le Vélodrome d'Hiver, rue Nélaton, dans le XVe arrondissement de Paris. Plus de 8.000 personnes dont une majorité d'enfants vont s'y entasser pendant plusieurs jours,

juifs (allemands, autrichiens, polonais, tchèques, russes et les indéterminés ,de tous ages). Les allemands ont prévu de faire arrêter 22 000 juifs étrangers dans PARIS, par la Police Française. Après leurs arrestations, ils seront conduits à DRANCY, COMPIEGNE, PITHIVIERS et BRAUNE LA ROLANDE . Monsieur TULARD, fait parvenir la liste des fichiers juifs à arrêter, à la police municipale. LES ARRESTATIONS DES JUIFS Le 10 juillet 1942, le SS DANNECKER s'entretient avec les mêmes personnes

seconde guerre mondiale. La plupart d'entre eux mourront à Auschwitz. Passée dans l'histoire sous le nom de "rafle du Vélodrome d'hiver", du nom du lieu où une partie d'entre eux ont été conduits avant leur transfert vers les camps d'internement de Drancy, Beaune-la-Rolande ou Pithiviers, cette vague d'arrestations ne fut ni la première, ni la dernière. Mais elle a été la plus massive. Les premières rafles ont eu lieu le 14 mai 1941, les dernières au printemps 1944. En tout, 76.000 juifs de France

femmes et 3 031 hommes). Un nombre indéterminé, prévenu par la Résistance ou bénéficiant du manque de zèle de certains policiers, parvient à échapper à la rafle. Après leur arrestation, une partie des Juifs est emmenée par autobus dans le camp de Drancy (au nord de Paris). Une autre partie est envoyée vers le Vélodrome d'hiver (situé dans le XVe arrondissement), qui sert de prison provisoire (cela avait déjà été le cas lors d'une rafle à l'été 1941). Ce sont donc environ 7 000 personnes qui devront

ce tri ne sera pas fait au domicile mais au premier centre de rassemblement par le commissaire de la voie publique9 ». Les nazis prévoient de faire arrêter par la police française 22 000 Juifs étrangers dans le Grand Paris, qui seront conduits à Drancy, Compiègne, Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Pour cela, « le service de M. Tulard fera parvenir à la Direction de la police municipale les fiches des Juifs à arrêter […] Les enfants de moins de quinze ou seize ans seront confiés à l'Union générale

d'abord confiés à des voisins. Mais rapidement, ils furent retirés de cette famille car les nazis ne toléraient pas la présence d'enfants juifs dans les familles françaises . Ils furent alors enfermés dans une prison, puis transférés au camp de Drancy, dans lequel on entassait les juifs que les nazis envoyaient dans les camps de concentration. La petite fille tomba malade, par malnutrition. Heureusement, sans doute grâce à l'un de leur oncle qui lui aussi était interné dans le même camp, ils en

ce tri ne sera pas fait au domicile mais au premier centre de rassemblement par le commissaire de la voie publique7 ». Les nazis prévoient de faire arrêter par la police française 22 000 Juifs étrangers dans le Grand Paris, qui seront conduits à Drancy, Compiègne, Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Pour cela, « le service de M. Tulard fera parvenir à la Direction de la police municipale les fiches des Juifs à arrêter […] Les enfants de moins de quinze ou seize ans seront confiés à l'Union générale

(1924 - ), Jean (1925 -). Principales étapes de la période de guerre : - Vie familiale à Nice touchée par les statuts des Juifs à partir de 1940 - Arrestation (30 mars 1944) avec sa mère, Milou et Jean et déportation à AuschwitzBirkenau par Drancy (début avril 1944) avec sa mère et Milou. - Marche de la mort fin janvier 1945 d’Auschwitz à Gleiwitz avec sa mère et Milou, continuation du transport en train au camp de concentration à Bergen-Belsen. - Simone Veil et sa sœur Milou y sont libérées