Drosophila melanogaster

femelle. Exemple d’un lépidoptèra. Chez la famille des diptera, les phéromones sexuelles servent d’aphrodisiaque, plus que de véritables attracteurs. Ce sont des hydrocarbures à longues chaines provenant de la cuticule. Cependant les drosophila melanogaster possèdent un système d’action phéromonal proche de celui des lépidoptères. Exemple de diptera Dans la classe des Arachnida les phéromones sexuelles sont émises, dans la plupart des cas, par les femelles et donc reçues par les mâles

va aider à la reproduction ces petits. Donc les pièges que la femelle met en place avant la fécondation, d’un point de vue évolutif c’est la femelle qui est gagnante, car c’est elle qui choisit le mâle. Wolfer, 1997 : sperme toxique chez Drosophila melanogaster La drosophile est très connu, le sperme du mâle est toxique pour la femelle. La mortalité des drosophiles femelles est liée à leur accouplement, plus la femelle s’accouple et plus sa longévité est faible. Le mâle va diminuer les chances

Versailles-Saint-Quentin 3e édition Illustrations de couverture : Saccharomyces cerevisiae et Escherichia coli au Microscope électronique à balayage, Centre multi-image de Cambridge. Zea mays, Jean Weber, service photographique de l'INRA. Drosophila melanogaster mâle, Bernadette Limbourg-Bouchon, Laboratoire de Génétique et Biologie Cellulaire, Université de Versailles. Arabidopsis thaliana, Jean Weber, service photographique de l'INRA. Escherichia coli (x 15 000) Rocky Mountain Laboratories, NIAID

parentaux se sont exprimés. Il s’agit d’une dominance intermédiaire appelée inter dominance. Les travaux de Gregor Mendel bien entendu passèrent inaperçus. Vers 1900 d’autres biologistes en particulier Thomas Morgan utilise la drosophile (drosophila melanogaster). Un matériel _____________________________________________________________________________________ PROGRAMME DE BIOLOGIE – 4EME ANNEE DU SECONDAIRE Page 42 simple, peu encombrant lui permet d’élever ce petit insecte dont les générations

hypothèses liées concernant le mode d’action du produit de leurs gènes. 47 INTRODUCTION – LA GENETIQUE HOMEOTIQUE Figure 18 – Structure, expression et évolution des complexes homéotiques. Représentation des complexes homéotiques de la mouche D. melanogaster et de la souris M. musculus ainsi que du complexe ancestral hypothétique commun aux deux phyla. Les gènes de même couleur ou se trouvant sur la même colonne dérivent du même ancêtre phylogénique. La position relative des différents gènes par rapport

Chimpanzee Genome Sequencing and Analysis Consortium 2005; The Rhesus Macaque Genome Sequencing and Analysis Consortium 2007), 38.5% of the mouse genome (The Mouse Genome Sequencing and Analysis Consortium 2002), 5% of euchromatin in Drosophila melanogaster (The Drosophila 12 Genomes Consortium 2007), and in some plants, such as maize, they can account for 80% of the genome (Schnable et al. 2009). Several classes of TE can be distinguished on the basis of their sequence and structure (Wicker et al. 2007)

Hellen, C.U. (2001) Molecular mechanisms of translation initiation in eukaryotes. Proc Natl Acad Sci U S A, 98, 7029-7036. Pomar, N., Berlanga, J.J., Campuzano, S., Hernandez, G., Elias, M. and de Haro, C. (2003) Functional characterization of Drosophila melanogaster PERK eukaryotic initiation factor 2alpha (eIF2alpha) kinase. Eur J Biochem, 270, 293-306. Rafie-Kolpin, M., Han, A.P. and Chen, J.J. (2003) Autophosphorylation of threonine 485 in the activation loop is essential for attaining eIF2alpha kinase

Bacillus subtilis. Les premiers résultats semblent encourageant. En effet, la compatibilité des structures secondaires a tendance à moins saturer à bas taux d'identité de séquences. Saccharomyces cerevisiae Bacillus subtilis Pyrococcus abyssi Drosophila melanogaster Human chromosome 22 Tableau 3 : (A) Nombre de phase ouverte de lecture, (B) de phase ouverte de lecture homologue à une autre séquence, et enfin (C) de phase ouverte de lecture homologue a une protéine de structure 3D connue pour 5 génomes

de mettre en évidence la toxicité des microcystines (Baird et al. 1989). À titre expérimental, divers bioessais ont été publiés, utilisant les moustiques adultes ou leurs larves (Turell &Middlebrook 1988, Kiviranta et al. 1993), la mouche (Drosophila melanogaster) (Ross et al. 1985, Swoboda et al.1994), des locustes (criquet, sauterelle) pour la détection des saxitoxines, (McElhiney et al. 1998), ces organismes n’étant pas sensibles à la microcystine-LR ou à l’anatoxine-a. 3.4.2. Essais in vitro

Mégabases, réparties sur 6 chromosomes, et contient environ 12500 gènes. A titre de comparaison, c’est deux fois plus que la levure Saccharomyses cerevisiae (6000 gènes environ), et presque autant que certains organismes pluricellulaires comme Drosophila melanogaster (14000 gènes environ). Au niveau phylogénétique, Dictyostelium discoideum a divergé après la séparation plante/animaux, mais avant celle entre animaux et champignons (figure 1.2). Néanmoins, du fait d’une évolution moins rapide, la