Druide

décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se résumait à la messe de la nativité.   On raconte qu'un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n'était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un. "En tombant, l'arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l'exception d'un jeune sapin".  A partir de là, la légende fait son œuvre

et l’Ora. Extrait du livre : Page 373, ligne 14 à 28. « Le monde, et l’univers devrais-je dire, sont liés par une énergie extrêmement puissante qui donne sa force vitale à toute chose, son électricité en quelque sorte. Ce fluide immatériel, les druides l’appelèrent l’Ora. L’Ora transite par toute chose, vous connaissez les grands règnes terrestres ? L’animal –entendons par là les bêtes-, le végétal, le minéral et l’humain .Bien que cette classification ne s’emploie plus beaucoup aujourd’hui je la

transmis à la Gaule. Elle est au départ un territoire indépendant mais très primitif, avec une économie rudimentaire (séries de tribus indépendantes l'une de l'autre). Les croyances sont très importantes qui reposent sur : la religion (par les druides) ; se fonde sur des éléments naturels (forêt, vent etc..) Il n'y a pas d'organisation politique en Gaule. Il existe environ 60 tribus dirigées par un chef différent et donc aucuns moyens de résister à une invasion. La terre = le pouvoir. 

l'unique Acacia de celle-ci, une coutume de visite s'installe , devenu visite après visite, un rituel et de véritable liens se fondent avec ce sage... Thomas, sa réel pré-nomination, d'origine araméenne ou hébraïque, s’interroge sur ce sage... était ce 1 druide...avec sa longue barbe.... ? 1 alchimiste peut être..... ? 1 chef de village ou autre communauté... ? 1 guide indéniablement ; c'est sur pour ce jeune homme . Ce grand sage ne le guider que par des questions et réflexions raisonnées mais pas raisonnables

réclamèrent de l'aide au gouverneur qui leur accorda et en profita pour fixer ses légions.             En l'an 52 avant notre ère, la présence des légions romaines et leurs exactions commencèrent à irriter les tribus gauloises qui à l'appel des druides se révoltèrent. Un jeune chef de la tribu des Arvernes prit la tête de la révolte : Vercingétorix. La tactique militaire de Vercingétorix consistait à pratiquer la politique de la terre brûlée pour ôter aux légions romaines toute occasion de pouvoir

et les traditions : ne peut-on d'ailleurs pas voir à travers l'exemple de du berger " qui plantait des arbres " dans le roman de J. Giono, une survivance d'un geste ancien, traditionnel, voire sacré, qui consiste à vénérer un arbre honoré par les druides, le chêne, en triant soigneusement les glands et en les plantant dans un désert ? Ce geste s'apparente d'ailleurs à un rite cosmogonique : créer à partir de rien. L'homme s'identifie donc à Dieu à travers un geste de création. L'arbre est aussi souvent

tunique de lin blanc représentait la pureté du Sacrificateur et la justice divine. A Rome, le blanc était la couleur des vestales (prêtresses qui étaient brûlées vivez lorsqu’elles manquaient à leur voeux de chasteté...). C’était aussi le couleur des druides, des initiés... Participent de la symbolique du blanc et emblèmes de pureté, vertu et chasteté : la robe blanche de la communiante et de la mariée, le bouquet de fleur d’oranger, le lis, la colombe, le lin, l’ivoire, le diamant, la neige... Par extension

l’élaboration de la structure de leur société, composée d’une classe sacerdotale, d’une classe guerrière et d’une dernière artisanale. De même leur panthéon comprends trois dieux : le dieu suprême, multi-fonction : Lug et ses deux frères : Dagda, dieu druide de l’amitié et des contrats et Ogme, dieu champion de la guerre, de la violence et de la magie. L’unité du monde, symbolisée par Lug, se manifeste sous l’apparence de deux facettes opposées : l’une claire, réglée et ordonnée sous la forme de Dagda

Valentin Le miroir de Vénus L’eau servant de miroir pour ses reflets fait ressentir le côté narcissique des personnages. La séduction de Merlin Cette peinture représente la fabuleuse histoire de Merlin et Viviane. Merlin, ce devin et druide, tomba éperdument amoureux d’une fée appelée Viviane, à qui il confia le secret pour se lier à un homme à jamais. Elle entreprit de réaliser cette magie en traçant neuf cercles autour de Merlin, endormi. Cette magie fut puissante et enferma Merlin

cette langue présentait sans aucun doute une homogénéité rare pour l'Antiquité, et ce, pour un territoire aussi vaste que la Gaule. Les Gaulois ne disposaient pas d'une écriture propre; il n'a jamais existé d'alphabet commun chez les Gaulois, les druides s'étant toujours opposés à un enseignement écrit des traditions religieuses, ce qui d'ailleurs constituera l'une des causes de la disparition de la langue gauloise. Dans les rares transcriptions préromaines en langue celtique, les Gaulois recouraient