Du Bellay L Idée

amplifier une idée pour la mettre en relief. Il s'agit d'une exagération. C'est souvent le contexte qui permet de dire s'il y a hyperbole ou non. La langue familière utilise souvent des hyperboles. Ex : Briller de mille feux, pleurer des torrents de larmes, mourir de soif, avoir trois tonnes de boulot... L’anaphore Cette figure de style caractérisée par la répétition d'un terme en tête de vers, de groupes de mots, de propositions ou de phrases qui se suivent permet d'insister sur une idée. Cela rythme

par un procédé d'accumulation. Exemple : «Laisse faire le temps, ta vaillance et ton roi.» Pierre Corneille, Le Cid. Effet recherché : produire un effet d'insistance et d'association d'éléments différents Allégorie : Elle représente une idée par une image, un objet ou un être vivant. Exemple : «Mon beau navire ô ma mémoire» Apollinaire, «La chanson du Mal-aimé» Alcools Effet recherché : suggérer une sensibilité, une émotion par une image Anacoluthe : Elle se caractérise par

Partie encomiastique• Dans sous-ensemble, cycle consacré à Marguerite, sœur du roi, éloge plus ou moins direct depuis R174• Pénultième sonnet du recueil : place stratégique, dernier vrai sonnet avant requête, passage obligé ; exprime une attente : Du Bellay a dessiné un programme poétique dans la partie encomiastique, il a proposé d’entreprendre une œuvre monumentale, et il termine son recueil sur le constat d’une pauvreté littéraire dans la France contemporaine, qui rend d’autant plus nécessaire son

(Du Bellay, L’Olive)Métaphore filée :Chimène parlant des malheurs amoureux qui s’abattent sur elle : « Un orage si prompt qui trouble une bonace D'un naufrage certain nous porte la menace Je n'en saurais douter, je péris dans le port . » (Corneille, le Cid vv.449-451). L’allégorie Elle consiste à représenter une idée abstraite

quelque chose qui peut paraître malsain, de masochiste ("Laisse-là s'élargir, cette sainte blessure") : nature tourmentée du poète. Les deux vers 3.4 présentent le pélican de retour d'un long voyage, thème classique à la poésie lyrique comme Du Bellay (Heureux qui, comme Ulysse...), mais de façon négative : "lassé", "dans les brouillards". Le verbe "retourne" au présent : une action habituelle et répétitive. On apprends que le pelican est "père" (v. 8) de "ses petits", qui attendent qu'il leur

age d'or du genre. Cela s'exprime d'abord à Lyon avec ce qu'on a appelé l'école lyonnaise regroupant les plus subtil rénovateur de la poésie amoureuse. + à Paris formé par les précepteurs humanistes les membres du groupe de la Pléiade → Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard. Par la suite les guerres de religions obscurcirons la poésie ( ex : Agrippa d'Aubigné), = pré-baroque. Entre Baroque et Classicisme. Les 1er décennies du siècle, l'age Baroque voit ainsi une véritable explosion ou se mêle

de l’alcool et des plaisirs, Dionysos. Les auteurs oscillait entre tragédie et comédie pour divertir les spectateur et fêter leur dieux. Mais la littérature peut divertir par d’autres moyens. En effet on remarque que, par exemple au XVI° siècle, Du Bellay a écrit son poème Heureux qui comme Ulysse. Ce texte raconte l’histoire d’un homme qui revient d’un voyage et qui explique ce qu’il croyait voir qu’il n’a pas trouvé mais aussi que le plus beau dans un voyage c’est le retour … Grâce à cet écrit le

personnage qui passe de la débauche ou la folie à la richesse ou l’inverse est romantique. (Dans le PG: Rastignac passe de pauvre à riche et le PG de terne à heureux.) 2) L’oeuvre contient un axe thématique qui oppose nature et culture? Cette idée vient de Rousseau qui dit que l’homme est bon par nature et que c’est la société qui le corrompt. Nature= bien, pureté. Culture= mal, artificiel, inutile,… (Dans le PG: Paris est un monstre moderne, une cité qui mène au vice dont les valeurs sont

roi Arthur…). * Poésie lyrique. Tradition de la poésie courtoise (invention des formes fixes : ballade, rondeau). * Renaissance (17ème), Italie est l’influence. Petrarque écrit des sonnets (poème d’amour). Poètes de la Pléiade (Ronsard, Du Bellay) inventent rimes féminines et masculines. Ronsard compose des odes (poème en faveur de quelque chose). Guerres de religions (D’Aubigné, Les tragiques, protestant). * Classicisme (17ème), beaucoup de fables. Codification des genres littéraires

silence comme celui de Ronsard dans le Tombeau de Du Bellay, quand on sait les courbettes mutuelles qu’avaient pris l’habitude de s’échanger les deux poètes ? . Epitaphe sur le trespas du Roy Treschrestien Henri Roy de France, II de ce nom, en douze langues. A treshault et trespuissant prince Philippe Roy d’Espaigne. Aultres epitaphes par plusieurs Auteurs sur le trespas du mesme Roy. Plus, les epitaphes sur le trespas de Joachim du Bellay Angevin, Poete Latin et Francois, Paris, Robert Estienne