Du Bellay Sonnet 181

te dis à mardi prochain 9 heures tapantes, au théâtre ! Christine 101 SUJET 4 SUJET NATIONAL, JUIN 2012, SÉRIES S, ES Texte 1 De retour en France après son séjour à Rome où ses fonctions le conduisirent à fréquenter la cour du pape, Du Bellay poursuit sa peinture des courtisans. Seigneur ½ , je ne saurais regarder d’un bon œil Ces vieux singes de cour, qui ne savent rien faire, Si non en leur marcher les princes contrefaire ¾ , Et se vêtir, comme eux, d’un pompeux appareil ¿ . Si leur

deviennent pourtant, pour Francis Ponge, l’occasion de proposer des créations poétiques originales. Ponge va même jusqu’à adapter la forme au sujet en affirmant que « chaque objet doit imposer au poème une forme rhétorique particulière. Plus de sonnets, d’odes, d’épigrammes ». C’est sans doute pour cette raison que Francis Ponge a privilégié la prose, ce langage du quotidien. Cependant, il ne faut jamais oublier que cette simplicité n’est qu’apparente. À la fin du poème « L’Huître », Ponge nous

23) • Apollinaire - Alcools - Lul de Faltenin (1913) • Pierre Emmanuel - Hymnes orphiques (1942) Orphée, Eurydice et Hermès Musée du Louvre © Agnès Vinas ________________________________________ Le poète-musicien • Joachim Du Bellay - Les Antiquités de Rome (1558) - «Que n'ai-je encor la harpe thracienne» • Apollinaire - Le Bestiaire, ou Cortège d'Orphée (1911) • Victor Segalen - Orphée-Roi (posth.1916) • Paul Valéry - Album de vers anciens (1926) - Orphée Sur Wikisource

antonymes). 180. Pamphlet - Genre littéraire et polémique consistant en une satire souvent violente ou méchante d'un adversaire à propos d'une querelle politique ou d'un débat d'idées. Ce texte est destiné à attaquer une personne, une institution. 181. Panégyrique - Discours de cérémonie composé pour chanter la gloire d'une personne illustre, permettant d'en faire l'éloge, l'apologie. Discours à la louange d'une personne, d'une nation, d'une cité. Parole, écrit à la louange de quelqu'un. Excessif

arts, après une période jugée obscure, le Moyen Âge. b. Le choix du nom de « Pléiade » est à mettre en relation avec la constellation du même nom : les poètes de la Renaissance regroupés dans ce mouvement étaient sept comme ses étoiles. Ronsard, Du Bellay, Dorat, Baïf, Pontus de Tyard, Jodelle, Belleau s’étaient aussi inspirés d’un groupe de sept poètes grecs d’Alexandrie portant ce nom au IIIe siècle avant J.-C. c. Le mot « baroque » vient du portugais barroco qui désigne une «  perle irrégulière 

conforme cette fois à la vraisemblance, veut que le grand Tourangeau ait commencé ses études à l'abbaye bénédictine de Seuilly, voisine de la Devinière, et ! 10 — VIE DE RABELAIS continuées au couvent de la Baumette, près d'Angers, les frères du Bellay et Geoffroy d'Estissac. Mais le renseignement est vague et autant vaut dire que nous ne savons rien de certain sur les années d'enfance et de jeunesse de Rabelais, avant 1520. A cette date, il a revêtu la robe de cordelier au couvent de Fontenay-le-Comte

les spéci cités des di érentes situations de communication en temps réel ou di éré Exploiter les spéci cités des di érentes situations de communication en temps réel ou di éré 07:44 94635_RB _CHAP8B IS_176-18 1.indd 181 22/03/11 ondance papier à l’échange électronique 181 22/03/11 07:44 Avoir un comportement responsable Avoir un comportement responsable Comprendre l’importance du respect mutuel et accepter toutes les di érences Comprendre l’importance du respect mutuel et accepter

Claire ne répond pas, il se fait plus autoritaire, mais toujours protégé du règlement : « j’attends une explication » (l. 31-32). Devant cette attitude légaliste, Claire répond par le mépris : « je tire toujours les sonnettes d’alarme » s’oppose à « on ne tire jamais la sonnette d’alarme, même en cas d’alarme ». La logique de Claire fait résonner comiquement l’absurdité des règlements. Ensuite, elle ne s’occupe plus du tout du chef de gare, jusqu’à ce qu’il se rappelle à elle. L’insulte («

Claire ne répond pas, il se fait plus autoritaire, mais toujours protégé du règlement : « j’attends une explication » (l. 31-32). Devant cette attitude légaliste, Claire répond par le mépris : « je tire toujours les sonnettes d’alarme » s’oppose à « on ne tire jamais la sonnette d’alarme, même en cas d’alarme ». La logique de Claire fait résonner comiquement l’absurdité des règlements. Ensuite, elle ne s’occupe plus du tout du chef de gare, jusqu’à ce qu’il se rappelle à elle. L’insulte («

Exposition universelle (1855), Pl. II, p. 596. 106. En lisant, en écrivant, Corti, 1980, p. 155. 107. Entretien du compositeur avec Cl. Rostand, 25 juillet 1970. 108. Études sur Poe, Pl. II, p. 316. 109. Études sur Poe, Pl. II, p. 336. 110. Sur le sonnet baudelairien, voir la mise au point de J. Molino et J. Gardes-Tamine, Introduction à l'analyse de la poésie, t. II, PUF, p. 108 à 115. 111. Fusées, XI, Pl. I, p. 658. 112. Actes du colloque de Namur (1967), Journées Baudelaire, Bruxelles, Académie