Du sang sur la neige

Montrer que d'autres facteurs interviennent, et ex- pliquer pourquoi on n’observe pas de dégagements significatifs en GES dans ces régions actuellement. © Le « sang des glaciers » Au printemps, les neiges recouvrant la majeure partie des glaces de l’Antarctique prennent une couleur rouge. Cette couleur est due a la présence d’une algue nommeée « sang des glaciers ». Lalgue des neiges (Chlamydomonas nivalis) contient un pigment rouge qui la protége de l’exposition solaire. En hiver, les spores de cette

cavernes de terre ; Ils cherchent, quand l’humain leur refuse secours, Les bauges13 des sangliers et les roches des ours. Ce ne sont pas les grands, mais les simples paysans, Que la terre connait pour enfants complaisants14. La terre n’aime pas le sang ni les ordures15. Il ne sort des tyrans et de leurs mains impures Qu’ordure ni que sang16. Les aimés laboureurs17 Ouvragent18 son beau sein19 de si20 belles couleurs, Font courir les ruisseaux dedans21 les vertes

plus ! Macbeth a assassiné le sommeil » ainsi que « Glamis a tué le sommeil et donc Cawdor jamais ne dormira plus ! ». Macbeth :« J’ai l’horreur de penser à ce que j’ai fait ». Macbeth : « Tout l’océan du Dieu Neptune arrivera t’il à laver ce sang de ma main ? ». Lady Macbeth : « Mes mains ont la couleur des vôtres ; mais j’ai honte De porter un cœur si blanc».  Scène 3 Macduff : « Horreur ! Horreur ! Horreur… La destruction a produit son chef d’œuvre». Donalbain : « Là où nous

qui sera le sien… LE PRINTEMPS Parfaitement, oui. Moi, Le Printemps, j’ai la responsabilité de faire éclore les bourgeons, pousser les feuilles, l’herbe et les fleurs. A mon arrivée, les oiseaux construiront leurs nids. Je ferai aussi fondre la neige, tomber des giboulées et souffler la brise. L’AUTOMNE Moi, en tant qu’Automne, j’aurai la charge de faire mûrir le raisin dans les vignes, jaunir puis tomber les feuilles des arbres. Je donnerai le signal du départ aux hirondelles et je ferai souffler

également que dans cette famille, les liens du sang ou en d’autre termes de la famille n’ont pratiquement aucune importances (les deux fils d’Œdipe se détestent, Créon n’a aucun scrupule à tuer son neveu et à emmurer vivante sa nièce par exemple). Ainsi, le parent se met en rivalité avec sa progéniture car il a peur d’être remplacé par lui un jour où l’autre ce qui engendre de nombreux actes de violence extrême. 9. Le mythe d’Œdipe et le conte de Blanche Neige comportent de nombreux points communs

torches », « Nous entendons crisser derrière nous les grosses ouatines de la capitaine et de Saucisse », et tout d'un coup « Le voilà ! Là-bas ! ». • En créant un parallèle avec Langlois : « Le loup regarde le sang du chien sur la neige » comme Langlois regarde la sang de l'oie sur la neige p.243 • Le récit s'arrête et le lecteur est tenu en haleine quand Langlois par trois fois dit « Stop ! et tranquille » ou « Paix ». Le silence est générateur d'angoisse et d'ailleurs l.49 on apprend qu'« il s'en

Anthologie sur " LES SAISONS " Ce tableau est une peinture sur toile qui s'intitule " Paysage de neige ". Elle à était fait par Lytens Gysbrecht au 17 eme siècle. Préface Cette anthologie parle des différentes saisons et nous les fait redécouvrir. Sept poémes qui nous font voyager à travers l'hiver et la neige , le printemps et les fleurs, l'été et les beaux soirs, l'automne et les feuilles qui tombent. Les saisons pour nous sont quelque choses qui fait parti de notre vie

l'hiver   Au parc Montsouris à Paris   A Paris   Sur la terre   La terre qui est un astre. Immense et Rouge Immense et rouge Au-dessus du Grand Palais Le soleil d'hiver apparaît Et disparaît Comme lui mon cœur va disparaître Et tout mon sang va s'en aller S'en aller à ta recherche Mon amour Ma beauté Et te trouver Là où tu es Le cancre Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu'il aime il dit non au professeur il est debout on le questionne

qui disaient le renard et le lièvre, le phoque et le cerf, et même le loup. C’étaient aussi des odeurs d’homme, le zoman le savait ; la rancissure de vieilles toisons, mortes et sauvagines, presque noyées sous le remugle plus fort de la fumée, du sang et de la putréfaction. Seul l’homme dépouillait les autres bêtes de leurs peaux pour se couvrir de cuir et de fourrure. Différant en cela des loups, les zomans ne craignent pas l’homme. La haine et la faim se nouèrent dans son ventre et il poussa

cochons, qu’en général on regardait comme l’espèce la plus intelligente. Et, entre les cochons, les plus éminents étaient Boule de Neige et Napoléon, deux jeunes verrats que Mr. Jones élevait pour en tirer bon prix. Napoléon était un grand et imposant Berkshire, le seul de la ferme. Avare de paroles, il avait la réputation de savoir ce qu’il voulait. Boule de Neige, plus vif, d’esprit plus délié et plus inventif, passait pour avoir moins de caractère. Tous les autres cochons de la ferme étaient