Duc de Chaulnes

Suisse et de Rousseau; mais ce qui est joli et fin littérairement, c'est la remarque qui suit: "La première trace d'attention aux choses de la nature que j'aie trouvée dans les livres qu'on lit, c'est cette rangée de saules sous laquelle se réfugie le duc de Nemours, réduit au désespoir par la belle défense de la princesse de Clèves." Même en rectifiant et en contredisant ces manières de dire trop exclusives, on arrive à des idées qu'on n'aurait pas eues autrement et en suivant le grand chemin battu

Hainaut, il se fixe à Lestine, près de Mons – la cure lui est offerte par le duc Wenceslas de Luxembourg pour qui il a écrit un roman en vers : Méliator . À Lestine, la rédaction de ses chroniques va l’occuper plusieurs années. Le voilà de nouveau sur la route en 1384 ; il fait des séjours à la cour de France, se rend à celle de Gaston Phébus, en 1388, à Orthez. Au retour, il s’arrête en Auvergne, où il assiste au mariage du duc Jean de Berry, frère de Charles V. Après l’Auvergne, le voici à Paris.

Hainaut, il se fixe à Lestine, près de Mons – la cure lui est offerte par le duc Wenceslas de Luxembourg pour qui il a écrit un roman en vers : Méliator. À Lestine, la rédaction de ses chroniques va l’occuper plusieurs années. Le voilà de nouveau sur la route en 1384 ; il fait des séjours à la cour de France, se rend à celle de Gaston Phébus, en 1388, à Orthez. Au retour, il s’arrête en Auvergne, où il assiste au mariage du duc Jean de Berry, frère de Charles V. Après l’Auvergne, le voici à Paris.

de ses aïeux. (Le X manque, et peut-être est-ce à cause de son peu d’emploi comme tête de mot qu’on l’a pris pour signe de l’inconnu.) Par Yatidi, qui est l’heure de se coucher et en signifie tous les besoins chez les Turcs ; Par Zèle, comme le duc de Saint-Aignan qui ne voulait pas commettre de péchés. Mais ces accidents-là ont fourni les sujets de trente mille comédies et de cent mille romans. Physiologie, pour la troisième et dernière fois, que me veux-tu ? Ici tout est banal comme les pavés

divinisant Gabrielle d’Estrée. Pas plus que Sévigné, la marquise lettrée, Ne s’étonnait de voir, douce femme rêvant, Blêmir au clair de lune et trembler dans le vent, Aux arbres du chemin, parmi les feuilles jaunes, Les paysans pendus par ce bon duc de Chaulnes, Vous ne preniez souci des manants qu’on abat Par la force, et du pauvre écrasé sous le bât. Avant quatre-vingt-neuf, galant incendiaire, Vous portiez votre épée en quart de civadière ; 45 La poudre blanchissait votre dos de velours

chenil, coutil, fusil, gentil, gril, ,grésil, nombril, outil, sourcil, pouls, soûl, cul de jatte. L intérieur doit toujours sonner malgré l'abus qui tend à l'introduire, excepté dans fils et aulx et dans les noms propres : Paulmier, Gaultier, Belfort, Chaulnes. L double tantôt est mouillé, tantôt garde la valeur de consonne. 1° L est toujours mouillé après un i, quand cet i est précédé d'une voyelle : abeille, grenouille. 2° L est en général mouillé après un i, même quand cet i n'est pas précédé d'une

etwa so vorstellen müssen, wie es im Roman comique von Scarron beschrieben ist. 1647 ist Molière in Albi und Carcassonne, 1648 in Nantes, 1649 in Toulouse, Montpellier und Narbonne, 1650 in Agen. In diesem Jahr wechselt der Gönner. An die Stelle des Duc d'Epernon tritt der Prince de Conti. Molière wird Chef der Truppe, die von nun an den Titel Comédiens de Monsieur le prince de Conti trägt. Die Memoiren eines Zeitgenossen namens Cosnac geben eine nicht uninteressante Erklärung für diese neue Gunst:

Et grave, au front penchant, aux membres appauvris ; Quand, tâchant de comprendre et de juger, j’ouvris Les yeux sur la nature et sur l’art, l’idiome, Peuple et noblesse, était l’image du royaume ; La poésie était la monarchie ; un mot Était un duc et pair, ou n’était qu’un grimaud ; Les syllabes, pas plus que Paris et que Londres, Ne se mêlaient ; ainsi marchent sans se confondre Piétons et cavaliers traversant le pont Neuf ; La langue était l’État avant quatre-vingt-neuf ; Les mots, bien

blême Et grave, au front penchant, aux membres appauvris ; Quand, tâchant de comprendre et de juger, j’ouvris Les yeux sur la nature et sur l’art, l’idiome, Peuple et noblesse, était l’image du royaume ; La poésie était la monarchie ; un mot Était un duc et pair, ou n’était qu’un grimaud ; Les syllabes, pas plus que Paris et que Londres, Ne se mêlaient ; ainsi marchent sans se confondre Piétons et cavaliers traversant le pont Neuf ; La langue était l’État avant quatre-vingt-neuf ; Les mots, bien ou

Motteville, La Rochefoucauld). Travellers compiled journals and those placed close to the centres of power kept detailed diaries: from 1684, the Marquis de Dangeau (1638–1720) made a daily record of public happenings which was extensively used by the Duc de Saint-Simon (1675–1755). Relatively few such writings were published (some were banned) but many circulated in manuscript form and they helped to accustom readers to first-person narration and marked the modern beginnings of both biography and autobiography