Duché de Bourgogne

son épouse qu’il délaisse. Ses fréquentations parisiennes, pour ce que l’on en sait, sont celles des sociétés précieuses et libertines de l’époque. En 1652, La Fontaine acquiert la charge de maître particulier triennal des eaux et des forêts du duché de Château-Thierry, à laquelle se cumule celle de son père à la mort de celui-ci. Tâche dont on soupçonne La Fontaine de ne guère s’occuper avec passion ni assiduité et qu’il revendit intégralement en 1672. C’est aussi qu’il amorce une carrière de

II- les phases de la dislocation du pouvoir 1ère Phase : fin du 9ème siècle, émancipation des ducs et de quelque grands comtes, on voit apparaitre de grandes principautés autonomes commandés par des dynasties (ex le duché de bourgogne, de normandie, de Bretagne, création d'un duché de France cad d'ile de France qui comprenait les possessions des robertiens qui étaient situés entre la Seine et la Loire). Le comté de Flandre s'émancipe aussi, dans le sud deux grands duchés; celui d'aquitaine, de gascogne

demande autorisation au pape Alexandre VI de répudier sa première femme pour épouser la veuve du défunt Anne de Bretagne (1500) *question de la Bretagne pas réglée. Héritière du duché, Claude de France (fille Louis XII et Anne de Bretagne) est un moment fiancée à Charles Quint, apportant dans sa dot duché&s de Bretagne et Bourgogne. Mais forte opposition : par ex. lors de l’Assemblée des notables de 1506, Louis XII recule et marie sa fille avec François d’Angoulême, héritier du trône *Louis XII passe pour

des comtés est admis. De fait, les comtés vont tendre à faire partie du patrimoine des comtes qui pourront les transmettre à leurs descendants. C'est au début du Xème siècle que les premiers grands fiefs apparaissent, comme le duché de Normandie en 911, les duchés de Bourgogne et d'Aquitaine, le comté de Flandre, etc. L'empire carolingien n'a pas les moyens de s'opposer au développement de système féodal, qui fait tendre en de multiples territoires autonomes un territoire auparavant unifié. L'empire

création de Principaux. Des le 9eme, ils ont tendance à vouloir se stabiliser. Leurs fondations sont nombreuses : 876 : le royaume de York (en Angleterre) qui va dominer tout le N-E de l’Angleterre 911 : installation en Francie Occidentale avec le Duché de Normandie avec Rollon comme chef. Signature d’un traité qui reconnaît leur installation. Les Danois ont donc penetré en plein dans le territoire de Charles le Chauve. Paris a été attaqué 4 fois en un siecle, les tributs sont lourds, pillages,

l’Allemagne. En effet, en 1384, ces Etats seront unifiés par les ducs de Bourgogne (ils seront nommés Pays-Bas (Belgica en latin). Cette unification prendra fin en 1443. On distingue dès lors : * Les Pays-Bas du Nord : Etat protestant et indépendant (les futurs Pays-Bas) ; * Les Pays-Bas du Sud : gouvernés par des souverains étrangers jusqu’en 1830. En 1839, une partie de la Belgique forme un nouvel Etat : le Grand Duché du Luxembourg ; En 1789-1790, les Pays-Bas du Sud acquièrent pour la

II en 1552 lors de son expédition militaire qui permit à la France d'occuper Metz, Toul, et Verdun. Si les raisons du voyage en lorraine ne sont pas militaires, elles sont politiques, en effet, les barrois contestent la souveraineté du roi sur le duché. Par sa présence (entrée royale le 1er mai cérémonie de représentation du pouvoir royal) le roi réaffirme ses prétentions sur la Lorraine. De plus le souverain à Bar-le-Duc, rencontre sa soeur Claude mariée au duc de Lorraine Charles III cousin des

Bretagne et la Bourgogne. 2-Fin des des principautés et abaissement des princes Il existe 2 grandes principautés qui subsistent : La Bretagne et la Bourgogne * La bourgogne : cette province divisée en 2 partie avec à la tête des gens très brillant les ducs de bourgogne. Le duché de bourgogne et le comté de bourgogne et les ducs de bourgogne voulaient créer une sorte d’état entre la France et l’Allemagne. Louis 11 va essayer de faire en sorte qu’il y est la guerre en bourgogne puis le dernier

payer une taxe qui a survécu jusqu’au XXème siècle. Les sujets du seigneur sont obligés d’obéir au seigneur. La seigneurie est à la base une unité territoriale géographique, implantation d’origine rurale. Il y a des grandes seigneuries : Bourgogne, Provence… Et puis des petits seigneurs qui disposent de seulement quelques hectares. Il y a une hiérarchie avec les seigneuries titrés qui vont accorder aux seigneurs un titre : au sommet les Ducs (avec les marquis…) et en bas le chevalier qui constitue

les groupes féodaux deviennent des Etats quasi indépendants dont les rapports avec le roi sont réduits au minimum. La preuve de cela c’est que les princes féodaux cessent de s’appeler « comtes du roi ». Le roi tente de garder sa domination sur le duché de France (Louis VI) et ne devient rien d’autre qu’un seigneur féodal : la disparition de la fonction de chef de guerre et la féodalisation ont affaibli sa position monopolistique. La maison des Capétiens avait en réalité de la difficulté à lutter