Duché

continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Louis sur celui de Hollande, Jérômesur celui de Westphalie et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée également un duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet temporairement à son influence des puissances vaincues telles que leRoyaume de Prusse et l'Empire d'Autriche. Objet, dès son vivant, d'une légende dorée comme d'une légende

semblable état où elles étaient avant la dite érection en duché, sans que nous ni nos successeurs puissent prétendre aucun droit et faculté de réunion, propriété et reversion dudit duché à notre couronne » , de sorte que le 18 août 1862, la mort du dernier bénéficiaire des lettres patentes de 1767 avait provoqué un retour de facto à l’Etat du titre, les terres retournant « au même et semblable état où elles étaient avant la dite érection en duché », la simple logique exprimant que les dites terres sortaient

2. Le problème de la perméabilité ou d’ouverture de frontières. 3. le problème d’éventuelle discontinuité plus le problème de la rectification des frontières (cf. la rectification française avec 20.04.1990 Accord et 24.05.1989 France et Grand duché du Luxembourg). B. Le territoire maritime. Le territoire maritime existe lorsque l’état a une façade maritime. Il existe deux type de facades : 1. Vers le large (ne pouvant être supérieur à 12 milles marins) 2. vers le pays voisin

autrefois dédié à Athéna, devient une cathédrale, dédiée à la Vierge Marie. En 857, le Parthénon est changé cette fois en église métropolitaine. Beaucoup plus tard, en 1146, Roger de Sicile assiège la ville. En 1204, les Français préparent le duché d’Athènes, gouverné successivement par les sires de la Roche et de Brienne, les aventuriers aragonais, les Almuvagares, les Florentins, et les Acciauoli (en 1385). Ceux-ci redonnent de l’éclat à Athènes, et transforment l’Acropole en manoir. 2.

sous le titre d'Henri II. Souveraine pour la seconde fois de sa vie, Aliénor mène alors une existence itinérante, entre son royaume anglais et ses possessions continentales. Peu attachée à son second mari, Aliénor préféra continuer à gouverner le duché d’Aquitaine où elle anima à Poitiers une cour brillante, entourée de poètes et d’artistes. Elle finança une partie de la construction de la cathédrale Saint-Pierre au XII siècles. Aliénor se fera représenter sur l’un des plus anciens vitraux de France

en lui le souvenir douloureux de Léopoldine, sa défunte fille. Il traverse plusieurs fois le Grand-Duché de Luxembourg en 1860 alors qu'il se rend sur le Rhin allemand. En 1871, après la Commune de Paris, tandis qu'il est expulsé de Belgique pour y avoir offert asile aux communards poursuivis dans la capitale française, il trouve refuge du premier juin au vingt-trois septembre dans le Grand-Duché. Il séjourne successivement à Luxembourg, à Vianden, à Diekirch et à Mondorf, où il suit une cure thermale

(corporel et incorporel) : personne n’a le droit de vendre des terres appartenant au domaine royale. - Les apanages : sont des terres issues du domaine royale que le roi donne à un prince mais qui reviennent à la couronne à la mort de celui ci.( le duché d’Orléans est souvent donné en apanage au fils cadet du roi). Pratique répandue au moyen-âge. - Les grands fiefs : sont des territoires appartenant à de grands seigneurs ayant prêtés hommage au roi de France. Ils possèdent leurs propres terres et

ambassadeur à Vienne. Avec Marie-Thérèse d'Autriche, il négocie fructueusement le mariage de Marie-Antoinette avec le dauphin de France, duc de Berry, petit-fils de Louis XV, le futur Louis XVI. Pour services rendus, le comté de Stainville sera érigé en duché ; Etienne-François deviendra duc de Choiseul. En 1770, Marie-Antoinette arrive en France et se marie avec le dauphin, le 16 mai. Mais, après ce mariage "diplomatique", faisant d'elle le relais de la politique autrichienne en France, Marie-Antoinette

l'objet de plusieurs interprétations : il pourrait s’agir d'une allusion aux premières lettres d'une devise du duc « En Vous » ; où encore d'une allusion à la première et dernière lettre du nom « Ursine ». Ce nom pourrait aussi bien être le patron du duché de Berry, ou alors le nom d'une ancienne maîtresse du duc. Ce nom se retrouve dans des symboles héraldiques parlants qui reviennent à plusieurs reprises dans le cadre du manuscrit évoquant alors en nom ou en fonction le possesseur de ses armes

Beaujeu en sa qualité de femme politique continue à gérer les terres de Bourbon. Autrefois régente du royaume, elle est à présent maitresse d’une cour brillante où les mœurs et coutumes doivent être honorées et respectées. En parallèle de la gérance du duché bourbonnais, elle doit éduquer sa fille avant son union. En effet la mort du duc de Bourbon Pierre II confère à Suzanne la qualité d’héritière d’une puissante principauté. Par son expérience dans l’éducation (celle de son frère et celle de Marguerite