Dudard Metamorphose Rhinocéros

André Durand présente Eugen Ionescu dit Eugène IONESCO (Roumanie -France) (1909-1994) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’La cantatrice chauve’’ et ‘’Rhinocéros’’). Bonne lecture ! Né à Slatina en Roumanie, le 26 novembre 1909, d’un père roumain et d’une mère française, il vint à Paris à l’âge de deux ans, la famille déménageant parce que le père venait y étudier le droit. Mais, en 1916, quand l'Allemagne déclara

4 : Candide de VOLTAIRE. Page 5 à 6 : Zadig de VOLTAIRE. Page 7 et 8 : le misanthrope de MOLIERE. Page 9 et 10 : le jeu de l’amour et du hasard de MARIVAUX. Page 11 et 12 : le mariage de Figaro de BEAUM- ARCHAIS Page 13 : Rhinocéros d’Eugène IONESCO Page 14 : La leçon d’Eugène IONESCO Page 15 à 17 : Pierre et Jean de MAUPASSANT Page 18 à 24: La bête humaine de ZOLA Page 25 et 26 : Claude gueux d’HUGO Page 27 et 28 : Un sac de bille de JOFFO Page 29 : Calligrammes d’APPOLLINAIRES

(ouverture) : John Steinbeck, Des souris et des hommes En vue de l’entretien : Mouvements littéraires : Le XVIème siècle et l’Humanisme, l’idéal de l’honnête homme au XVIIème siècle. Les genres de l’argumentation : l’apologue ***** Séquence IV Rhinocéros, Ionesco : farce ou tragédie ? Problématique : En quoi la pièce reflète-t-elle un monde troublé sur le plan politique et moral ? En quoi remet-elle en cause les genres et les codes de la représentation théâtrale ? Objets d’étude : 1) Le texte

rôle du poète : « Correspondances » « l’Albatros » « Bénédiction »   L’idéal « la Vie antérieure » « L’Idéal »   La représentation ambiguïté de la beauté « Hymne à la beauté » « Au lecteur »   Lectures cursives : Le mythe de Lilith : avatars et métamorphoses d’un mythe romantique « Mélusine », de Jean Lorrain, extrait de l’Ombre ardente, 1897 « Ekhidna », de Leconte de Lisle, extrait de Poèmes barbares, 1862 « Herodiade » de Théodore de Banville, extrait des Princesses, 1874   le blason : une résurgence

S’il n’en comprend pas la signification, il en perçoit le caractère particulier. Au contraire, il comprend parfaitement la réaction de sa mère qui semble sortir de « sa longue nuit polaire » (l. 3) et interprète comme une « tempête de joie » la métamorphose de son visage, « fibre par fibre » (l. 13 à15). 4. Le narrateur insiste sur son devoir de vérité visà-vis du lecteur parce qu’il veut lui montrer que sa mère était parfaitement capable de faire naître le désir d’un homme et d’éprouver la joie