Duplice

conséquent dans le système bismarckien. L’AH est moins pressée de voir la Russie s’y associer mais par peur de perdre l’amitié allemande finit par céder. Le 18 juin, un nouveau traité des Trois Empereurs est conclu. Le traité, ne supprime pas la Duplice (alliance austro-allemande), mais s’efforce d’atténuer la rivalité austro-hongroise. Il porte essentiellement sur 3 points : 1) Neutralité des 2 autres puissances si la 3ème se trouve en guerre avec un pays étranger à l’alliance 2) L’AH et la Russie

conséquent dans le système bismarckien. L’AH est moins pressée de voir la Russie s’y associer mais par peur de perdre l’amitié allemande finit par céder. Le 18 juin, un nouveau traité des Trois Empereurs est conclu. Le traité, ne supprime pas la Duplice (alliance austro-allemande), mais s’efforce d’atténuer la rivalité austro-hongroise. Il porte essentiellement sur 3 points : 1) Neutralité des 2 autres puissances si la 3ème se trouve en guerre avec un pays étranger à l’alliance 2) L’AH et

cause de tensions la Russie s’éloigne et l’Allemagne s’allie avec les Italiens. C’est alors la France qui s’allie avec la Russie. Mais cette alliance se forge en plusieurs étapes : Allemagne s’allie avec l’Autriche-Hongrie en 1879, elles forment le Duplice et c’est en 1872 qu’elles s’allient avec l’Italie pour former le Triplice. Cette alliance est donc ancienne et solide mais les écarts se creusent du fait que l’Italie se démocratise. L’entente est donc difficile en 1914 entre l’Italie et les deux

défensive tourné contre la Russie en octobre 1879 : « La duplice ». Ils forment la duplice. Malgré tout la Russie commence à se sentir isoler mais elle n’envisage pas de se rapprocher de la France. Le Tsar de Russie va envisager de se rapprocher de la duplice et Bismarck en 1881 reconstitue l’entente entre les trois empereurs : si l’une des puissances se trouve en guerre avec un pays les deux autres resteront neutres. En 1882 l’Italie adhère à la duplice qui se transforme en Triplice. Cette Triplice va fonctionner

la langue, c’est l’unité morale d’une pensée commune »). Relation entre le nationalisme et la première guerre mondiale : Les nationalismes créent et défont des systèmes d'alliances : • Trois Empereurs entre 1848 et 1878, Duplice 1879, Triplice 1882. • Triple entente en 1907. Les nationalismes sont à l'origine de différentes zones de tensions : • Entre la France et l'Allemagne : une rancœur résultant de la perte de la France contre l’Allemagne qui

l’hégémonie · Modif de l’ordre européen· 1879-1907 : multiplication d’alliances · 1879 : Bismarck alliance Aut-Hon = duplice · 1881 : alliance 3 empires All/Aut-Hon/Russe · 1882 : Ita = Triplice· 1890 : rupture

Berlin désarmorce une guerre majeure. Bismarck essaie de neutraliser toutes les querelles, mais aussi essaie de renforcer les alliances de l’All. 3. De la Duplice à la Triplice 1879-1882 34 Non seulement Bismarck encourage les Français à la conquête, mais fait de même pour que les Russes avancent en Aise orientale. 7 octobre 1879 : la Duplice est signée. Il ne s’agit que d’un acte secret d’alliance austroall. Si l’une des deux puissances est attaquée par la Russie, alliance automatique : mise

récurrente de la fertilité et de la femme comme inspiratrice, cf. « La Courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur » = ici où seul le regard est source de fertilité mais c’est plus compliqué et plus nuancé = retenir que la femme est DUELLE voire DUPLICE à certains égards. - Une femme naturelle : rôle d’initiatrice ouvrant sur le monde et le bonheur EX : « Le Don » (24) : célébration amoureuse puissante qui énumère les images comme on le ferait ds un blason : « la figue » métaphore familière du

pire un adversaire. N’oublions pas de surcroît l’enseignement du Phèdre, qui établit la possibilité d’une bonne rhétorique. Plus radicalement, dans la dernière partie du Phèdre, Platon dit que ce qui advient (ce qui arrive), ce sont des choses duplices, et Aristote rappelle à juste titre que Platon a été influencé par l’héraclitéen Cratyle. Dans la mesure où il se bat avec des apparences, comme dans la caverne, Socrate est à première vue assez indiscernable du sophiste dont le monde est mouvant

raison, c’est proprement le sentiment par lequel nous jugeons quelque chose ridicule »60. Ainsi « l’apparence de ridicule » nous donne-t-elle « la connaissance du défaut de raison d’une chose »61. 62  p. 114 ; GC 1178. 41De sorte que tout comportement duplice est ridicule, au sens où il présente des apparences malséantes ; malséantes parce que produites par une disconvenance : Tartuffe, par exemple, exhibe les apparences de la dévotion, mais il se comporte simultanément comme un goinfre libidineux. La