Déficit De La Balance Commercial

I : La situation du commerce extérieur de la France 1) L’analyse du commerce extérieur Selon la Balance des transactions courantes (ensemble des échanges entre la France et le reste du monde) Française effectuée par l’INSEE, on note que celle-çi est déficitaire sur les biens et les transferts courants mais que le solde est positif sur les services et les revenus.De 2008 à 2010 le chiffre du déficit de – 33.7 Millards d’euros reste identique, par contre pour les services ont note que les exportations

ouvertes sur l’extérieur (elles s’internationalisent). Taux d’ouverture : ((X+M)/2)/PIB X100 (Moyenne des exportations et des importations). Ou X/PIB X100 (Taux d’exportations par rapport au PIB). Problème de contrainte extérieur : Gestion du déficit commercial. (Trop d’importations et pas assez d’exportations) Monnaie nationale → Risque de la perte de la valeur de la monnaie. 2. Les évolutions des échanges de marchandises - Par grands groupes de produit. Produits manufacturés = 75% Produits

en œuvre par l’état pour parvenir à des fins. Ces politiques économiques sont variées : politiques conjoncturelles : politiques monétaires, budgétaires et politiques de change. politiques structurelles : politique de la concurrence, politique commerciale, politique industrielle, politique de l’emploi, politique fiscale. La régionalisation est inclue dans la mondialisation. Marge de manœuvre, 2 aspects : finalités que l’on pouvait espérer atteindre (finalités de la politique conjoncturelle et structurelle)

BP) nécessite de prendre en compte les relations économiques et financières de l’économie étudiée vis-à-vis du reste du monde. Ces relations extérieures sont synthétisées dans la balance des paiements (BP) d’un pays. Cette BP a une double composante : BP=BC+BK [1] BC : balance commerciale, le haut de la BP Bk : balance des capitaux bas de la BP La BC c’est l’ensemble des mvts internationaux de capitaux avec contrepartie réelle c’est à dire des mvts de capitaux qui correspondent à l’achat et

Orientée vers la stabilité monétaire à court terme et un contrôle de l’inflation. En ce qui concerne les taux d’intérêts directeurs ils ont été ramenés aux alentours de 4% en 2013 contre 18% en 2009. Dette publique et déficit budgétaire : Après la crise la dette publique et le déficit budgétaire se sont fortement accrus. Elle se montait à 26% du PIB en 2005, mais un accroissement spectaculaire a commencé avec la crise pour atteindre en 2009 un niveau de 99% du PIB. En effet, les ménages et entreprises

perspectives de moyen terme prévoient un maintien de ce rythme de 6 à 8 % de croissance par an. On assiste aussi à une stabilisation du taux d'inflation aux alentours de 5 %, le Gouvernement prévoyant une diminution de ce taux dans les années à venir. Le déficit public s'établit pour 2005-2006 à 7,7 % du PIB. La dette publique est stable aux alentours de 85 % du PIB. 2. Une main d'oeuvre abondante, qualifiée et peu coûteuse a) Une main d'oeuvre qualifiée... L'abondance de la main d'oeuvre va de soi, étant

Document : La balance des paiements déficitaire pour le deuxième semestre consécutif ! Le compte des transactions courantes déficitaire de 24 milliards de DH à l’issue des six premiers mois de 2009. Le compte de capital et d’opérations courantes voit son excédent baisser de 21,2 %. Des signes de sortie de crise chez les partenaires étrangers, mais les effets ne seront pas immédiats sur le Maroc. [pic] La crise est passée par là, il fallait donc s’y attendre : les comptes extérieurs, qui

fonctionnement ont augmenté surtout sous l’effet de l’augmentation des dépenses de personnel et de celles de compensation ; 3 pts c- Cette envolée des dépenses de fonctionnement risque d’entrainer une aggravation du déficit budgétaire. 1,5 pt 10-Le recours au marché interne pour le financement du déficit budgétaire risque d’entrainer : - un effet d’éviction : priver le secteur privé de ressources monétaires et financières appropriées et risque de renchérir les crédits ; 1,5 pt - un effet boule de neige : alourdissement

stipulent que les pays en développement connaissent des problèmes lies a leurs dettes extérieur a cause du déficit de leur balance de paiement. Cette difficulté est liée a deux causes majeurs a savoir: _ Les déficits budgétaires et; _ Le niveau élevé du taux de change, jouant lourdement sur les échanges internationaux (Importations-Exportations), ainsi responsable de la balance commerciale généralement déficitaire. _ Ensuite, les dépenses publiques exagérées car elles font l'objet de peu de contrôle

secondaires. Les revenus primaires sont ceux qui résultent d’une participation à une opération de production, ils peuvent prendre 3 formes (revenus du capital, revenus du travail, revenus immobilier ou revenus mix de la propriété). BNC = Bénéfice Non Commercial Les revenus secondaires ou de transports (revenus de transferts courants tels que la sécurité social, les assurances et revenus de transferts en capital tel que les subventions, les aides à l’investissement). Les opérations de répartitions décrivent