Défilé Des Soldats Mutilés

Fils de riches viticulteurs, Gustave Violet est né à Thuir en 1876. Pendant trente ans il vécut à Prades où il avait son atelier. Ancien poilu, il réalise le monument départemental à Perpignan. Il ne veut pas glorifier la guerre mais honorer les soldats et faire l'éloge du pays natal catalan d'où sont originaires tous ces morts. Source: http://www.collegejeanmoulin.net/le-college/histoire-des-arts/objets-detude/139-le-monument-aux-morts-departemental-de-la-1ere-guerre-mondiale L'oeuvre

« Appel des mutilés et des combattants du Loiret » Ce document est un extrait d’un texte de La France mutilée datant du 29 octobre 1922, s’intitulant « Appel des mutilés et des combattants du Loiret », tiré du livre Les Anciens Combattants d’Antoine Prost, un historien français qui a soutenu sa thèse d’Etat sur ce sujet. Ce document est public et officiel. Il s’agit d’un bulletin d’association réalisé par des associations d’Anciens Combattants et Mutilés qui s’adresse au peuple français

le Président du Conseil Clemenceau, organisateur de la victoire, à MM les maréchaux Foch et Joffre, libérateurs du territoire, aux armées françaises et alliées, sublimes vainqueurs. Il adresse, au nom de Béziers, son souvenir ému aux morts, aux mutilés, aux survivants de la grande guerre, à tous les héros, connus et inconnus. Vive la France une et indivisible! Vivent les glorieux Alliés ! Du balcon du Théâtre, M. Verdier, maire, fait part de la signature de l’Armistice à la foule massée sur le

meilleur comme du pire. | Le dormeur du val (1870)C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un

communiste français. Puis la C.G.T. connaît la même division en 1921. C. Faire payer l'Allemagne • Des villes ont été détruites, comme Reims ou Verdun. Trois millions d'hectares de terres ne peuvent plus être cultivés. Les victimes de guerre, les mutilés, les veuves et les orphelins, reçoivent des pensions versées par l'État. Certains emplois sont réservés aux invalides. • Le traité de Versailles, qui permet le retour à la France de l'Alsace et de la Lorraine, est construit autour de l'idée d'une

une accalmie et de ne pouvoir les secourir. ( la † des autres renvoie inexorablement le soldat à l’angoisse de sa propre †, et c’est elle qui constitue la trame même de cette expérience impossible à oublier. L’angoisse est particulièrement forte ds l’attaque et ss les bombardements. * L’attente de l’attaque est au contraire un moment interminable et éprouvant. Dès qu’il apprennent qu’il vt attaquer, les soldats sentent / eux la menace de la †. Les préparatifs les contraignent à une activ qui les

avec George Grosz et Max Beckmann, il fonde la ''Nouvelle Objectivité''* (Neue Sachlichkeit). Dix consacre une série d' œuvres montrant l' horreur de la guerre, il est profondément marqué par la violence qu'il a pue voir, il raconte son expérience de soldat et critique la guerre sans ménager les anciens combattants. Il cherche à se sortir ces images d'horreur de la tête, peindre lui sert de thérapie. 1933 : Hitler arrive au pouvoir en Allemagne et les œuvres d’ Otto Dix sont qualifiées ''d’art dégénéré''

AC comme témoins et non comme acteurs. Révèle les mentalités françaises de l’entre-deux guerres. I – LE SOUVENIR p.11 Quels souvenirs les soldats qui firent la G de 1914 en ont-ils gardés ? Par quels épisodes ont-ils été durablement marqués ? Quelle trace la G laissait-elle dans leur mémoire en 1930 ou 1940 ? L’expérience de la mort p.13 Pour les soldats, la mort n’est plus un concept mais une réalité du quotidien, qui agit sur eux et les change profondément. La mort des autres : extrêmement

Plus de 8 millions de français ont été mobilisés, soit 20% de la population, représentant, à l'époque 75% des hommes de 20 à 55 ans. Rappel de ce qu'est la guerre des tranchées ou guerre de position: après trois mois de guerre de mouvement, les soldats s'enterrent dans des tranchées. C'est une guerre défensive, une guerre d'usure, une guerre dans laquelle les forces sont à peu près à égalité et il est très difficile de l'emporter sur l'ennemi. Chaque mètre carré gagné coûte des vies humaines de

Conseil municipal poursuit ses œuvres. Pour une si petite commune, les dons pris sur le budget communal semblent considérables. Le 23 janvier 1916, on vote « un secours communal en faveur de deux œuvres : le paquet du soldat et le secours aux soldats sans famille. » Le paquet du soldat consiste en un envoi de produits qui pouvaient améliorer son quotidien : cigarettes, rasoir, chandails, paires de bas, rations alimentaires… Le 17 février 1916, on lit une lettre du Préfet qui tenta sans succès de