Désindustrialisation

apparaît de moins en moins comme une société de classes. Nous présenterons en second lieu des arguments témoignant du maintien d’un clivage entre les groupes sociaux. Modification du monde du travail - Salarisation : cf. texte 1- Tertiarisation et désindustrialisation : cf. texte 1- Amélioration des conditions de travail [grâce aux luttes syndicales des années 1 930 et 1 960 : congés payés, mise en place des CHSCT (Comités d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail)…]- Affaiblissement de la conscience

l'industrie médico-pharmaceutique (sur-médication, effets secondaires des traitements, maladies nosocomiales...) - Délocalisations massives vers des "pays émergents" dont le faible coût de la main d'oeuvre est garanti par l'absence de démocratie - Désindustrialisation des pays occidentaux, avec une perte progressive mais irréversible du savoir-faire industriel - Instauration d'un nouvel esclavage, avec une augmentation du temps de travail, une réduction des salaires et des droits sociaux, une précarité

en Inde). Certaines études quantitatives économétriques tentant d'évaluer ces deux aspects seraient arrivées à la conclusion que les gains des pays riches à la division internationale du travail sont supérieurs aux pertes (délocalisations, désindustrialisation). Le problème des pays riches face à la mondialisation économique serait donc avant tout un problème de répartition de gains afin de pouvoir indemniser les autres pays en leur accordant une part des gains proportionnée à leur perte. Toutefois

et jouent un rôle structurant au sein du pays, assurant le lien entre les métropoles et les territoires ruraux. b) Elles présentent de nombreux signes de fragilisation  : perte d’attractivité, désindustrialisation, déficit migratoire voire démographique, chômage et pauvreté, fermeture des équipements publics (hôpitaux, tribunaux . . .) . . . en particulier dans le Nord et l’Est. La plupart s’estiment sacrifiées par l’Etat au

l’audiovisuel : téléviseur…). * de 1973 -1990 : Après les chocs pétroliers la croissance dépressive est une période de montée du chômage mais de pouvoir d’achat élevé dans les pays développés. On parle parfois de « Trente Piteuses » après 1973 avec la désindustrialisation et les délocalisations. * 1990-2008 : le développement d’Internet a été le moteur de la Net économie. Mais la spéculation financière est à l’origine d’une crise majeure en 2008. Croissance économique : Augmentation durable de la production

si les écarts entre riches et pauvres est toujours plus poussé dans ces pays du sud. L’occident continue à être eu avance sur les les critères de l’I.D.H mais cette situation ne peux durer vue la dégradation l’appareil de production et la désindustrialisation pendant que le sud affiche une croissance élevée. Le phénomène de croissance peut être approfondi par les notions d'expansion, de développement et de progrès. Si l'expansion désigne une amélioration quantitative à court terme des performances

Alors que la situation des ouvriers s’est améliorée au cours des trente glorieuses, celle des ouvriers non – qualifiés s’est fortement dégradée notamment avec la concurrence internationale, délocalisation mais aussi avec le processus de désindustrialisation de la France, informatisation de la production et chute de la demande de travail non qualifié. Un déclin du sentiment d’appartenance de classe serait à l’origine de l’affaiblissement de la classe ouvrière . En effet , dans les sociétés

européens apparaissent brutalement aux peuples des Amériques, ils les dominent les colonisent, les « conquistadorisent » et les exploitent. (Ex : Au Kenya, les 1% des blancs possédaient 50% des terres). b. Néolibéralisme - C’est une désindustrialisation qui provoque une diminution du marché national. - La privatisation des industries bloque le pays. - Certaines organisations exercent un contrôle sur les mondes entiers telles que la

sont la conséquence de stratégies particulières à ce contexte. Aussi, la reconversion d'espaces meurtris au cœur des villes en lieux plus vivant, rentable et sécurisé, est une pratique bien antérieure à la période de désindustrialisation. Cependant, c'est cette désindustrialisation qui a amené à réfléchir à de nouveaux moyens permettant de transformer ces lieux en pôles économiques attractifs pour le secteur tertiaire et pour le monde culturel, désormais indispensables à un bon développement de la

un rôle très important dans l'économie communautaire. Sa situation est, à certains égards, paradoxale : tandis que sa productivité croît plus lentement qu'aux Etats-Unis et que les délocalisations inquiètent au point que certains parlent de "désindustrialisation", l'industrie européenne maintient sa part de marché dans le commerce mondial (contrairement aux industries américaines et japonaises) et est, de fait, le principal acteur de la mondialisation. Il y’a des atouts qui font de l’UE une puissance