Développement Communal

« Monsieur le Maire ne peut que s’insurger et regretter la tentative de certains de politiser les associations, ce qui, à terme, ne fait que conduire à leur perte. » « Il réitère ses craintes de voir certains bureaux d’associations « noyautés » à des fins politiques, ce qui ne peut rien apporter de bon aux associations.» NON VOUS NE REVEZ PAS !!! Ces menaces contre les associations ne sont pas extraites d’anciens comptes rendus de conseil municipal de Vitrolles ou de Toulon à de sombres époques

Question 1 : Depuis 2007 factorplus souhaite réduire ses coûts de gestion et moderniser la gestion des créances clients. En 2008 le dirigeant décidé d'améliorer la qualité des services proposés à ses clients de s'engager à respecter les délais de traitement des créances et de réduire les stocks de créances en attentes. Cette modernisation de la gestion des créances doit permettre d'améliorer l'image de marque de l'entreprise auprès des restaurateurs et de positionner factorplus sur de nouveaux

CENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIAL CCAS Autrefois appelé Bureau d'aide sociale (BAS), la loi no 86-17 du 6 janvier 1986 a substitué le nom de Centre communal d'action sociale à l'ancienne dénomination. Le centre communal d’action sociale coordonne les actions menées dans le champ social sur le territoire communal. Il est un des principaux acteurs de la ville en matière d'actions sociales. En France, un CCAS est un établissement public communal intervenant principalement dans trois domaines :

PFMP 1 | CENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIALE | | SERVICE DEVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL | | | | | SOMMAIRE Introduction page 1 I. PRESENTATION DE LA STRUCTURE pages 2 à 5 1.1 Les services du CCAS et son personnel 1.2 Les partenaires et réseaux 1.3 Les ressources financières 1.4 Public accueilli II. ACTIVITES DU SERVICE pages 6 à 9 2 .1 Aides légales 2.2 Aides sociales 2.3 Aides facultatives

INTRODUCTION Dans le cadre de ma dernière année de baccalauréat service de proximité et vie locale, j’ai eu l’opportunité de réaliser un stage de 6 semaines du 14 janvier au 15 février 2013 au sein du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Biscarrosse. A travers mon rapport, vous découvrirez ce que j’ai effectué tout au long de mon stage. Pour ce faire, différentes parties constitueront ce rapport : Dans un premier temps, nous allons aborder la présentation de l’organisme. Puis

RAPPORT DE STAGE Lycée Marcel Pagnol Période de Stage du 12 Novembre au 20 Décembre 2013 Centre Communal d'Action Sociale (CCAS) LE SOMMAIRE : REMERCIEMENTS 3 Présentation et missions

JULIE Le sommeil chez les personnes en situation de précarité 2012 TABLE DES MATIERES 1- L'Animation Territoriale de Santé de Bourges 1 1.1 Le Centre Communal d'Action Sociale 1 1.2 La mise en place du Contrat Local de Santé par l'Animation Territoriale de Santé 1.2.1 L'Animation Territoriale de Santé 2 1.2.2 De l'Atelier Santé Ville au Contrat Local de Santé 3 1.3 Le fonctionnement du Contrat Local de Santé 1.3.1 COPIL 3 1.3.2 COTECH 3 1.3.3 Rôle du maître de stage 4 2- L’émergence

Introduction La politique sociale de la commune est déterminée par les élus et est assurée principalement par le Centre Communal d’Action Sociale. Notre projet a été mené par le Centre Communal d'Action Sociale (CCAS). Celui-ci a été créé en 1978 et a obtenu le statut d'établissement public administratif. Il exerce de multiples missions comme l'animation et le développement d'actions dans le champ social notamment auprès de personnes démunies, de personnes âgées et de la petite enfance. Il accueille

le sujet traité dans son contexte général et à ses capacités rédactionnelles, afin de dégager des solutions opérationnelles appropriées Sujet : Vous êtes attaché territorial, responsable du service « interventions sociales » au sein du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de la Ville de X. Vous avez, entre autres, la responsabilité des aides dites « extra-légales » du CCAS en direction des publics en difficulté. La commission permanente du CCAS, mise en place par le Conseil d’administration

LF) mais elles peuvent aussi être des établissements privés à but non lucratif (612 LF) et des établissements privés à but lucratif (83 LF). Bien que les Logements-foyers ont tendance à diminuer (153 000 places installées en 2009), en raison du développement grandissant des services d'aide à domicile, ils restent un mode d'habitat essentiel. Les Logements-Foyers accueillent des personnes âgées autonomes et valides, de soixante ans et plus, relevant principalement des Groupes Iso-Ressources (G.I