Développement Structuré Du Pib

pétroliers) : 1974-75 : brutale mais courte ; baisse du PIB de 0,4% en 1975 ; 1976 hausse de 4,7% 1980-83 : moins grave mais plus longue ; hausse du PIB de 3,3% en 1979, hausse de 1,3% en 1980 & de nouveau 1,3% en 1981 donc en 1982 baisse. Et n'est remonté qu'à 2,6% en 1983. => Fin de la grande croissance Seconde partie des années 80 : → Dynamisme de l'activité économique : Progression des investissements et de la productivité ; 1988 le PIB réel est de 4,5% et en 1989 de 3,3% → réduction du chômage

 Valeur Ajoutée (VA) = Production – Consommations intermédiaires (CI) = CA +/- Stocks - CI 2. La croissance est phénomène quantitatif que l’on peut mesurer. On retient en général le Produit Intérieur Brut (PIB) comme agrégat pour mesurer les quantités produites. Ce PIB doit être calculé en volume ou à prix constants pour éliminer la hausse des prix courants et pouvoir comparer les quantités produites évalués avec les mêmes prix de référence, les prix constants (voir TD et fiche méthode)

exclusifs (éclairage public, police...) Certains biens sont à l'origine d'externalités positives (éducation, santé...) B. La mesure de la croissance de la production Les agrégats : PIB et PNB quelles différences? Un agrégat est une grandeur synthétique mesurant le résultat de l'activité économique. PIB : mesure la richesse créée par les unités résidentes PNB : mesure la richesse créée par les unités nationales Les limites Certaines activités sont difficilement mesurables : Les

inflation nulle, stagnation voire chute du PIB… A longueur de colonnes on nous distille des chiffres alarmistes prédisant que le pire est à venir. Et si on se rappelait qu’il ne s’agit finalement « que » de chiffres pour les resituer à leur juste place : celle d’indicateurs qui ne sont finalement qu’imparfaits et qui peuvent être interprétés de différentes manières. L’une des principales mesures de la croissance économique est le Produit Intérieur Brut (PIB). C’est un instrument qui se veut exhaustif

fin 2001 à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), tout en appréciant son impact sur les principales régions du monde. Cette étude souligne également l’état des relations commerciales entre le Maroc et la Chine ainsi que leur potentiel de développement. Elle tente de mettre en évidence certaines dynamiques sectorielles remarquables, tout en précisant les opportunités et les menaces pour l’économie marocaine. Enfin, l’étude présente un train de mesures et stratégies économiques à même de permettre

? A. Le PIB B. Les indicateurs alternatifs C. Quelques pistes de réflexion I. QU’EST-CE QUE LA CROISSANCE ? A. Définition La croissance économique peut se définir comme « un accroissement durable de sa dimension, accompagné de changements de structure et conduisant à l’amélioration du niveau de vie ». Pour rendre compte du changement de dimension d’une économie, on a très souvent recours à des agrégats permettant de mesurer l’évolution de l’ensemble des productions tels que le PIB (Produit

macroéconomique, un développement du secteur financier préalable nécessaire au • Stabilité politique fondée sur une démocratisation crédible. • Situation macroéconomique du Maroc en nette amélioration sur la période 2001-2006 : ¾Trend haussier de la croissance du PIB (5% en moyenne). ¾Maîtrise de l’inflation (autour de 2%). ¾Repli du déficit budgétaire à moins de 3%. ¾Maintien d’une balance de paiements excédentaire autour de 2%. ¾Baisse du taux d'endettement direct du Trésor de près 10 points du PIB à 57,4%

Définition éco (1/…) Croissance éco : Augmentation auto-entretenue du PIB ou PNB, sur une longue période. Taux de croissance : (V1-V0) / (V0) x 100. Phénomène quantitatif, éco. Intensive (Qualité) ≠ Extensive (Quantité) PIB : Produit Intérieur Brut. C’est la somme des VA sur un territoire que l’entreprise soit nationale ou étrangère. PIB marchand ≠ PIB non marchand VA : Valeur ajoutée. CA – CI (=> Salaires + impôts + EBE) CA : Chiffre d’affaire. Recette x quantités CI : Consommation intermédiaires

essentiels du modèle : * taille relative des économies, mesurée par leur PIB * distance géographique entre les économies qui échangent Idée du modèle = les échanges sont d’autant + importants que la taille des économies est importante et d’autant + faible que la distance entre ces 2 pays est importante. Tij = A.(Yi.Yj)/Dij I et j 2 pays Tij = somme des flux d’échanges entre i et j dans les 2 sens (import et export) Yi = PIB de l’économie i Dij = distance géographique entre les 2 économies

php/les-manufacturiers-canadiens-de-vetements-et-la-concurrence-asiatique/#axzz2s7SJAxy8 Ce rapport d’analyse sectorielle comprend trois parties : d’une part une présentation de l’économie canadienne à partir de trois indicateurs économiques, d’autre part une étude de la structure du marché dans le groupe industriel SCIAN 3152 puis une analyse de quelques indicateurs significatifs de l’état de ce groupe accompagnée d’une présentation d’articles d’actualité. Une conclusion permettra de situer le groupe industriel au sein