Économie de marché

majorité d’économistes, indépendamment des clivages doctrinaux : reconnaissance massive du rôle des institutions témoignant d’une certaine convergence dans l’analyse du fonctionnement des économies de marché ; succès de la notion d’imperfection d’information montrant une reconnaissance partagée des « défaillances du marché », mais aussi des « défaillances institutionnelles » ; intégration des apports de la théorie des jeux révélant un intérêt commun porté aux questions d’interactions stratégiques, de rationalité

LA GRANDE ENTREPRISE NUIT-ELLE AU BON FONCTIONNEMENT DE L’ECONOMIE DE MARCHE ? I/ Le pouvoir de marché de la grde entreprise lui procure un avantage aux dépens des autres A_ Surprofit de la grde entreprise obtenu aux dépens du conso * Théorie du monopole -> l’ent combine les qttés produites au prix auquel elle les vend. Elle produit moins qu’en CPP, les conso achètent moins mais ceux qui achètent payent + cher Malthusianisme * Tentation du cartel (partage entre les entreprises du surprofit

l’économie ? Keynes destine que le mécanisme des prix est insuffisant pour absorber les chocs auxquels sont confrontés l’économie du marché. L’économie de marché peut donc connaître des déséquilibres durables d’où la nécessité pour l’Etat, d’intervenir à travers notamment des politiques de relance. Keynes est donc interventionniste : il ne remet pas en cause l’économie de marché, tout juste met-il en avant le fait que l’intervention de l’Etat peut s’avérer nécessaire en temps de crise, pour relancer la

normes sociales, environnementales et démocratiques, en passant par le soutien à une transformation du système économique, de sa philosophie, de ses institutions et de ses acteurs, ou encore par le rejet du système économique dans son ensemble (économie de marché, principe de la croissance économique, société de consommation, monopole des marques, propriété privée...). Si la réussite du mouvement de contestation s’avère indéniable, son devenir est toutefois difficile à appréhender, notamment depuis les

orientées marché XEFPFM – Principes Fondamentaux de Marketing Philippe PORTIER UPR Marchés et Innovation 22/01/2011 Copyright © EML Executive Development Philippe Portier – UPR Marchés et Innovation Innovation PRINCIPES FONDAMENTAUX DU MARKETING I II DU MARCHE AU PROCESSUS MARKETING LE PROCESSUS STRATEGIQUE EN MARKETING Philippe Portier – UPR Marchés et Innovation Innovation Page 2 Copyright © EML Executive Development –Vers des entreprises orientées marché – Philippe

maintenir une progression économique constante il faudrait continuer d'utiliser une grande quantité de pétrole car cela serait plus rentable que d'avoir recours aux énergies renouvelables. Le pétrole est indispensable pour rester compétitif sur le Marché Mondial, pour fabriquer et transporter les marchandises, pour faciliter la circulation de la main-d'œuvre. Toutes choses égales par ailleurs, une réduction de l'usage de l'hydrocarbure provoquerait des pressions inflationnistes. De plus, la consommation

Le libre-échange est une doctrine économique qui vise à limiter les obstacles à la circulation des biens, des services et des capitaux entre les économies nationales. Ce principe est à l’opposé total du protectionnisme. Les échanges internationaux concernent les pays du monde entier et étaient à l’époque fortement ralentie à cause du protectionnisme. Les biens et les services sont de plus en plus échangés au fur et à mesure que le temps passe et on peut donc se demander : Est-ce que le libre-échange

concurrence n’est plus autant stimulée dans le pays de l’économie sociale de marché. Les contrôles et les règles sont devenus trop contraignants, notamment ceux concernant les licenciements. Certes l’Allemagne se distingue encore par des prix stables, une exportation active et une monnaie forte. Même si l’on relève une légère baisse des impôts, ils restent élevés. En conclusion, force est de noter que les économies de marché les plus libérales tirent leur épingle du jeu alors que les pays bureaucratiques

ENCADRE 5 : Présentation et organisation du système bancaire tunisien L'insuffisance de l'épargne nationale au regard des besoins d'une économie en quête d'une croissance vive et l'absence de structure de financement directes mettant en liaison les épargnants et les entreprises, ont contribué à privilégier l'intermédiation bancaire : ce qui a fait du crédit bancaire de la source première de financement de l'économie. L'intervention du système bancaire dans l'économie tunisienne est incontournable

généralement associées à ce qui est perçu comme la transition d’un modèle bureaucratique et hiérarchisé à une logique de marché et de réseau. Les bureaucraties ont historiquement été considérées comme des éléments constitutifs d’un ordre démocratique légitime parce qu’elles sont soumises au contrôle d’un parlement qui est lui-même responsable devant un électorat. Si les marchés et les réseaux devaient remplacer les bureaucraties, nous aurions alors besoin de nouveaux outils pour garantir que ceux-ci