Économie du Niger

UEMOA/ CEDEAO, sur le processus d’intégration, d’harmonisation et de suivi des réformes ente les différentes commissions. La récurrence des crises alimentaires et énergétiques, la persistance de la pauvreté et de la précarité, la fragilité des économies ainsi que le déficit d’infrastructures, sont autant d’obstacles que connaît l’Afrique de l’Ouest depuis un certain temps. Dans le souci d’apporter une réponse structurée, cohérente et coordonnée et qui soit à la hauteur des enjeux, le président de

du territoire. a- Abidjan, vitrine de la Côte d'Ivoire b- L'ouverture maritime, aménagement du littoral c- Les transports II- Disparités et inégalités a- Ségrégation des plus pauvres b- Croissance démographique (exponentielle) III- Économie de la ville a- Le quartier du plateau b- L'activité industrielle et commerciale c- Le rôle du secteur privé Conclusion: la crise ivoirienne... Vers quel avenir? Vers une «ville monde»? I- Gestion urbaine, gestion du territoire La ville

de San Pedro comme pôle de développement de la région Ouest de la Côte d’Ivoire Le développement de la ville d’Abidjan s’est fait autour de deux infrastructures majeures, à savoir le port d’Abidjan et le chemin de fer reliant la Côte d’Ivoire au Niger. Les Autorités politiques s’étaient engagées, à travers l’Opération San Pedro, à reproduire ce schéma pour le développement de l’Ouest de la Côte d’Ivoire. L’arrêt de cette opération avec la dissolution anticipée de l’ARSO en 1980 n’a  pas permis

comme le rapport, au sein d’un même pays, des prix domestiques des biens échangeables et de ceux des biens non échangeables internationalement. Ce prix relatif est un 2 indicateur de compétitivité interne, i.e. des incitations internes pour une économie à produire des biens échangeables plutôt que des biens non échangeables (sous la loi Un pays est considéré comme petit, et donc preneur de prix, si sa demande intérieur est insuffisante pour modifier les prix sur le marché mondial. 2 La notion d’échangeabilité

et le Togo, elle apparaît de plus en plus présente en Angola, au Soudan, au Nigeria, au Tchad, au Gabon et en Guinée-équatoriale. La raison de cet intérêt pour ces États ressort du fait que Beijing y importe dorénavant plus du ¼ du pétrole que son économie énergétivore consomme annuellement. Outre le pétrole, elle convoite également des ressources naturelles qui lui font défaut sur son territoire. Cet état de fait explique notamment la présence de firmes multinationales chinoises en Zambie (cuivre

vont jusqu’à organiser des opérations militaires et à signer des « traités » d’abandon de souveraineté avec des chefs indigènes ! Même s’il s’agit là d’un cas extrême de confusion des genres, il n’est pas unique : l’Afrique de l’Est allemande et le Niger sont soumis à un régime quasi-équivalent. Au cœur des ténèbres L’Afrique centrale, pour sa part, voit se multiplier les abus les plus choquants. Au Congo français, par exemple, où la fête du 14 juillet devient prétexte à de sanglantes célébrations

jour (seuil extrême de pauvreté) et 50% avec deux dollars par jour (seuil de pauvreté). La plupart des pays du Sub présente un PIB/PNB minime comme le Niger avec 0,700 million alors que les Etats-Unis génèrent 12 300 millions. L’indice de développement humain est même alarmant pour les derniers de la liste qui sont la Sierra Leone, le Niger et le Burkina Faso qui présentent des bilans déplorable en matière d’alimentation, de santé (33 millions de séropositif dans le monde dont 22 millions dans

Le financement de l'économie constitue l'une des préoccupations majeure de nos états. Pour ce faire ils font appel au marché financier qui a pour vocation de mettre en relation directe les demandeurs et les pourvoyeurs de fonds présent dans une économie donnée. Cependant en tant que marché secondaire, le marché financier assure la liquidité et la mobilité de l'épargne par l'intermédiaire des différentes bourses et de leurs relais, les sociétés de gestion et d'intermédiation (SGI) qui assurent le

plaisir de vous faire parvenir un rapport exhaustif de ce séminaire. Le séminaire et le rapport ne constituent pas une fin en soi. Ils visent à impulser de nouveaux développements dans les Etats membres. Ce processus s'est déjà engagé, par exemple au Niger. Suite au séminaire de Ouagadougou, les responsables nigériens se sont mobilisés autour du thème des relations formationemploi. Nous avons été informés que les expériences relatives au Groupement d'Etablissements Techniques (GET) du Burkina Faso ont

présentant un niveau de développement relativement élevé et dans des pays présentant une stabilité politique . Le commerce de marchandise a augmenté de 50% en 50 ans ? Si l’on regarde d’un peu plus près , on remarque l’interdépendance entre les économies des différents pays du monde. On constate qu’il existe la DIT ( division internationale du travail ) : les pays du Sud produisent et exporte les matières premières et des produits primaires agricoles et ils importent des pays du Nord des produits