Économie marxiste

l'échec du modèle économiste soviétique, système collectiviste dans lequel l'Etat impose ses vues à l'économie par le biais notamment de la planification; cette absence de liberté économique destinée à « servir l'idéologie » c'est-à-dire la pensée marxiste-léniniste a échoué! -Le système est à bout de souffle. Gorbatchev était conscient de cette situation en 1985; « le pays allait mal » alors que « tout est ici en abondance ». Etat-continent aux ressources considérables, l'URSS, par bien des aspects

de pensée. Ceci apparait clairement dans les œuvres des économistes, dans les programmes des partis politiques. Et, il est à noter que notre monde été marqué par trois grands courants de pensée, que sont : * Le libéralisme ; * Le courant marxiste ; * Le keynésianisme Ces courants ont toutefois été précédés par le mercantilisme. 1-Le mercantilisme Doctrine économique apparue à la fin du XVème siècle et préconisant l’intervention de l’Etat pour aider les entreprises nationales (protection

d’économie des finances publiques Durée de séance de cour : 1h30min Introduction générale : cadrage théorique sur le concept de l’Etat - Les théories économiques de l’Etat La conception libérale La conception réformiste à l’Etat –providence La conception marxiste - Les grandes fonctions de l’Etat La fonction d’affectation des ressources La fonction de redistribution des revenus La fonction de régulation macro-économique - Les structures de l’Etat moderne et le secteur des administrations publiques Chapitre

Adam Smith et la main invisible ………………………………………. | 3 | 2. L’école keynésienne ……………………………………………… | 3 | a) Le principe de la demande effective …………………………………... | 4 | b) Les néo- keynésiens …………………………………………………….. | 4 | 3. L’école marxiste …………………………………………………… | 5 | a) Les apports de Marx …………………………………………………… | 5 | b) La recherche de la plus value ………………………………………….. | 5 | III. Etat gendarme et Etat providence ………………………… | 6 | 1. L’Etat gendarme : définition et contexte

L'expression Économie politique est créée au début du XVII° siècle et employée à l'origine selon Charles Gide 1 pour décrire « l'étude de la production économique, l'offre et la demande de biens et services et leurs relations avec les lois et coutumes; le gouvernement, la distribution des richesses et la richesse des nations incluant le budget ». Si, traditionnellement Antoine de Montchrestien, dans son « Traicté de l'Œconomie Politique » paru en 1615, est considéré comme l'un des premiers 2 3 à

 Paul Samuelson écrit en 1955, « ces dernières années, 90 % des économistes américains ont cessé d'être des « économistes keynésiens » ou « antikeynésiens ». Ils ont plutôt travaillé à une synthèse de ce qui était valable aussi bien dans l'ancienne économie que dans les théories modernes de détermination du revenu. Le résultat peut être appelé l'économie néo-classique et est accepté dans ses grandes lignes par tous, excepté 5 % d'auteurs à l'extrême gauche et à l'extrême droite »4. Malgré tout le courant

pensée économiques Plan : Introduction Les courants classiques I – Adam Smith * La main invisible * La division travaille II - David Riccardo * Avantage comparative III – jean baptiste Say * La loi de débouché Les courants marxistes I – Karl max * Définition du travail * Le capital variable Les courants néoclassiques * Définition de la valeur * Notion de l’utilité marginale * L’apport de cette école par rapport au classique Le courant libéral (classique+néoclassique)

équilibre. Le marché joue pleinement son rôle de régulateur en ajustant les prix à la hausse ou à la baisse. Cette approche libérale, est une approche microéconomique (dont la caractéristique essentielle est l’individualisme). 3 Le courant marxiste Courant né avec la Rév. Ind. (mi XIX) -> critique radicale du système capitaliste. 3 notions : ● la notion de plus-value : (=profit) c’est par l’exploitation des ouvriers que les capitalistes dégagent la plus-value. ● mise en avant des

La crise est-elle inéluctable dans les économies capitalistes ? La crise s’inscrit-elle dans la dynamique capitaliste ? I) La crise est exogène à la dynamique de la croissance * Impossibilité de crise chez les classiques (Say) * Même si la croissance est déséquilibrée, on peut éviter les crises en adoptant des politiques monétaires adaptées. Thèses Hayek, Friedman, Lucas. D’où une explication monétaire de la crise de 1929 *Dans la même optique: Salin: crise actuelle due à l’interventionnisme

politiques keynésiennes. L’économie n’était pas aussi mondialisée qu’aujourd’hui et les politiques de relance étaient souvent très efficaces pour relever le niveau de demande. Ex : Aux problèmes des pays en développement, les économistes d’inspiration marxiste préconisent le modèle de développement autocentré qui implique une forte intervention étatique dans l’économie. En fait, l’État doit favoriser des politiques de grands travaux et participer à la création d’industries pour créer des effets d’entraînement