Économiste de la construction

niveau d’un pays, d’une région, d’une collectivité territoriale Ces approches obligent les économistes et les politiques à mettre en place des instances de débats, pour définir finalités du développement, pour choisir des indicateurs pour discuter de leur pertinence, pour évaluer leurs évolutions; Expériences de démocratie participative 2- Ces approches bousculent les outils d’analyse des économistes qui raisonnent généralement en termes d’analyses coûts/bénéfices, de valeur ajoutée, de PIB (somme

PRESENTATION NORMALISEE DE L’OUVRAGE « La croyance économique - Les économistes entre science et politique » de Frédéric LEBARON Editions du Seuil, mai 2000 257 pages, 19.82 € PRESENTATION DE L’AUTEUR Frédéric LEBARON est maître de conférence à l’Université de Picardie- Jules – Verne (Amiens) et chercheur au Centre de Sociologie Européenne (Collège de France – EHESS- CNRS). Il est spécialisé en sociologie économique, sociologie des sciences et méthodologie. Il est également membre du

moitié du vingtième siècle fut marquée par la construction de l’Union européenne (UE), qui constitue l’union régionale la plus poussée à ce jour. Parmi les symboles de l’UE, rien n’affiche mieux l’union entre les peuples européens que la monnaie unique : l’euro. Pourtant, aujourd’hui, soit à peine une décennie après l’adoption de la monnaie commune et face à sa première crise, l’euro est menacé, remettant ainsi en cause l’intégralité de la construction européenne. En prolongement de la crise financière

symbolique. Prix peut être nul. L’économie non monétaire. Il y a pas de prix, famille amis, résidences secondaires ça rend un service « gratuit » Dans le secteur touristique il y a les 3 cas. Il y a un débat idéologique sur le marché à utiliser. Les économistes disent qu’il faut de l’économie marchande. Pourquoi l’économie s’intéresse au tourisme : 5 raisons : la croissance les emplois gourmands en emploi, et pas délocalisable. En France : 1 millions d’emplois. 200 millions d’emplois dans le monde.

(1818-1883) chapitre 5 (semaines 5 et 6) 4 Département de sciences économiques Cours ECN 548 Histoire de la pensée économique I - Plan de cours - 1. Économie politique classique : • Adam Smith (5 juin 1723 - 17 juillet 1790) Philosophe et économiste britannique. Oeuvre principale : La Richesse des nations, un des textes fondateurs du libéralisme économique. Il développe des théories économiques sur la division du travail, le marché, la monnaie, la nature de la richesse, le « prix des marchandises

cherche à montrer que l’économie – et donc les économistes - considère sa vision du monde, de l’action, de l’individu, comme universelle, dans le sens où cette vision serait naturellement inscrite dans la nature humaine. Cette erreur de base – le scholastic bias -explique le non recours des économistes à l’histoire, à la sociologie, qui sont des disciplines relativistes. Par ailleurs, une telle naturalisation des comportements donne aux économistes une portée politique importante, et dangereuse,

L’économie libérale Pour expliquer les échanges (justifier le commerce international), les économistes (principalement anglo-saxons) partent de l’idée que l’état intervienne le moins possible. L’état ou les pouvoirs publics doivent laisser les échanges s’autoréguler. Les classiques Les classiques sont des économistes de la fin du 18ème (Smith et Ricardo – anglais – Say – français - …). Ces économistes considèrent que l’état ne doit intervenir que dans ses fonctions dites d’état gendarme (ou

société. Socio = manière de s'emparer et de traiter tous types de pb. Le sociologue cherche à voir comment en toute chose il y a une construction sociale Regard sociologique = dans n'importe quel type de situation décider d'y voir une construction sociale. Il y a donc un processus de construction permanent = reproduction. Parti pris : tout est une construction sociale Le sociologue intervient dans les moments que tout le monde considère comme "normal". Sociologue cherche en tout des questions

de production : le travail et le capital. Elle est mesurée par le Produit Intérieur Brut. Son but est l’accroissement des richesses d’un pays, sur une ou plusieurs périodes relativement longues. Au cours des deux derniers siècles, de nombreux économistes se sont penchés sur l’étude de la croissance et de ses déterminants. C’est notamment le cas de Joseph Schumpeter, qui a soulevé le rôle primordial du progrès technique en matière de croissance. Face aux nombreuses variations économiques des siècles

les autrichiens. A partir des années trente suite aux travaux de John Hicks le courant walrasien va prendre une place croissance et incorporer une partie de l'apport keynésien à travers la synthèse néoclassique. Cette évolution va conduire les économistes dits "autrichiens" à se considérer de plus en plus comme hors de l'école néoclassique et à approfondir ce qui les différencie des autres courants marginalistes. A la question « qui n'est pas néoclassique ? », il est possible de répondre[2] : l'économie