Ecriture Personnelle Sur Le Rire Et La Mort

requièrent services de professionnels et de toute la communauté (artisans, figurations…) Mystères et passions : extraordinaire extension aussi, les « mystères » prennent la place des jeux liturgiques (rattachés à un seul passage des Saintes Ecritures). Il s’agit désormais de représenter l’histoire entière de la chute et du salut de l’homme (immenses machines, participation de centaines de figurants). Les épisodes les plus poignants et intéressants : ceux de la Passion du Christ. Toute la communauté

fable ; nouvelle / conte / roman ; tragédie / comédie ; sonnet / ode / balade ; poésie ludique / poésie engagée / poésie lyrique... ). Chaque paragraphe permet de vérifier à la fois votre connaissance du cours et votre capacité de réflexion personnelle. Il faut comparer les textes. Il est nécessaire d'illustrer votre réflexion par des citations courtes extraits des documents : chaque document doit avoir été cité une fois. Chaque exemple relevé doit être entièrement rédigé au sein d'une phrase

thématique est apparemment la même, apparemment indéfiniment répétitive : le temps humain, l’attente, la quotidienneté, la solitude, l’aliénation, la mort, l’errance, la non-communication, la déchéance, et aussi – plus rarement – l’espoir, le souvenir, le désir. Beckett ne parle « que » de cela. Mais ce ne sont pas ces thèmes qui définissent son œuvre, son écriture : c’est le langage employé pour les dire, les « mettre en scène ». Certes, l’œuvre propose, surtout en ses débuts, des « histoires », des personnages

alternant rimes masculines et féminines. b) Composition : - vers 1 à 22 : douleur [Elvire, sa maîtresse morte en 1817, chagrin immense]. - vers 22 à 28 : espoir d’un nouveau bonheur [va épouser 1 jeune Anglaise]. - vers 29 à 32 : souffrance, appel à la mort.  Tension entre 2 pôles, mais le négatif domine. II. La situation d’énonciation : a) QUI ? Le narrateur utilise la 1° personne : « je » (anaphore en début de 6 vers + insistance « moi, je » v.31 – vraisemblablement le poète) s’adresse aux bois : « Salut

Repères » p.24-25 oralement avec moi. La Ficelle ( partie 1 ) p.26-27 lecture + Questions p.27 no.1 à 7 + Expression orale p.27 no.8 La Ficelle ( partie 2 ) p.28-29 lecture + vocabulaire + questions no.1-7 «Le vocabulaire de Ficelle » p.35 no.1-6 Écriture : Rédiger un récit à partir d’une image p.21 no.4 Rédiger la suite d’un passage à la manière de Maupassant p.29 no.8 Oralement : Préparer une lecture expressive d’un extrait p.27 no.8 Étude de la langue : Les connecteurs spatiaux et temporels : Manuel

lecture (avec livre et fiches de lecture) Correction de l’évaluation de fin de séquence 1 Séance 3 : Le rire est-il intemporel ? Etude des Caractères : Arrias, « De la société et de la conversation », remarque 9 ; Ménalque, « De l’homme », rq. 7 Textes complémentaires : Extrait des Lettres de Mme de Sévigné Objets d’étude : La saynète – la satire – le fonctionnement de l’argumentation Séance 4 Ecriture d’une saynète d’aujourd’hui Correction de l’évaluation de lecture Séance 5 Initiation au commentaire

vocabulaire du rire Travail de recherche avec le dictionnaire. Voyez le sens de ces mots et expressions. Apprenez-les. Faites des petits contextes. 1. les artistes les clowns (l’Auguste et le clown blanc), le comique, l’humoriste, le marionnettiste 2. les expressions esquisser un sourire rire dans sa barbe rire jaune pouffer de rire rire aux éclats rire sous cape avoir le mot pour rire

du festival d’Avignon et a été à la tête du Théâtre National Populaire (objectif : ouvrir les œuvres du patrimoine littéraire et culturel à toutes les classes populaires).* Séduit par le théâtre de Ionesco.* Diariste : écrit son journal jusqu’à sa mort = rapport aux arts, son homosexualité, sa séropositivité.1979 : * Adaptation théâtrale de L’Odyssée d’Homère sous le nom de Elles disent… > théâtre de la parole, parole de femmes (celles

Texte C - Jules Laforgue, Le Sanglot de la terre, 1880. [ LA CIGARETTE ] Oui, ce monde est bien plat ; quant à l'autre, sornettes. Moi, je vais résigné, sans espoir, à mon sort, Et pour tuer le temps, en attendant la mort, Je fume au nez des dieux de fines cigarettes. Allez, vivants, luttez, pauvres futurs squelettes, Moi, le méandre bleu qui vers le ciel se tord, Me plonge en une extase infinie et m'endort Comme aux parfums mourants de mille cassolettes1.

énigmatique, de plus, dans la peinture il ne perd pas son pouvoir de fascination. J’ai pensé qu’il serait interessant de voir que certains poètes décrivent simplement le chat et que d’autres, par le bié de ce félin, transmettent un message plus personnel. Le premier poème que j’ai choisi s’intitule “Epitaphe d’un chat”, écrit par Joachim du Bellay. J’aime la façon dont le poète rend homage à son chat, Belaud en le décrivant. Le maître dit de son chat que c’est un animal d’une grande rareté,