Eh, Eh

dhf gud ghdf ghf dfhf fuef zfruzafnz"fbuzf vufd vjbeuc jubue cvjeb ujrvb ufvbrnv u enb vfyhrvben jue syis une vhhfovji ejje suis vnehe jjjamais je netbdvjbv uobz T4OUBLIERAOD ZVHZVBHZBVHZBVJZBVHJZ?N Jjjtu es la femevz eczjhc zv jhe v v vjjhhj he eh eh eh hac,bjzabcz ehfbhv bzehvhzevbzbzjevb hvc hrnv n buev ,fvyzeg' f yegfyugec jhzgheufz ;ejzvhuizn vubz v buvbz hvh h hze rvbzhakcbveyhzavbjznbvbjzbjvnziv nbzeuvbz uzegyzegfy yetic ieehvfiuhezfubznjv v uyzeguzge ugfeugeufgugj uzegfuzegfe bu ezjfzjuefze

tête, et. Attendez. Il se retourne, et fait semblant d'aller voir au bout du théâtre s'il n'y a personne. GÉRONTE, en tremblant: Eh? SCAPIN, en revenant: Non, non, non, ce n'est rien. GÉRONTE: Ne saurais-tu trouver quelque moyen pour me tirer de peine? SCAPIN: J'en imagine bien un; mais je courrais risque, moi, de me faire assommer. GÉRONTE: Eh! Scapin, montre-toi serviteur zélé: ne m'abandonne pas, je te prie. SCAPIN: Je le veux bien. J'ai une tendresse pour vous qui ne saurait

se mettre au pair avec leur juge, et qui ne fait bien souvent que leur en attirer l'animadversion. J'ai toujours vu que les airs ne séduisaient personne, et que le ton modeste d'un auteur pouvait seul inspirer un peu d'indulgence à son fier lecteur. Eh! quel écrivain en eut jamais plus besoin que moi? Je voudrais le cacher en vain. J'eus la faiblesse autrefois, Monsieur, de vous présenter, en différents temps, deux tristes drames, productions monstrueuses, comme on sait, car entre la tragédie et la

. ) avec soin,( ... ) avec délicatesse,( ... ) avec amour,(...) avec envie. Mais n'oubliez pas, n'oubliez jamais ... n'oubliez jamais, qu'il existe une machine à découper. (... ) Une machine à découper.(...) Sur la table, la machine à découper... Eh, eh, oh ! (... ... ... ) A ce stade, faire préchauffer la friteuse (...) pas avec votre briquet,, mais en poussant sur le petit bouton à gauche.( ... ) Le petit bouton à gauche. - A gauche ? Oui, à gauche ! (... ) Ou à droite peut-être je ne sais pas

non ! Monseigneur n'y met pas tant de façon avec sa servante : il voulait m'acheter. LA COMTESSE. Et le petit page était présent ? SUZANNE. C'est-à-dire caché derrière le grand fauteuil. Il venait me prier de vous demander sa grâce. LA COMTESSE. Eh, pourquoi ne pas s'adresser à moi-même ? est-Ce que je l'aurais refusé, Suzon ? SUZANNE. C'est ce que j'ai dit : mais ses regrets de partir, et surtout de quitter Madame ! Ah ! Suzon, qu'elle est noble et belle ! mais qu'elle est imposante ! LA COMTESSE

Cot …de ces œufs vont sortir des poussins qui vont devenir des poules, des coqs ! Si vous voulez mon avis, vous devriez manger un renard. - Un renard ? Pour quoi faire ? - Pour qu'il mange toute cette volaille, pardi ! Cocorico ! - Merci ! » « Eh, toi ! Viens un peu là, que je te mange ! - Ça va pas ? Tu es maboul ? - Maboul ? Retire ça ! - Abruti ! » Cocorico Cocorico Cot « Ouh là là ! Le médicament n'a pas marché ? Il va y avoir du boulot pour refermer ce bazar ! » ocorico ! «

mort de cette vipère. Je l’avais pris, je l’étranglais. C’était merveilleux tout. La haine circulait dans mes veines. Je sentais la peau rugueuse de cet animal qui ressemblait à Folcoche. Puis… » -Avocat 2 : « Mais c’est qui Folcoche ? » -Jean : « Eh bien c’est Mme. ma mère. C’est un bon surnom pour elle. » (Folcoche devient rouge de rage) -Avocat 2 : « Pourquoi vous l’appelez comme ça ? » -Jean : « Comme je vous l’ai déjà dit c’est un bon surnom pour elle. C’est un code entre frères. » -Avocat

scène se passe sur une île; Iphicrate, citoyen d'Athènes, vient d'y être jeté par la tempête en compagnie de son esclave Arlequin. Ils sont apparemment les seuls survivants du naufrage. Nous sommes dans une antiquité de convention.] Scène 1 IPHICRATE. Eh ! ne perdons point de temps, suis-moi, ne négligeons rien pour nous tirer d'ici ; si je ne me sauve, je suis perdu, je ne reverrai jamais Athènes, car nous sommes dans l'île des Esclaves.ARLEQUIN. Oh, oh ! Qu'est-ce que c'est que cette race-là ?IPHICRATE

décalotte ton gland pour le nettoyer correctement ! Quant aux petits boutons blancs... s'ils ne grattent pas et s'ils ne brûlent pas... Pas touche ! Mise sur le packaging ! Petite leçon de marketing : considérons que ton sexe est une sucette... Eh bien plus la papillote qui l'enveloppe sera belle, plus le bonbon à l'intérieur semblera délicieux ! T'as compris le message ? Allez, brûle tes vieux slips aux élastiques distendus et enfile un super boxer ! T'as plus d'excuse quant au confort, y'a

que vous avez tué » Acte 3 Scène 5. Sganarelle tente de dire à Dom Juan que la Statue du commandeur a bougé, lui faire comprendre qu'il a un comportement mauvais, et que le Ciel lui rendra, car le surnaturel existe, mais l'aristocrate ni croit pas. « Eh! Monsieur ne cherchez point à démentir ce que nous avons vu des yeux que voilà. Il n'est rien de plus véritable que ce signe de tête; et je ne doute point que le Ciel, scandalisé de votre vie, n'ait produit ce miracle pour vous convaincre, et pour vous