Ehud Barak

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Période des juges religieusementLa situation religieuse du peuple d'Israël pendant la période des Juges était assez instable. Les gens ont perdu toute loyauté et foi en Dieu. Dans chaque histoire du livre des Juges, nous voyons que le peuple pèche contre Dieu d'une certaine manière, et presque dans tous cas la faute est la même : les gens oublient leur Dieu et se tournent vers un autre divin. Ils sont alors punis par Dieu pour leurs péchés. Celui-ci fortifie les nations hostiles à Israël et leurs

les Territoires occupés et l’Autorité palestinienne devient corrompue, ce qui expliquera plus tard le succès du Hamas. En 1999, l’élection du travailliste Ehud Barak comme 1er ministre à la place de Nethanyahou fait renaître un peu d’espoir dans le conflit israélo-palestinien. On a pu penser que les choses allaient s’arranger car Ehud Barak, contrairement à son prédécesseur, est favorable à une évolution des accords de paix. Israël se retire du sud du Liban mais le processus de paix échoue de nouveau

C’était le 13 septembre 1993. Les accords devaient poser les jalons pour régler le conflit israélo-palestinien et établir les bases d’une autonomie palestinienne à l’intérieur des frontières de 1967. Les Accords de Sharm-el-Sheikh, signés par Ehud Barak du parti travailliste et Yasser Arafat le 4 septembre 1999, permettent aux Palestiniens de récupérer 7% du contrôle de la Cisjordanie. Les troupes israéliennes se sont retirées du Liban en mai 2000. Quatre mois plus tard (le 24 septembre), la seconde

de séparation israélienne et Guerre de Gaza de 2008-2009. le "mur de sécurité" - tracé approuvé en février 2005, mais susceptible d'évoluer 2000 Septembre, début de la seconde Intifada ou Intifada al-Aqsa. Novembre 2000, Ehud Barak approuve un plan de construction d'une « barrière destinée à empêcher le passage de véhicules motorisés » depuis le Nord-Est de la Cisjordanie jusqu'à la région du Latrun. Le problème des mouvements armés palestiniens : Les organisations armées

les articles de la charte Palestinienne appelant à la destruction d’Israël tout cela conformément aux accords Wye. C) De Wye II a Camp David II, vers un échec diplomatique. Le 5 Septembre 1999, le premier ministre Travailliste Israélien Ehoud Barak et Yasser Arafat signe a Sharm-el-Sheikh une nouvelle version renégocier des accords de Wye River, connus somme les accords de Wye II. En conséquence de quoi sont libérés 199 prisonniers Palestinien mais un redéploiement Israélien de 7% est mis en

Ramallah, ville où Yasser Arafat avait ses quartiers. En mars 2000, Yossi Sarid, ministre israélien de l'Éducation, proposa que certains des poèmes de Mahmoud Darwish soient inclus dans les programmes scolaires israéliens. Mais le premier ministre Ehud Barak refusa, « Israël n'est pas prêt. » Il est décédé le 9 août 2008 aux États-Unis dans un hôpital de Houston1, où il avait subi une intervention chirurgicale et se trouvait dans un état critique suite à des complications liées à l'opération. Il avait

d’évacuation fut stoppé et ne sera alors jamais appliqué. Le Sommet de Camp David de juillet 2000 Le sommet de Camp David s’est tenu en juillet 2000 dans la résidence de Camp David en présence de Bill Clinton, Président des Etats-Unis, d’Ehoud Barak, Premier ministre de l’Etat d’ Israël et de Yasser Arafat, Président de l’Autorité Palestinienne. Ce fut encore une tentative diplomatique pour mettre un terme au conflit. Le sommet se déroula du 11 au 25 juillet mais ne permit pas aux parties de trouver

du Hezbollah contre Israël ð Intervention israëlienne au sud-Liban (Opération « Raisins de la Colère ») 2000 Retrait israëlien du sud-Liban, investi par le Hezbollah Echec du sommet de Camp David II entre Bill Clinton, Yasser Arafat et Ehud Barak (Premier Ministre israëlien) 2° Intifada après la visite sur l’Esplanade des Mosquées à Jérusalem d’Ariel Sharon, leader de la Droite israëlienne (le Likoud) 2001 Echec du sommet de Taba, le « sommet de la dernière chance » à la fin du mandat

cours ou à venir induits par le fonctionnement de la société industrielle et de la nécessité d’y trouver une réponse adaptée. La guerre de retardement menée par les Etats-Unis n’empêchera finalement pas son adoption. L’élection en novembre 2008 de Barak Obama ouvre cependant de nouvelles perspectives. Le nouveau président américain s’est en effet engagé à ratifier le traité dans les premiers mois qui suivront son investiture en janvier 2009. C) Limites et ambiguïtés d’une organisation internationale