Élisabeth Vigée Le Brun

jalousie…), les motivations psychiques, et les interactions entre humains. Cela permet d’avoir une meilleure connaissance sur l’Homme. Il fait référence à Balzac. « La vérité est un peu détaillée dans les romans ». 2) Elles parlent de nous : Jérôme Bruner explique que ces histoires nous permettent de faire la domestication des éléments les plus sauvages et secrets. L’intérêt est de maintenir une cohérence de la culture qui nous accueille (dans laquelle on vit). Ce sont des mythes (ex : les mythes grecs)

qu’elle a malmenés. Sure de son innocence, elle exige l’arrestation de Rohan et un procès public. La fausse comtesse est condamnée, Rohan innocenté et le scandale éclabousse la couronne française. JPEG - 11.2 ko Marie-Antoinette par Elisabeth Vigée Le Brun Marie-Antoinette est maintenant détestée par tout le monde et plus particulièrement par le peuple. La misère engendrée par les mauvaises récoltes successives, c’est elle ; la faillite du Trésor, révélée en 1787, c’est elle. Sa seule consolation

qui d'ailleurs se concentre sur les grands hommes : Artemisia n'intéressera à nouveau qu'au XXe siècle. En France, Catherine Girardon fut la première femme admise à l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1663, 15 ans après sa création. Élisabeth-Sophie Chéron le sera à son tour en 1672 en tant que portraitiste. L'Académie reçut plusieurs dizaines de femmes au cours de son siècle et demi d'existence ; elle n'en admit pourtant aucune comme peintre d'histoire, genre supérieur qui seul donnait

ce sujet. ( Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, par Pierre-Paul Prud'hon, 1809 (Château de Valençay). ) ( « Marie-Antoinette à la rose », portrait de Marie-Antoinette, reine de France, peint par Élisabeth Vigée Le Brun en 1783. )Principaux thème de l’œuvreL’égalité :Le texte d’Olympe de Gouges repose sur le thème d’égalité. S’il développe principalement ses idées sur l’égalité entre les sexes, elle glisse malgré tout en son sein plus de ses convictions concernant

renouvelle le genre, n’hésitant pas à se peindre à plusieurs reprises, avec bonnet et lorgnons. Quentin de La Tour a lui aussi laissé plusieurs autoportraits où il apparaît tantôt en chemise et sans perruque, tantôt en costume d’apparat, tandis que Mme Vigée-Lebrun délivre une image charmante et coquette d'elle (Corridor de Vasari, Florence). Par la suite, on peut dire que presque chaque grand peintre nous a laissé au moins un autoportrait, mais le genre a été particulièrement prisé par les expressionnistes

à celui des artisans. L’Académie eut en fait peu de pouvoir jusqu’à ce que Colbert y vît un moyen de mettre les artistes au service et sous le contrôle de l’État, et qu’il en devînt le parrain. Il en fut nommé Vice protecteur en 1663 et Charles Le Brun, son peintre préféré, en tant que directeur de l’Académie, eut le bonheur d’accueillir la même année la première académicienne, Catherine Duchemin, femme du sculpteur Girardon. Les 39 La place des femmes dans les arts visuels contemporains : invisibilité

Barbieri, dit Il Guerchino, en fr. le (pt, gr) Hals, Frans (pt) Hooch, Pieter de (pt) Jones, Inigo (arch, déc, pt) Jordaens, Jacob (pt) La Planche, François de (tex) Largillière ou Largillierre, Nicolas de (pt) La Tour, Georges Dumesnil de (pt) Le Brun, Charles (pt, déc, orn) Legros, Pierre (sc) Le Nain, Antoine (pt) Le Nain, Louis (pt) Le Nain, Mathieu (pt) Lemoine, François (pt, déc) Le Pautre ou Lepautre, Jean (gr, orn) Le Sueur, Eustache (pt, déc) Leubold, Andreas (cé) Le Vau, Louis

à y construire palais. Attire les artistes italiens, français et allemands. ▪ Palais d’hiver. Milieu XVIII° pour Elisabeth Ière. Superposition colonnes et polychromie façades. Le premier Palais d'Hiver est construit en 1711; reconstruit en 1721 à la mort de Pierre le Grand il est remplacé dans les années qui suivent par un ouvrage de l'architecte Domenico Trezzini. Elisabeth, qui estimait que le bâtiment résultant manquait de grandeur, le fait reconstruire en 1754 par Francesco Rastrelli. En

est transformé en un restaurant rustique, servant de la viande froide. Travaux et fêtes de Joachim et Caroline Murat[modifier | modifier le code] Articles détaillés : Joachim Murat et Caroline Murat. Caroline et sa fille Letizia, par Élisabeth Vigée Le Brun, 1807. Le Consulat, en 1799, met fin à ces années de folie. Le beau-frère du Premier consul Napoléon Bonaparte, le maréchal de France Joachim Murat achète la propriété à la fille ruinée de Hovyn le 6 août 1805 pour 570 000 francs, et y entreprend

et les mythes ou de la nausée au salut, Paris, Éditions du Seuil, 1971. Boussel, Patrice. Le Dictionnaire de Paris, Paris, Larousse, 1964. Breton, André. Œuvres complètes, II, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la pléiade », 1992. Brun, Elisabeth Vigée Le. Souvenirs, Paris, Honoré Champion, 2008. Butor, Michel. Balzac et la réalité, Paris, Editions de Minuit, 1960. ---. Improvisations sur Balzac, II, Paris à vol d'archange, Paris, La Différence, 1998. Camp, Maxime du, Paris, ses