Elle était Déchaussée Elle était Décoiffée

poème " A un poète aveugle " dans le premier livre dénommé Aurore. Ce poème de Victor Hugo paru dans les années 1830 évoque le thème de la rencontre amoureuse dans la nature. Le poète rencontre une jeune femme déchaussée et décoiffée assise parmi les joncs penchants. Il la compare à une fée et l'invite à le suivre dans les champs. La jeune femme, d'abord méfiante, finit par accepter l'invitation, en allant dans le paysage naturel et sauvage. Le poème célèbre la beauté

fait un beau voyage Du BellayVICTOR HUGO :MorsChansonL'enfantHorror - IVMelancholiaMelancholia autre extraitClair de luneLe mendiantL'aigle du casqueSoleils couchantsDemain, dès l'aubeLa fonction du poèteSouvenir de la nuit du 4Elle était déchaussée, elle était décoiffée...APOLLINAIRE :Alcools -Texte complet-MaiZoneSigneMarieAdieuIspahanLe brasierLa loreleyLes sapinsLes femmesNuit rhénaneSaltimbanquesLes ColchiquesSchinderhannesLe pont MirabeauSi je mourais là-basLa chanson du mal aimé BAUDELAIRE :Les

prendrai mon repos : Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. ELLE ETAIT DECHAUSSEE (Victor Hugo, Les Contemplations, 1856) Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la

secret pour une femme inconnue « Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté/Dont le regard m'a fait soudainement renaître, / Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? ». Cet amour éphémère est repris par Hugo dans le poème « Elle était décoiffée, elle était déchaussée » où, là encore, le poète parle d’un amour éphémère. De plus, dans le poème « le vin des amants », le poète pour la complicité de l’homme et la femme en amour « côte à côte nageant,/ Nous fuirons sans repos ni trêves/ Vers le paradis

La jeune femme est comparée à une figure naturelle et sauvage comme le montrent les 2 adjectifs « déchaussée », « décoiffée » construits avec le préfixe négatifs « dé », répété dans le parallélisme. Les termes sont mis en valeur par leur place similaire dans les 2

pour Elisa Moncomble. L’un d’eux est Après trois ans dans lequel il recrée une scène de rencontre qu’il eu avec elle trois ans auparavant ; « Rien n’a changé. J’ai tout revu … ». Dans ce cas, la poésie permet à Verlaine de revivre un moment qui lui était très cher, elle lui permet de se réconforter. Du Bellay, dans Heureux qui comme Ulysse, exprime sa nostalgie pour son pays natal, « Quand reverrai-je hélas ! de mon petit village… », tout comme Chateaubriand dans Souvenir du pays de France, « Combien

s’intitule « Aurore », Victor Hugo y parle de sa jeunesse, de ses premiers amours et de la joie. Mon premier poème préféré du Livre I « Aurore » du recueil Les Contemplatio ns de Victor Hugo est « Elle était déchaussée, elle était décoiffée ». Ce poème est constitué de quatre quatrains en alexandrins aux rimes croisées. Le poète y raconte sa rencontre avec une mystérieuse jeune fille dans une forêt. La rencontre entre le poète et la mystérieuse jeune fille se

Éclaircie Ecrit après la visite d'un bagne Ecrit au bas d'un crucifix Ecrit en 1827 Ecrit sur la vitre d'une fenêtre flamande Ecrit sur le tombeau Elle avait pris ce pli ... Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Elle était pâle, et pourtant rose... En écoutant chanter la princesse *** En hiver la terre pleure En mai En marchant la nuit dans un bois En marchant le matin En sortant du collège Enthousiasme Envoi des feuilles d'automne Épitaphe de

citons le numéro du livre en chiffre romain et le numéro du poème en chiffre arabe ainsi que le premier vers du poème. ↑ Lise, I, 11, la Coccinelle, I, 15 ↑ cf. II, 8 ; II, 2 ; II, 10 entre autres ↑ cf. pour le dernier cas « elle était déchaussée, elle était décoiffée », I, 21 ↑ cf. II, 8 ; II, 11 ↑ cf. la Coccinelle et cf. II, 7 ↑ (cf. par exemple II, 11) ↑ cf. II, 7 ; II, 10 ↑ cf. La Cocinelle ainsi que II, 7 ↑ a et b I, 21

/ Et, près des flots chéris qu'elle devait revoir, / Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre/ Où tu la vis s'asseoir! " . Même quand le poète évoque avec joie un souvenir, il est teinté de nostalgie. Dans le poème " Elle était déchaussée, elle était décoiffée", du recueil Les Contemplations, Victor Hugo soupire " Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois!// Comme l'eau caressait doucement le rivage!". Dans le recueil Fêtes Galantes de Verlaine, les scènes censées refléter la joie