Elle était Déchaussée Les Contemplations Victor Hugo

et traditionnelles de la littérature. L'auteur : Victor Hugo est le chef de file du romantisme qu'il définit dans la préface de Cromwell. Poète, romancier, dramaturge, Victor Hugo est aussi un homme politique qui marquera l'histoire française. L'oeuvre : Dans son recueil de poésie « les Contemplations », le poète nous livre ses souvenirs, exalte ses sentiments et glorifie l'artiste. Le passage : Dans son poème « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » l'auteur nous décrit sa rencontre avec

analytique Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Victor Hugo Cette impression découle à la fois du personnage féminin, un peu mystérieux, du rôle actif joué par la Nature dans le scénario amoureux, de la mise en scène du "coup de foudre". C'est un des rares poèmes du recueil où la douleur n'est pas témoignée. biographie voir fiche Thèmes INFO : - L'invitation à l'amour - La nature - La sauvagerie, l'absence de société -Les Contemplations sont un recueil à caractère

Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine, Méditation poétiques (1820) Ce poème est inspiré du lac du

premier, intitulé « Déjà la nuit en son parc… », fut écrit en 1550 par Joachim du Bellay et est extrait du recueil de poèmes L’Olive. Il appartient au mouvement littéraire de la Pléiade. Le second se nomme « Elle était déchaussée… », est tiré du recueil Les Contemplations de Victor Hugo, est un poème romantique et fut rédigé en 1856. Le troisième poème écrit en 1926 par Paul Éluard est tiré du recueil Capitale de la Douleur et s’intitule « La courbe de tes yeux … ». C’est un poème surréaliste. Le

des « Contemplations » ( Victor Hugo – 1856 ) PREFACE Hugo peut paraître effrayant pour un élève de collège pas très attiré par la littérature du 19e siècle, pourtant il s'avère que Hugo exprime avec une grande simplicité les sentiments qu'y le traverse ou le traversèrent. Le rendant compréhensible à la fois d'un public adepte de poésie mais aussi de personnes la découvrant. C'est pourquoi dans ce recueil, j'ai tenté de rassembler un ou deux poèmes de chaque livre ( « Les Contemplations » sont

transcende sagesse et folie, il nous faut aspirer à vivre l'etat poétique, et éviter que la prose n'engloutisse nos vies, qui sont nécessairement tissées de proses et de poésies. Dans un premier temps nous étudierons un poème de Victor Hugo « elle était déchaussée, elle était décoiffée.. ». Le poète montre que la nature est plus forte que la société, est source d’amour à travers le paysage et non dans la civilisation et ses lois. Dans un deuxième temps, nous analyserons le tableau de « Ford Madox

réflxive des poèmes -> on s'y refleetent et elle nous fait réfléchir sur nous * Contemplations : Ethymologie => - augurale : espace carrée délimité par l'augur - latin : action de considérer attentivement par les yeux et la pensée Le poète est si attentif que son observation devient méditation -> la poésie rejoint donc la réfléxion Le lyrisme de Victor Hugo n'est pas seulement une contemplation narcissique de lui même, c'est une réflexion sur les sens de la vie qui permet d'étudier

Séquence 4 : La rencontre amoureuse sous le signe de la poésie Elle était déchaussée, elle était décoiffée… Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants, Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : « Veux-tu t’en venir dans les champs ? » Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : « Veux-tu, c’est le mois où l’on aime Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? »

romantiques font don d’eux lorsqu’ils écrivent. Le pélican peut être associé à l’albatros, symbole du spleen baudelairien. Dans ce poème, le poète est un être à part entière de la société.Oh ! Je fus comme fouLe recueil poétique et autobiographique de Victor Hugo, auteur polygraphe majeur du XIX siècle et figure essentielle du romantisme, fut publié en exil en 1856. Il comporte six livres divisés en deux parties : “Autrefois” et “Aujourd’hui”. Le livre IV intitulé “pauca mea” se situe au début de cette deuxième

amoureux ? Lectures analytiques : 1) Du Bellay, L’Olive (1550), LXXXIII, « Déjà la nuit en son parc amassait… » 2) Ronsard, Second Livre des amours (1578), Sur la mort de Marie, V « Comme on voit sur la branche … » 3) Victor Hugo, Les Contemplations (1856) « Elle était déchaussée » 4) Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou (1915), « Si je mourais là-bas… » 5) Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), « La courbe de tes yeux » (manuel p.59) Textes et documents complémentaires : 1) Ronsard, Continuation