Ellipse

santé. Paris : Grasset/Le Monde. * REMY Monique (1994). Comment les femmes sont vues – Images et statuts des femmes dans les médias. Bruxelles : Point d’Appui Women’s studies/GERFES-ULB. * RIEFFEL Rémy (2001). Sociologie des médias. Paris : Ellipses. * RIOT-SARCEY Michel (2002). Histoire du Féminisme. Paris : La Découverte. * SEMPRINI Andrea (2007). Analyser la communication 2.Paris : L’Harmattan. * SOULIER Vincent (2008). Presse féminine : La puissance frivole. Paris : L’Archipel

11) «  Si le narrateur le narrateur avait était envoyé en rééducation sans avoir découvert les livres il n’aurait jamais connu leur véritable importance». 12) Ecris la phrase qui pourrait faire suite à cet extrait, et comprenant une ellipse temporelle.

circonstances de l'histoire : [pic] On repérera : • l'époque et le(s) lieu(x) principaux de l'histoire • durée totale de l'histoire • la présence d'importantes perturbations de la chronologie (on dira lesquelles : retours en arrière, ellipses importantes, etc.) B. La manière de raconter l'histoire : [pic] On citera : • le narrateur • récit au passé, au présent • particularités "déroutantes" C. Les personnages : [pic] On distinguera : • les pers. principaux, dont

la France, elle se déroule du 29 juillet 1922 au 31 mars 1923 2. Durée de la fiction : 9 mois 3. structure du texte : Le texte est écrit en 17 chapitres. Ces coupures se justifient souvent par un changement de lieu ainsi que par une ellipse temporelle, en effet chaque nouveau chapitre débute par une nouvelle partie de l’histoire qui n’a pas tout de suite de rapport avec le chapitre précédent. 4. Termes inconnus : Havenets : filets à manches utilisés pour pêcher.

I. Figures de syntaxe ou de construction 1. Anaphore: Les vers 4,5,6,7 commencent par le mot "quelque chose". Les vers 10,11, qui commencent par "dans". Les vers 14,15, qui commencent par "sans". 2. Chiasme: Il n'y en a pas. 3. Ellipse: Dans les vers 43,45, le pronom "il" est supprimé. 4. Parallélisme: Il n'y en a pas. 5. Pléonasme: Entre les vers 25,26, nous avons un pléonasme. 6. Répétition: Il n'y en a pas. II. Figures de mots 1. La comparaison: Il n'y en a pas. 2. La métaphore: a

Couleur pourpre : érotisme -> symbole amour – passion – sensualité Jeunesse de la fleur : « ce matin » - nouveauté, fraîcheur, beauté « cette vêprée » : indication temporelle -> le soir –antithèse avec le matin II- Constat de la mort de la rose : Ellipse (pause temporelle) – blanc typographique « Las » : spectacle de désolation de la mort de la rose – désespoir - anaphore « voyez » : impératif – spectacle – convie la jeune fille à voir l’évolution de la rose « ses beautés laissé choir ! » = « elle

secondaires, on raccourcit. On ajoute descriptions, réflexions, allusions. On fait un premier récit, puis un deuxième, etc. Et on montre que les histoires ont eu lieu en même temps. On effectue des retours en arrière, on commence par la fin. Linéaire à ellipses Linéaire à expansions En parallèle Non linéaire D'après:C.Peyroutet: Style et rhétorique. Paris: Nathan 1994, p.115. La structure de l'action : Tous les récits développent une intrigue suivant une série de séquences qui s'enchaînent

mécanisme tragique « le piège se ferme » Mais une tragédie du 20e S : Niveau de langue employé (différent du langage des rois) Le programme annoncé ne suit pas celui de la pièce (ne commence pas par la naissance +les noces-règles de bienséance+ellipse de 17ans) Cocteau ne commence pas par un dialogue mais par de la narration, ce qui permet d’avoir toutes les clefs de lectures des le debut Emploie du mot « devinette » comme si c’était un jeu Cocteau veut montrer que l’absurde est au cœur du

Dix-huis mois s'écroulérent". Il y a une pause avec la phrase: " Dés lors, un drame navrant se passa entre les deux misérables. Je ne puis en raconter tous les actes, et je me contente d'indiquer briévement les principales péripéties" Il y a une ellipse au début de la nouvelle, avec la phrase : "Michel avait vingt-cinq ans lorsqu'il épousa Suzanne" le mariage n'est pas raconté. 4.Non la nouvelle ne comporte pas de chute car la fin ne surprend pas, elle est attendu car aprés leurs crime le couple

fille Marie, sa femme et sa mère jusqu’au jour du crime qui a bouleversé sa vie. Le récit commence in medias res c’est-à-dire le moment où l’action est déjà engagée. Puisque le plus important est la contestation de la peine de mort, l’auteur fait ellipse de cette situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est facile de déduire cette situation initiale à travers les flashes back. (Analepses, retour en arrière). Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage