Embryon

procréation qui se pratique généralement en cas d'infertilité féminine liée à l'absence d'utérus, ou à sa déformation. La mère porteuse porte l'enfant d'un couple qui a fourni ses embryons. Elle ne fournit pas de contribution génétique, c'est-à-dire un ovule, mais prend en charge le « développement in utero » d'un embryon et, à la naissance, remet l'enfant à la « mère sociale », qui peut aussi être la « mère génétique » de l'enfant si le couple n'a pas eu recours à un don d'ovule, et à son père  Développement

d’injecter plusieurs embryons dans l’utérus ; La fécondation par micro-injection, technique la plus récente : elle ressemble à la FIV, la différence étant que le spermatozoïde est injecté à l’aide d’une micro-pipette directement dans l’ovule. Fécondation in vitro (FIV). Les embryons sont regroupés dans un même milieu et transférés dans l'utérus de la femme. Fécondation in vitro (FIV). Les embryons sont regroupés dans un même milieu et transférés dans l'utérus de la femme. Embryon humain à huit cellules

de la trompe font encore progresser l' embryon vers la cavité utérine où il s’implante après une semaine. Beaucoup de maladies peuvent toucher ces mécanismes et la fécondation in vitro ou FIV a été inventée pour permettre aux femmes dont les trompes sont altérées de faire des enfants. L’idée est simple : organiser la rencontre spermatozoïdes - ovocytes en laboratoire (in vitro) et permettre la fécondation pour ensuite transférer dans l’utérus les embryons obtenus. La technique de la FIV Le

compatibles entre eux, les parents envisagent d’avoir un second enfant qui servira de « médicament » à l’aîné. Tout débute par une fécondation en laboratoire, in vitro, d’ovocytes de la mère par les spermatozoïdes du père. On sélectionne par DPI un embryon sain qui répond à deux critères : ne pas être porteur de la maladie de l’aîné (premier DPI), et avoir une compatibilité optimale sur le plan immunologique avec ce dernier (deuxième DPI). L’embryon est alors transféré in utero. En cas de naissance

réexamen de la loi de bioéthique en 2004, l’interdiction des recherches sur l’embryon humain a été maintenue ainsi que l’interdiction de son utilisation à des fins commerciales ou industrielles. En tout état de cause, il est interdit de créer des embryons à des fins de recherche. De plus, le clonage est interdit en France que ce soit pour la mise au point de traitements (clonage dit thérapeutique) ou pour la création d’un être humain à l’identique (clonage dit reproductif). Des dérogations exceptionnelles

(l'Agence fédérale du médicament) a autorisé la société américaine Geron à réaliser les premiers essais cliniques au monde sur l'homme, à partir de cellules souches embryonnaires. Un feu vert jugé "inacceptable" par le Vatican qui estime que les embryons sont des êtres humains en devenir. L'Eglise catholique se dit néanmoins favorable aux recherches sur d'autres cellules, notamment celles du cordon ombilical. Rappelons qu'en France, la recherche sur l'embryon humain, jusqu'à présent à visée thérapeutique

de la donation. Pour être capable de recevoir par testament, il suffit d'être conçu à l'époque du décès du testateur. Néanmoins, la donation ou le testament n'auront leur effet qu'autant que l'enfant sera né viable. » 2) Statut juridique des embryons Cela pose de grandes difficultés au juriste au niveau moral, éthique, philosophique. Cela dépend de la conception que l’on a de la personne Dès la conception, la personne humaine existe et ses intérêts doivent être assurés (Église catholique

fécondés dans une "éprouvette" par le sperme du mari. L'œuf ou les œufs sont implantés dans l'utérus maternel pour démarrer la grossesse. - 15 à 20 % de réussite (25 % par conception naturelle) dont 27 % de naissances multiples. - réimplantation de 5 embryons au maximum - 11.000 naissances/an (sur un total de 750.000 naissances/an en France) Une fécondation in vitro (FIV) est réalisée avec l'ovocyte d'une donneuse et le sperme du mari, puis l'embryon est réimplanté dans l'utérus de la femme stérile.

ne sont pas considérés comme enfant à charge. Ces juges du fond ont été sanctionnés, la CC° a cassé/annulé le jugement du 1er degrés et a appliqué l'adage. Les enfants ont été conçus ds la période que stipule l'adage. B) Le statut juridique des embryons Compte tenu des progrès de la science faudrait-il généraliser la concept° de la personnalité juridique au momt de la concept°? Cette quest° remet en cause le statut juridique de l'embryon. Il faut donc distinguer l'embryon in vitro et in utero

destinée aux couples risquant de transmettre une maladie génétique grave à leur descendance. Le couple à risque produit une douzaine d’embryons par FIV (fécondation in vitro ). Chaque embryon, âgé de deux à trois jours, est testé par micro prélèvement d’une à deux cellules dont le contenu génétique sera analysé. Seuls les embryons indemnes, du gène de la maladie transmissible par l’un des parents, pourront être réimplantés dans l’utérus de la mère pour s’y développer. La fécondation in vitro est une technique