Emmanuel-Joseph Sieyès

retient une souveraineté dont chaque membre de la population détient une part qu’il exerce dans le cadre d’un système de démocratie directe ; la théorie de la « souveraineté nationale » défendue par l’Abbé Emmanuel-Joseph SIEYES (E.-J. SIEYÈS, Qu’est-ce que le Tiers État ?, 1789) dans laquelle c’est la Nation toute entière qui détient la souveraineté et le peuple s’y exprime à travers des représentants élus. Mais comment

réformes, il aurait fallu s’appuyer sur le tiers-état. II. La révolution bourgeoise de 1789 Le conflit s’ouvre sur le problème du vote par ordre ou par tête, problème qui débouchera sur une véritable révolution juridique à l’instigation de Sieyès. Le tiers-état suivi par une partie du clergé somme les privilégiés de se réunir. Les états généraux se transforment en assemblée nationale. Le roi opte pour la fermeté et ordonne la séparation, toutefois, par faiblesse, il ne fit rien et l’assemblée

pouvoir constituant · En France, cette idée voit le jour au moment de la Révolution , notamment sous l’impulsion de l’abbé Emmanuel (Joseph) SieyèsEmmanuel Sieyès1748-1836Qu'est-ce que le Tiers-Etat ?janv. 1789 · Pour Sieyès les pouvoirs mis en place par la constitution sont « tous, sans distinction, une émanation de la volonté générale , tous viennent du peuple, c’estàdire de la

formation militaire et les études Napoléon est d’un caractère fougueux et bagarreur. Il est confié à une école de jésuites. En 1779, son père lui obtient une bourse royale pour ses études. Il part alors avec son grand frère Joseph sur le continent. Leur père veut que Joseph choisisse un métier religieux (curé ou prêtre) et que Napoléon soit militaire. Napoléon entre alors au collège d’Autun (Saône-et-Loire). Il parle à peine le français en arrivant en France (sa langue maternelle est le Corse)

(octobre 1797). Les élections fréquentes placent le Directoire sous la double menace royaliste et jacobine. Face au succès électoral des royalistes en 1797, puis des jacobins en 1798, les élections sont annulées. Élu Directeur en 1799, Emmanuel-Joseph Sieyès cherche alors un homme fort pour imposer une réforme de la Constitution. Bonaparte, fort de ses succès en Italie, organise un coup d’État le 9 novembre 1799. Il se pose en sauveur de la République qu’il entend stabiliser. III- Napoléon Bonaparte

connaît ni la paix ni la prospérité. Les caisses de l’Etat sont vides et les Français sont lassés de dix années de désordre. Sieyès, l’un des membres du Directoire, pense que, ce qu’on qualifierait de nos jours, une ‘dictature militaire’, ramènera l’ordre. Les nombreuses victoires remportées par le Général Bonaparte augmente sa popularité et suscitent l’admiration des Français. Sieyès fait donc appel à lui, lequel, de retour d’Egypte, est accueilli en héros. Il participe à un coup d’état en deux temps

historique que nous connaissons (Révolution française, insurrections et décapitation du Roi) mais au niveau de l’histoire des idées politiques, elle apparaît dès 1789. Ainsi on retrouve dans la brochure « Qu’est-ce que le Tiers-état ? » publiée par l’Abbé Sieyès, l’idée selon laquelle le peuple érigé en Nation doit être le titulaire exclusif de la souveraineté. Ainsi il développe l’idée de Nation :  « Où prendre la nation ? Où elle est, dans les quarante mille paroisses qui embrassent tout le territoire

États-Unis d'Amérique sont considérés comme la première démocratie libérale, dans la mesure où l'engagement constitutionnel (1788) fonde les principes naturels de liberté, d'égalité devant la loi, et s'oppose aux régimes aristocratiques. En France Emmanuel-Joseph Sieyès (corédacteur de la constitution française) oppose le gouvernement représentatif, qu'il contribue à mettre en place, à la démocratie (qu'il rejette) dans son discours du 7 septembre 1789 : « La France ne doit pas être une démocratie, mais un

de France) Successeur Napoléon II (empereur des Français) Louis XVIII (roi de France) Roi d'Italie 17 mars 1805 – 11 avril 1814 (9 ans, 0 mois et 24 jours) Prédécesseur Lui-même (président de la République italienne) Successeur Victor-Emmanuel II (roi d'Italie en 1861) Protecteur de la Confédération du Rhin 12 juillet 1806 – 19 octobre 1813 (7 ans, 3 mois et 7 jours) Prédécesseur François II (empereur romain germanique) Successeur Confédération germanique Médiateur de la Confédération

faithful "to the sovereignty of the people, the Republic, one and indivisible, liberty, equality and the representative system. This was widely accepted. November 11, 1799 - 20 Brumaire Year VIII 4:00 the three consuls (Napoleon Bonaparte, Emmanuel Joseph Sieyes, Roger Ducos) took the oath before the ‘’new’’ 500. Bonaparte said "Citizens, the Revolution is set to the principles that have begun, it is finite. " The Consulate was quickly set up as an authoritarian regime led by three consuls,