En toute innocence

lui demande d'écrire une lettre. Au cours de la dictée, le capitaine Dreyfus est arrêté et accusé de haute trahison. Il est aussitôt interrogé. 15 octobre 1894 : Le capitaine Dreyfus est arrêté sur ordre du général Mercier. Il proteste de son innocence. Il est incarcéré à la prison du Cherche-Midi. Le commandant du Paty de Clam procède avec le commissaire Cochefert, chef de la sûreté, à une perquisition au domicile de d'Alfred Dreyfus. 29 octobre 1894 : le commandant du Paty de Clam écrit au

(6 pieds, rythme binaire), les figures de styles comme les parallélismes (« Innocents dan un bagne // Anges dans un Enfer »), une anaphore (V 2-3 avec « ces ») ou encore les rejets (« Ils travaillent ») permettent de rythmer le poème et d'exprimer toute la vie de ces malheureux enfants abandonnés par la société. V. Hugo cherche aussi à montrer l'opposition entre les enfants « normaux » et ceux « broyés » par le travail. Les enfants habituellement joyeux, joueurs et toujours en pleine forme sont

Arnolphe un bourgeois qui a toujours craint d'être cocu informe son ami Chrysalide de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction. De retour, après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents

et les qualités du Huron. 3- Son apprentissage passe par la religion -L’objet de l’apprentissage : seule une partie de la Bible (Nouveau Testament) est donnée à lire au Huron. Le modalisateur " enfin " est ironique. Son cerveau est vierge de toute empreinte donc le prieur va profiter de ces bonnes dispositions pour le marquer de la religion. On met en évidence ses qualités par des superlatifs : " plus vives ", " plus nette " (adjectifs de valeur) pour montrer que c’est une activité qui plaît

comme victime, et pourtant il réagit souvent assez tard lors des ses approches homosexuels. Malgré son aversion, il accepte de dormir dans le même lit qu’un prêtre à Nyon. On pourrait penser qu’avec son expérience une personne équilibrée, refuserait toute invitation d’un prêtre et fuirait pareille situation. Ainsi, il exècre et accepte tout à la fois ses rencontres homosexuelles. De plus, il ne faut pas oublier sa relation avec son cousin (), très affective et innocente pour Rousseau et pourtant très

MORT se veut à la fois TRAGIQUE (car la mort est une fatalité qui, inscrite au coeur même du cycle de la vie, dit la DESTINEE HUMAINE et la VANITE de toute existence, éphémère) et METAMORPHOSEE, TRANSCENDEE par la beauté du VERBE, SUBLIMEE par le travail des mots tout au long du poème : la mort, sous la veine poétique de Baudelaire, PREND UNE TOUTE AUTRE DIMENSION.La posture psychologique se double d'une posture « physique » à travers le verbe METAPHORIQUE « marcher », qui reprend l'idée de finalité du

L’analyse Camus montre l’absurdité avec les différents comportements en face du mal. Le mal et une chose qu’on peut ni comprendre ni expliquer. Le mal comme toute la vie est une chose qu’on ne peut pas changer. L’homme doit seulement croire à l’existence et vivre dans un monde absurde. Il doit accepter l’absurdité de la vie ( le mal vient si on veut ou pas). L’action de l’homme et limitée. Dans ce cas là l’homme est limité par la peste. L’absurdité et les différents manières de la confronter

qu’il n’a rien fait de très mauvais. Dans un sens, il voulait prouver son innocence et sa presque-perfection. D’après le pacte autobiographique de Philippe Lejeune, l’auteur doit promettre au lecteur « que ce qu’il va [lui] dire est vrai ». C’est sûrement le cas des premières pages du livre 1, où Rousseau affirme sincèrement que son autobiographie est « le seul portrait d’homme, peint exactement d’après nature et dans toute sa vérité » (p.1). Egalement, le fait qu’il n’aurait aucune hésitation de

mitoyens, des immeubles bâtiments plus bas construits à l’aide de certaines pierres particulières, empêchant la propagation du feu. Ensuite, l’empereur se fait construire une splendide villa en plein cœur de l’Urbs, c’est la domus aurea. Elle est toute plaquée d’or et reflète l’influence de l’art oriental. Néron baigne dans le mythe du soleil, il se compare au roi des perses, se déguise chez lui en Apollon mais aussi en soleil. L’or le rapproche de ce soleil auquel il attache une si grande importance

la double culpabilité d'Egisthe et de Clytemnestre, Electre fait d'Oreste le bras de sa justice et de sa vengeance. Lorsque Clytemnestre, à son tour, reconnaît Oreste, elle essaie de toucher en lui la fibre filiale. Mais Electre veille, empêchant toute faiblesse d'un frère pourtant tenté par la paix et le bonheur. Tous deux s'endorment côte à côte, veillés par le Mendiant qui s'interroge sur les circonstances de la mort d'Agamemnon.   Entracte   Lamento du Jardinier   Acte II Au lever du jour