Énée

du poète, de commencer sous les auspices des dieux et des déesses, afin d'obtenir d'eux, à force de voeux et de prières, l'heureux succès d'une si vaste entreprise. 2. La préhistoire lavinate et albaine jusqu'à la fondation de Rome (I, 1-6, 2) Énée [I, 1] (1) C'est d'abord un fait assez constant, qu'après la prise de Troie la vengeance des Grecs, s'étant exercée sur le reste du peuple troyen, ne respecta qu'Énée et Anténor, soit que le droit d'une ancienne hospitalité les protégeât, soit

car elle permet de faire disparaître une violence plus menaçante à l’extérieur. Elle devient alors nécessaire à l’organisation d’une civilisation tributaire de la loi et de certaines valeurs incarnées par le héros. Le héros romain Le prince troyen Énée était le fils d’un mortel, Anchise, et de Vénus, déesse de l’amour. Blessé lors de la guerre de Troie, il fut mené en Italie par une série de prophéties, d’aventures et d’interventions divines. Sans être le fondateur direct de la Ville éternelle, il

malgré cela il est pourtant de nos jours considéré comme un moment capital de la culture européenne. « Une musique baroque est celle dont l’harmonie est confuse, chargée de modulations et de dissonances » par Jean-Jacques Rousseau, 1776. (Image) Enée fuyant Troie, Federico Barocci, 1598 L’artiste baroque voulait à travers son œuvre susciter une certaine émotion chez le spectateur. Ici, pour provoquer ce sentiment, Barocci accentue le coté tragique de la scène qui est représenté. En effet au premier

ad mala « De l'œuf aux pommes ; du début à la fin. » Les repas romains commençaient souvent par des œufs et finissaient par des fruits. Ab uno disce omnes « Et qu'un seul vous apprenne à les connaître tous. » Virgile, l'Énéide, 2, 65. Énée, rappelant la perfidie du Grec Sinon qui permit l'entrée dans Troie du fameux cheval, prévient ses interlocuteurs contre la duplicité de tous les Grecs. Employé en mauvaise part lorsqu'il s'agit de juger un groupe, un peuple d'après les méfaits d'un

beaucoup à cette source sur laquelle Racine insiste moins. Les ravages de la passion comme maladie de l'âme, ont été également explorés par les Anciens. Citons encore les Héroïdes d’Ovide, et l’Énéide de Virgile, en particulier Les Amours de Didon et Énée. Phèdre pourrait également être inspirée du scénario biblique relatant la saga de Joseph, le héros biblique, fils de Jacob, et ses relations tumultueuses avec l'épouse de Putiphar. Un parallélisme analogique s'établissant entre les couples Joseph/Putiphar

cherchaient à enlever Perséphone. • Orphée, venu chercher son Eurydice, le calma en lui jouant de la lyre. • Psyché qui était venue chercher la boite à cosmétique de Perséphone sur l'ordre d'Aphrodite l'endormit avec un gâteau trempé dans du vin drogué. • Enée fit de même avec un gâteau soporifique à base de miel et de pavot préparé par la Sibylle. • Lors de son douzième travail, Héraclès réussit à le dompter seul, sans armes ni artifice comme le lui avait demandé Hadès et le ramener à Mycènes pour le montrer

La fondation de Rome I) La fondation légendaire de Rome 1) Une origine grecque Après la prise de Troie, Enée fils d’Anchise et de Vénus, arrive finalement dans le latium vers le 12eme siècle av J-C. Son Fils Iule ou Ascagne (gens Iulii ?) fonde la ville d’Albe Crise de succession à Albe, Numitor est détrôné par son frère Amulius Amulius oblige Rhéa Sylvia, la fille de Numitor, à devenir vestale pour qu’elle ne puisse pas avoir de descendance 2) La légende de Romulus et Rémus Elle

son premier œuvre, le "Recueil de douze sonates". 1685 et 1689 : Il compose en l’honneur du sacre de Jacques II et pour le couronnement de Guillaume III et de la reine Marie en 1689. 1889 : Il présente son plus grand chef-d'œuvre, l'opéra "Didon et Enée". 21 novembre 1695 : Décès de Henry PRUCELL, il meurt à 36 ans à Westminster. La cause de sa mort n’est pas très bien définie, mais la cause la plus vraisemblable est qu’il est mort de la tuberculose. JEAN BAPTISTE LULLY 28 novembre 1632, naissance :

dénonce la monotonie d'une relation devenue habituelle et donc mortelle. III.2. Verlaine s'adonne à son penchant à la " déréalisation " du décor comme une toile de Watteau. Ici, l'amour est évoqué avec cruauté, on est loin de la rencontre de Didon par Enée (L'Enéide de Virgile). Les deux formes demeurent ensemble sans avoir vraiment rompu et leur couple est d'autant plus absurde que rien ne semble avoir motivé la perte de l'amour. Le texte progresse vers l'impersonnel. Verlaine utilise le discours direct

beaucoup à cette source sur laquelle Racine insiste moins. Les ravages de la passion comme maladie de l'âme, ont été également explorés par les Anciens. Citons encore les Héroïdes d’Ovide, et l’Énéide de Virgile, en particulier Les Amours de Didon et Énée. Phèdre pourrait également être inspirée du scénario biblique relatant la saga de Joseph, le héros biblique, fils de Jacob, et ses relations tumultueuses avec l'épouse de Putiphar. Un parallélisme analogique s'établissant entre les couples Joseph/Putiphar