Enfant-bulle

autres), qui se révélant inintéressante voire «toxique», subit brusquement une vente généralisée, ce qu’on nomme «éclatement», et donc un Krach. Pour mieux comprendre, on peut prendre l’exemple de l’or, ou même d’Apple (même s’il s’agit d’une mini-bulle). Face aux variations incessantes et peu prévisibles des cours, dans un contexte économique difficile, les acteurs financiers, dont l’ «aversion au risque» augmente, se rabattent sur une valeur refuge, en l’occurrence l’or, dont ils font donc fortement

Etats-Unis avec un succès mitigé avant guerre (New Deal) et reprise largement après la guerre. On voit bien aujourd'hui que les erreurs de base commises en 1929 n'ont pas été reproduites (pas d'assèchement du crédit; interruption de la purge de la bulle financière par des interventions étatiques massives, sous forme de Nationalisations ou de garanties). Les Etats-Unis, où la tradition Libérale fait office de dogme chez beaucoup de politique, ont compris que seule une intervention de l'Etat pouvait

succédé seulement pendant le 20ème siècle. Dans l’ordre chronologique, il s’agit de la crise de 1929, de la crise japonaise, celle des caisses d épargne américaines, de la crise asiatique du 1997, des crises bancaires dans les pays de Scandinavie, de la bulle Internet – malgré les différences, toutes ont pour origine une innovation importante. Elle peut venir de l’économie réelle, mais elle peut aussi puiser la source dans une innovation purement financière. A titre d’exemple, nous voudrions citer deux

Dans quelle mesure les mécanismes du marché permettent-ils de réguler efficacement l’économie ? Intro. De nos jours, la pêche a beaucoup augmenté. Les consommations de poissons sont plus importantes, mais il y a surtout une surproduction. Seulement les stocks de poisson ne sont pas inépuisables. Ce qui entraine une disparition progressive du poisson. Etant une ressource commune, personne ne fait attention aux stocks restants. On voit que le marché ne peut gérer seul ce problème. Paradoxalement

Le krach de 1929 est consécutif à une bulle spéculative, dont la genèse remonte à 1927. La bulle est amplifiée par le nouveau système d'achat à crédit d'actions, qui depuis 1926 est permis à Wall Street. Les investisseurs peuvent ainsi acheter des titres avec une couverture de seulement 10 %. Le taux d'emprunt dépend du taux d'intérêt à court terme ; la pérennité de ce système dépend donc de la différence entre le taux d'appréciation des actions et ce taux d'emprunt. Pour Charles Kindleberger 1

retrouvaient centralisées dans une seule et même entité communément appelée Banque Universelle ou Global Banking dans le monde Anglo-saxon. Ces banques ont apparemment mieux résisté à la récente crise qui a vu ses débuts en 2007 avec l’explosion de la bulle spéculative immobilière et qui n’est pas encore finie. Elle est pour de nombreux acteurs de la sphère financière et économique la pire crise jamais traversée après celle de 1929. Cest une crise systémique importante. En effet, la capacité des banques

Volatilité des marchés et stabilité de la sphère réelle" Introduction La déréglementation, la modernisation des transactions et la capacité d'innovation des professionnels ont mis en place un vaste marché international des capitaux, disponibles pour tous les besoins exprimés par les pays et pour tous les ajustements nécessaires. Les marchés financiers contribuent au financement de l'économie réelle en favorisant la rencontre, en principe sans intermédiaires, entre acteurs à capacité de financement

trouver d’autres marchés pour augmenter sans cesse leurs profits et les bonus de leurs dirigeants. Une crise financière importante peut se déclencher lorsqu’une bulle spéculative se dégonfle sur un ou plusieurs marchés. Les bulles récentes sont étroitement liées à la politique monétaire pratiquée par la Fed. Suite à l’éclatement de la bulle spéculative sur les valeurs Internet en 2000, pour contrer ses effets dépressifs sur l’économie ainsi que ceux liés à l’attaque du 11 septembre, la Fed dirigée

« destruction créatrice ») ensuite revient d’une nouvelle vague d’innovations. (exemple automobile qui n’a pas fait sa révolution du « sans pétrole ») 1.2 Des théories qui s’appliquent aussi aux Marchés  La crise des tulipes : La première bulle spéculative, aussi connue sous le nom de tulipomanie,.après l’introduction en Hollande de la Tulipe autour de 1559, le bulbe de cette fleur augmente rapidement de façon exponentielle et irrationnelle. C’est l’effet spéculatif. Tout le monde s’enrichit

même en position débritrice vis à vis d'autres agents économiques, la crise de solvabilité se transmet par dominos à l'ensemble de l'économie. Le risque de marché lié aux variations des cours des titres/intérêt/ taux de changes. L'explosion d'une bulle spéculative peut affecter grandement l'économie réelle. Le risque lié aux comportements imprudents/gré-guerre des opérateurs (trader...) le risque systémique (risque ultremme). C'est à dire que la crise touchera l'ensemble du système financier