Enfant des rues

siècle, la situation s’est encore aggravée. Les espèces animales et végétales qui ont pu être sauvées lors de la « Guerre des vingt jours » ne suffisent plus à nourrir la population affamée. Des groupes de contestation se forment, descendent dans les rues et clament leur mécontentement. Leurs slogans sont éloquents et rencontrent en quelques jours un écho retentissant. Aux quatre coins du monde, les gens crient. Ils crient avec tant d’ardeur que l’Empereur finit par les entendre. Ce dernier décide alors

que c’était un papa, dont tout le monde eût été fière.Aux ChampsDeux familles les Tuvache qui avaient 3 filles et 1 garçon et les Vallin qui avaient 1 fille et 3 garçons. Les deux familles étaient assez pauvres. Un jour Mme Henri d’Hubières vu les enfants et joua avec eux et leur donna des friandises. Un jour elle alla chez les Tuvaches et leurs demanda si elle pouvait adopter Charlot. Mais les Tuvaches refusèrent. La fermière lui dit «  Vous voulez que j’vous vendions Charlot ? Ah! Mais non, c’est

d’une trilogie raconte le voyage de Maria Desrosiers jusqu’à Montréal en 1912. Maria travaille dans une manufacture de coton à Providence en Nouvelle-Angleterre. Elle vit seule car son mari, exerçant le métier de marin, est disparu en mer. Les trois enfants de Maria habitent en Saskatchewan avec leurs grands-parents. Elle a dû s’en séparer car elle ne pouvait assumer cette lourde charge avec le maigre salaire qu’elle gagne. Soudainement, elle se retrouve enceinte par accident d’un homme avec lequel elle

Résumé : A Santiago, au Chili en 1973 Le père Mac Enroe dirige le collège catholique Saint Patrick en l'année 1973, troisième de la présidence socialiste de Salvador Allende et du gouvernement Gauche. Il décide d'intégrer à ses classes quelques enfants issu de milieux défavorisées des bidonvilles. Et les adultes s'affrondent pour défendre leur parti politique Il espère leurs apprendre le respect, la tolérance et le partage du savoir. Gonzalos qui viens des beaux quartier de Santiago du Chili

Ce jour la, les rues etaient tristes, il n'yavait point d'enfants qui jouait dehors. Et en arrivant a la cimitiere je vis cette masse noire de personnes reunies autour de ce petit cercueil, je me fondis dans la foule attendant l'arrivee du pretre. Le temps se prolengea alors je decidai de prendre la parole et derappeler ces gens qui etait gavroche, cet enfant dont son ame avait ete volee hier. J'avancai, montai pres du creux ou allais etre enterre gavroche et dit: "chers amis, nous allons aujourd'hui

sain et propre. Refuse de me polluer pour ne pas polluer ta santé car, vivre dans un environnement sans pollution, c’est vivre gai et longtemps. Eden ! Air oxygéné, eau limpide, corps sain, esprit sain J’imagine déjà le paradis Ces enfants qui gambadent, ces hommes bienveillants et vivants Autour de moi, la verdure signe du bien-être C’est quoi le paludisme ? C’est quoi le choléra ? C’est quoi la dysenterie ? Mon environnement, mon ami me protège de ces fléaux mortels

que ce soit pour des monuments, ou des faits historiques. Dans cet extrait : « Indépendamment de ces deux rues principales, perçant Paris de part en part dans sa largeur, communes à la capitale entière, la Ville et l’Université avaient chacune leur grande rue particulière, qui courait dans le sens de leur longueur, parallèlement à la Seine, et en passant coupait à l’angle droit les deux rues artérielles. » (Voir page 205). Nous pouvons constater que, dans cet extrait, Victor Hugo décrit Paris en

elle s'étendrait avec son corollaire, la peur. Avec le XXe siècle seraient nés les plaisirs de la violence gratuite, symbolisés au début des années 70 par le film Orange mécanique, les attentats, les attaques nocturnes pour quelques francs, les enfants assassinés, et les violences contre les biens.        Le XXe siècle, période de violence, trouverait son symbole avec New York, le mythe New York, sommet de cette pyramide d'horreur. Un monstre urbain où dix millions de verrous et de portes blindées

La voix du silence Najia Bennani : Originaire de fez, maintenant professeur de français à rabat, La poétesse a voulu donné l’occasion de s’exprimer ! À toutes les voix silencieuses de la société marocaine : Des enfants abandonnés, exploités, chassés, torturés à la suite d’un divorce ou parce qu’ils sont nés sous X…des femmes qui souffrent de l’injustice sociale, considérées comme inférieures, donc dépourvues de tout pouvoir de prendre une décision. Cette catégorie

C’était la famille Can’an, quatre enfants étaient morts, ainsi que la mère, le père, et le grand-père. La mère tenait encore un des enfants dans ses bras. Elle était enceinte. les yeux des enfants avaient été arrachés des orbites, et leurs membres coupés. Ni bras, ni jambes. C’était affreux. Nous les avons emmenés dans un camion. Le seul survivant, le frère du père de famille, Samir Ca’nan, m’aida à rassembler les restes de son frère, sa femme, et de leurs enfants, ainsi que du grand-père. Nous les