Enfant Soldat

jour-là, Ama apprend ses leçons et écoute les conseilles des sages. Un pauvre paysan Dans le village de Ndiobène, un paysan plus riche qu’une personne de la ville, un paysan qui avait tout réussi, qui avait une femme magnifique, des enfants si joyeux et une confortable maison qui était immense sans parler d’un terrain de production très riche qui était équipés de machines à labourer le sol et il pouvait récolter tant de légumes dans son champ. Cette vie n’allait pas restée si parfaite

un train revenant de Paris, Henriette Bonin. Celle-ci, qui s’était débattue contre Morin, cède aux charmes de Labarbe, venu plaider la cause de son ami le mercier. La folle En un seul mois, une jeune femme voit mourir son mari, son père et son enfant nouveau-né. Après six semaines de délire, elle sombre dans la mélancolie, bougeant à peine et hurlant dès qu'on veut la lever. Pendant quinze ans, une vieille bonne lui donne à manger, à boire et fait sa toilette. La guerre arrive. Un jour de décembre

L’épisode des Sabines Cet épisode de l’histoire romaine a été raconté par Tite-Live : L’enlèvement : Ensuite on invite, à la demande de Romulus, les voisins au spectacle ; (...) Bientôt, les Sabins dans leur totalité s'y rendent avec femmes et enfants. On les reçoit dans les familles, selon les règles de l’hospitalité. Le moment du spectacle arriva, il accaparait les yeux et l'attention, quand, au moment voulu, le coup de force se déclencha, alors, au signal donné, la jeunesse romaine s'élança

herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;

REPRESENTE La toile nous montre un ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière

dans les cinémas ni dans les trains. . A l’école les enfants bullent les enfants, parce qui ils sont juives. C’est a cause des juives qu’il y a une guerre. 4. Est-ce que j’existe encore ? Le professeur negeert Joffo. Joseph laisse tomber son calier. Zo ziet de proffeseur dat hij er nog is. A la recreation les enfants crient Youpin, c’est een scheldwoord pour Juif. 5. Il faut fuir… Quand il avait sept ans, le père de Joseph était un soldat. Il a échappé et puis il est devenu coiffeur. Il a

déroule. Description visuelle : -Description de l’œuvre : Les civils, les victimes, sont clairement séparés des soldats, leurs bourreaux. Il y a un contraste majeur entre les deux groupes est visible : -les civils ne portent pas de vêtements, ils sont nus, dessinés avec des formes rondes et des lignes courbes (des femmes et des enfants seulement). - en totale opposition avec soldats qui sont des hommes, visages cachés, lignes droites et cassantes, casqués, évoquant la destruction, la violence

futurs enfants qui seront les futurs soldats et donc l’espoir d’Hitler. II) SYNTHESE : A) IMAGE : 1) Identifier le document : a) -auteur : W. Willcich -titre : Portrait de famille -date : / b) type de document : gravure (affiche) ou manuel c) catégorie du document : portrait fictif d) thème de l’image : vie quotidienne (vie de famille, place de la femme) 2) Comprendre la composition (dénotation) : a) -1er plan : 2 enfants -2ème plan : parents et 2 autres enfants -3ème

1937 1. La toile nous montre un ensemble de personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière

devancée et suivie par de jeunes enfants, sans leur parents. En second plan, on observe quatre soldats, probablement américains qui occupent toute la largeur de la route. Au troisième et dernier plan, on voit un énorme nuage de napalm qui couvrent tout le champ de vision, on ne peut que voir ça en regardant l'horizon. Cette photographie a été prise en noir et blanc et montre par le blanc immaculé les enfants représentant l'innocence et contraste avec l'équipement des soldats américains, qui eux, habillés