Ennemi du peuple

goulag Katorgas Système concentrationnaire des tsars Depuis le XVIIe Points communs Éloigner les opposants politiques Peupler territoires inhabités/ inhabitables Exploiter des ressources grâce au travail forcé Goulag rajoute la volonté de rééduquer (travail -> homme nouveau Révolution bolchevique + Guerre civile 1918 Premiers camps de travaux forcés Ennemis du peuple déportés (150’000-400’000) Blancs (monarchistes) Anciennes élites politiques religieuses et sociales Fin de guerre civile

qui détient l'autorité légitime d’un pays est titulaire de la souveraineté d'un pays, il ne peut donc exister de pouvoir de fait. Dans les sociétés modernes, le peuple n'est plus l’autorité légitime, car les procédures d'élections, permettre de transmettre la souveraineté ou du moins le pouvoir du peuple aux représentants élus du peuple. Ceux-ci promulguent les règles de vie pour tous, qui sont appliquées par cette société entière, c’est ce que Weber appelle« violence légitime » dont dispose l‘État

constitution nouvelle. Je veux leur prouver, 1° que la peine de mort est essentiellement injuste ; 2° qu'elle n'est pas la plus réprimante des peines, et qu'elle multiplie les crimes beaucoup plus qu'elle ne les prévient. Hors de la société civile, qu'un ennemi acharné vienne attaquer mes jours, ou que, repoussé vingt fois, il revienne encore ravager le champ que mes mains ont cultivé, puisque je ne puis opposer que mes forces individuelles aux siennes, il faut que je périsse ou que je le tue ; et la loi

d’être plus esclave qu’eux. Comment ce changement s’est-il fait ? Je l’ignore. Qu’est-ce qui peut le rendre légitime ? Je crois pouvoir résoudre cette question. Si je ne considérais que la force et l’effet qui en dérive, je dirais : « Tant qu’un peuple est contraint d’obéir et qu’il obéit, il fait bien ; sitôt qu’il peut secouer le joug, et qu’il le secoue, il fait encore mieux : car, recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie, ou il est fondé à la reprendre, ou on ne l’était point

propre maître. pour cela que j’écris sur la politique. Si j’étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu’il La famille est donc, si l’on veut, le premier modèle des sociétés politiques : le chef est l’image du père, le peuple faut faire ; je le ferais, ou je me tairais. est l’image des enfants ; et tous, étant nés égaux et libres, Né citoyen d’un État libre, et membre du souverain, n’aliènent leur liberté que pour leur utilité. Toute la difféquelque faible influence

toute sa vie, viennent à bout de lui après une grave tuberculose. Il passe ses dernières années à l’hôpital. Il meurt le 21 janvier 1950. 4 Postulat Alors que l’utopie dépeint un système idéal, dans lequel l’Etat assure le bien être de son peuple, et donne l’image d’un modèle politique exemplaire, la contre-utopie, elle, correspond à un contre-exemple. On peut qualifier le roman 1984 de contre-utopie puisqu’il décrit un système totalitaire, marquée par la souffrance, la haine, la peur et

présenter notre étude sur l'évolution des libertés et de la tolérance données au peuple Juif par des Hommes qui n'en font pas parti. Cette étude se concentre principalement sur l’histoire du peuple Juif car pour comprendre les relations des Hommes avec cette population, il faut remonter à sa naissance et observer son évolution au fil du temps. Les origines du judaïsme remontent à l'Antiquité au Moyen-Orient, où un peuple commence à croire en un seul dieu. C’est le départ du Judaïsme, qui devient

tête. Ne désespérez de rien, dit-il au désolé Candide; j'entends un peu le jargon de ces peuples, je vais leur parler. Ne manquez pas, dit Candide, de leur représenter quelle est l'inhumanité affreuse de faire cuire des hommes, et combien cela est peu chrétien. « Messieurs, dit Cacambo, vous comptez donc manger aujourd'hui un jésuite ? c'est très bien fait; rien n'est plus juste que de traiter ainsi ses ennemis. En effet le droit naturel nous enseigne à tuer notre prochain, et c'est ainsi qu'on en

pas d'être plus esclave qu'eux. Comment ce changement s'est-il fait ? Je l'ignore. Qu'est-ce qui peut le rendre légitime ? Je crois pouvoir résoudre cette question. Si je ne considérais que la force et l'effet qui en dérive, je dirais : "Tant qu'un peuple est contraint d'obéir et qu'il obéit, il fait bien ; sitôt qu'il peut secouer le joug, et qu'il le secoue, il fait encore mieux : car, recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie, ou il est fondé à la reprendre, ou on ne l'était point

souveraineté du peuple toute neuve, en même temps qu’investi d’une haute mission, celle de régénérer la nation dans sa structure et son esprit. Du coup Robespierre devint un homme nouveau, libéré de la timidité et du souci des autorités, si apparents dans ses mémoires de concours. D’emblée, il sent la puissance des résistances opposées à ses aspirations, comprend l’un des premiers qu’il faudra combattre farouchement et se persuade de l’existence et de la force d’un "complot des ennemis du peuple". Orateur