Entablement

hauteur : la colonne ne dépasse pas plus que en 5 fois la base. La colonne repose directement sur la base du temple. La forme du chapiteau dorique est simple avec entablement. L’aspect de l’ordre dorique est massif et simple, il est caractérisé par sa puissance, stabilité, présence de la colonne, l’absence de base, chapiteau « entablement ». — L’ordre ionique (plus tardif, VIs. av. J.C.) est plus orné, plus décoré, plus élancé, style est grâce et délicatesse. Le chapiteau a encorbellement, enroulement

 Flageolets = Flûte à bec partiellement munie de clés.  Crépitement = Succession de bruits secs. 11  Maussade = Qui inspire de l'ennui.  Corniche = Ensemble de moulures en surplomb les unes sur les autres, servant de couronnement à un entablement, à une élévation, à un piédestal, à une boiserie, à un meuble.  Virulence = Caractère dangereux et persistant de quelque chose. 4.2 Relevez 5 figures de style « Le soleil revêtait d’or liquide les hautes fenêtres. » Personnification + Métaphore

sur les cinq ordres d’architecture (1562) de Jacopo Barozzi (1507-1573), dit Vignole, lui permet d’être considéré comme le législateur de l’architecture jusqu’au XVIIIe siècle. L’artiste use ainsi d’un répertoire de formes : colonnes, pilastres, entablement, arcades, frontons, cartouches, ailerons. C. L’importance des voyages Cette base intellectuelle prend son relief lors des fréquents voyages des artistes à travers l’Europe. Le pèlerinage à Rome, considéré comme le plus important, permet

Laugier, au contraire, ce qui est beau est conforme à la raison13. Le modèle naturel de toute architecture est la cabane primitive soutenue par quatre troncs d'arbre, avec quatre parties horizontales et un toit qui deviennent respectivement colonnes, entablements, frontons. Le modèle du temple grec se répand alors jusque dans le décor et le mobilier. Ce paradigme se traduit par un changement de style au milieu du siècle: le rococo est abandonné, la Grèce antique et Palladio deviennent les principales références

gongs) Pour la façade, les plus petites s'ouvrent sur une porte encadrée de montants avec un linteau, les plus grandes ont une composition architecturale évoluée, dont l'élément marquant est la demi-colonne en saillie sur le mur, soutenant un entablement ionique ou dorique avec un couronnement en fronton et parfois une large bande formant une frise supplémentaire. Ici la façade est traitée dans le style de la tombe de Lefcadia, avec un ordre dorique d'applique qui comporte une frise de triglyphes

chapelle Zénon est une chapelle en croix grecque, aménagée dans la nef de droite, en l'honneur de Saint-Zenon, où se trouve également le tombeau de sa mère Théodora. Deux colonnes de porphyre sont à l'entrée, présentant un chapiteau carolingien et un entablement antique. Dès l’entrée, au-dessus d’un vase, d’une corniche antique, et de deux colonnes également issues des ruines romaines, des visages sont présentés dans des médaillons épousant la forme de la corniche. La voute on y voit un visage dans un

médiévale. Le cercueil est placé sous un édicule formant arc, haut baldaquin sur colonnes, ou tempietto. La « chapelle ardente » conçue par Vredeman de Vries pour Charles Quint à Bruxelles en 1558 en est le prototype. Des piliers carrés supportent un entablement, et sur le toit du baldaquin s'élève une pyramide à trois étages. Les immenses herses de flambeaux forment encore l'essentiel de la structure. Mais à Rome, en 1572, pour Sigismond II Auguste de Pologne, le catafalque est devenu une véritable architecture

quadrillage établi pour le donjon. Les lucarnes change contrairement a celle du donjon. (11)Elle font place a des frontons cintrés ou triangulaire mais qui sont quand même très aplaties. Ces lucarne sont accompagné de colonnettes jumelés portant un entablement orthodoxe. Sur les lucarnes, on retrouve les losanges et les cercles d’ardoise qui ornent toujours les pilastres. Ces motifs d’ardoises sont très nombreux sur les façades du château, qui constate avec la couleur blanche du tuffeau, et qui renvoie

avec son péristyle extérieur. Mais l’architecte utilise majoritairement le style de la Grèce antique avec le péristyle à six colonnes à entrecolonnement régulier et à fronton triangulaire (unique à l'époque), colonnes corinthiennes portant un entablement alors que l'usage à l'époque était les piliers carrés portant des arcades (l'église Saint-Sulpice de Paris) « réunir la légèreté de l'architecture gothique avec la magnificence de l'architecture grecque ». La façade principale du bâtiment est décorée

délimité par deux  colonnes, deux supports verticaux. Baie délimitée par deux supports verticaux. On nomme travée toscane, dorique, ionique, corinthienne, ou composite une composition formée par un ordre de colonne ou de pilastre portant un entablement. Cette travée est elle-même une baie ou l’encadrement d’une baie. Triforium  : Galerie  à ouvertures multiples passant au-dessus des grandes arcades  de la nef d’une église. Coursière placée au-dessus des grandes arcades ou des tribunes sur les