Énumération

perspective inquiète et troublée se révèle pendant une longue et exaspérée description qui évoque dans l’esprit du lecteur des images différentes et contrastes d’hombres et de lumières capables de réfléchir la confusion de Paris. Dans cette énumération le poète représente : - le mélange architectonique de la ville (1er Quatrain) - la multitude et la diversité des gens (2ème Quatrain) - les nombreux aspects négatifs de Paris comme la pouvreté, la criminalité et la couardise (1er Tercet)

C'est un texte réaliste, il utilise le langage du peuple «flanquez y tout» (l.16) Gavroche représente le peuple. La vision du peuple est positive. Texte B: Procédés d'écritures: Le peuple est désigné par un singulier collectif: «il» (l.2) Énumération de terme au pluriel qui montre que le peuple est nombreux. «flots vertigineux» métaphore désignant le peuple. «masse grouillante» déshumanise le peuple, expression péjorative La vision du peuple est négative «les héros ne sentent pas bon». «mugissement»

opposition avec la 1° personne du pluriel qui désigne les Européens - Emploi affectueux de l’adjectif possessif « nos » qui induit de la complicité avec le lecteur b) Jean de Léry emploie un style précis et factuel - Enumération de toutes les parties du corps - Enumération des rites attachés à cette pratique cannibale => Impression d’un rapport et de la volonté de l’auteur d’être le plus fidèle à ce qu’il a constaté c) Recherche du sensationnel - Parties du corps chosifiées, morceaux

réaliste Description du décor intérieur et extérieur avec sensations de mouvement, de changement de couleur sur le mobilier. Description et énumération des éléments "meubles, les murs, les teintures, les coins, la glace, la cheminé" qui nous renvoie à une comparaison de la mort qui entre lentement et qui approche comme la nuit. Description et énumération de "couchant, montagnes, le ciel", le coucher de soleil qui au fur et à mesure descend c'est comme la fin d'une vie, l'âme qui s'éteint en même

référence à la journée qui se termine, au temps qui passe. Dans le texte, on trouve également : « le soleil s’est couché ce soir ». - « soirs, nuits, aubes, jours » = temps envisagé dans sa suite comme l’indique le mouvement du premier quatrain = énumération des différents moments de la journée avec les articulations chronologiques « Et », « Puis » (anaphore) qui répété dans un même quatrain met en valeur la rapidité du temps. - Utilisation du futur dans des verbes de mouvement « viendra, passeront

ensembles selon qu 'elles amplifient, atténuent ou renversent le sens 1) Les figures d'amplification L'hyperbole : exagération délibérée dans choix des mots La gradation : énumération des termes du plus faible au plus fort (gradation ascendante ) ou inverse (gradation descendante). L'accumulation : longue énumération de terme, souvent gradation. 2) Les figures d'atténuation L'euphémisme : recourt a une formule qui adoucit une réalité trop pénible La Litote : « Dire le moins pour

populaire : « le pèlerin » : terme péjoratif, employé par Sganarelle pour présenter un maître toujours en mouvement et non un être en chemin vers des lieux saints. - Différents champs lexicaux sont mobilisés pour le décrire. o La longue énumération mêle, en désordre, le champ lexical de la religion (« diable, hérétique, Turc, Ciel, Enfer »), celui de l'animalité (« chien, enragé, bête brute, pourceau »), et celui de la débauche (« scélérat », « Epicure », « Sardanapale »). Elle construit trois

empressement est souligné par une énumération qu’amplifie la reprise de l’adverbe d’intensité « tant » (« tant d’amour et tant d’impatience témoignée, tant d’hommages pressants, de vœux, de soupirs et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin, et tant d’emportements »). C’est ensuite au tour de Sganarelle de présenter Dom Juan, il met, en premier lieu, en avant son impiété par une nouvelle énumération (« le plus grand scélérat que

c) Les énumérations,telles que « des pierres,des croix,des grilles de fer,des couronnes de verre,des couronnes de fleurs fanées »(l.19 à 22) et des répétitions stylistiques « tombes »*6 (l.27-28-29) renforcent l'angoisse qui s'est emparée du narrateur. Ces dernières figures de style nous permettent de nous interroger sur l'état mental du narrateur. Le fantastique étant inséparable de la notion d'hésitation entre l'irrationnel et ce qui pourrait être expliqué,ces énumérations et répétitions

nous décrit l'arrivée d'un nouvel élève, élève ce trouvant être Charles Bovary. Nous nous proposons d'étudier en premier lieu, la description de nouveau et par la suite, la description de sa casquette. Cet incipit très pittoresque dû aux longues énumérations et à la description porgressive, nous met dans la peau d'un narrateur omniscient, qui ce trouve être un des élèves de la classe. Celui-ci nous accompagnent avec un "nous" qui sera abandonné par la suite. Le cadre spation-temporel nous est décrit