Epigraphe

peste" 1- Analyser l'épigraphe de la peste : Il est aussi raisonnable de présenter une espèce d'emprisonnement par une autre que de présenter n' importe quelle chose qui existe réellement par quelque chose qui n' existe pas. Au début , cette épigraphe est une allégorie aussi elle est une figure du discours. Ici, Camus veut présenter une espèce d'emprisonnement ; quand il y a la peste , on forme la ville . Donc, la ville est fermée. C'est une espèce d' emprisonnement. 2- Le sens littéral de

l’autre de voix. « L’une s’enorgueillit de sa robe, l’autre de sa queue » marque une contradiction avec la phrase précédente car bien qu’ils leur manquent quelque chose d’important, ils se sentent supérieurs aux autres. Le paon et la tulipe dans cet épigraphe sont humanisés, ils sont rendus responsables des défauts humains. L’épigraphe est important car il permet d’expliquer ou d’appuyer le « poème » comme nous le verrons par la suite. Nous pouvons ensuite nous interroger sur le titre qui est centré sur

liés à l’histoire. A l’exemple de nombreuses épigraphes étudiées par Gérard Genette, cette épigraphe précise le sens du texte et en donne un schéma préliminaire. Le mot «sommeil», le noyau sémantique de ces vers, est aussi caractéristique par rapport au genre fantastique dans la mesure où la frontière entre le rêve et la réalité, le sommeil et le réveil reste floue dans ce conte. (Todorov, 1970, 29) Pourtant, il paraît que le choix de cette épigraphe ne repose pas seulement sur la valeur significative

caténaire chausse-trappe clepsydre clovisse conteste coquecigrue créosote dartre dent drachme dynamo ébène ébonite écarlate ecchymose échappatoire écharde écritoire égide énallage encaustique enclume éphémérides épigramme épigraphe épitaphe épithète épître équerre équivoque escarre estafette estompe extase fourmi gemme glaire hécatombe hydre hypallage icône idole idylle immondice impasse imposte insulte loutre malachite mandibule météorite millefeuille

grandeur de l'homme sans espoir, cet éternel présent, c'est cela précisément que des théologiens avisés ont appelé l'enfer. Un Piero della Francesca l'avait compris, mais le cardinal Carafa aussi. Et on saisit mieux pourquoi Camus a choisi pour épigraphe le récit fait par Stendhal de ses derniers instants. Car la manière dont le cardinal, étranglé par deux fois, regarde le bourreau sans prononcer un mot, illustre et le principe de répétition et le regard stoïque qui caractérise le condamné, le damné

solitaires  ; l’amour pourrissant ; race de Caïn (race maudite) sans espoir, à laquelle appartient B. Mais ce destin tragique est aussi celui d’une humanité. Il réclame que nous jetions le masque et notre amour «  plains-moi ! ... Sinon je te maudis » (Épigraphe pour un livre condamné)
 

mélancoliques et solitaires. Les images de la douleur du poète et de son incapacité de s’adapter au monde sont récurrentes. Il convient de mentionner en plus, que le titre du recueil montre l’influence de Baudelaire, qui dans un vers de son poème « Épigraphe pour un livre condamné », qualifie son propre recueil de « livre saturnien » pour indiquer la nature ombrageuse et mélancolique de certains de ses écrits. En ce qui concerne spécifiquement la section « Paysages Tristes », les poèmes qui la conforment

mars 1883 : à V.Havard   « Mon cher éditeur et ami,     Voici le titre de Une Vie. Je ne l'aime pas beaucoup. Voyez donc si on ne peut pas faire mieux, vous qui vous entendez si bien à arranger les titres. « L'humble vérité » doit être mis en épigraphe, comme je l'indique.     Je vous serre bien cordialement la main. » Problèmes financiers persistants : « Vous serait-il possible de m'avancer encore 500 francs sur mes droits d'auteur ? » (18 juin 1883, à V.Havard) http://maupassant.free.fr/corresp/cadre

et sa position en début du recueil (C’est la pièce que Mallarmé a choisie de présenter comme sonnet liminaire de son édition des poésies complètes. D’autre part, il a voulu expressément qu’elle fût composé en petites italiques à la manière d’une épigraphe) lui donnent une tout autre portée en changeant sa situation d’énonciation, et son destinataire : il ne s’agit plus d’un simple toast mais d’un salut au lecteur, appelé à son tour à l’incertaine navigation de la lecture, et d’une dédicace de l’œuvre

analogie entre ces suspentes et des bretelles ou l’écharpe qui soutient un bras cassé ou un bandage herniaire. 3. — Dédicace et épigraphes — « pour E » : cette dédicace invite à l’interprétation. La série est ouverte : E comme enfance, comme eux, ou elle, comme Esther et Ela, comme la lettre disparue dans La Disparition ou revenue dans Les Revenentes. Les épigraphes au seuil de la première et de la deuxième parties renvoient à un poème de Raymond Queneau (1903-1976) tiré de Chêne et chien, roman