Epilogue Baudelaire

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Spleen Je suis comme le roid’un pays pluvieux’’ poème de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux, Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes, S'ennuie avec ses chiens comme avec d'autres bêtes. Rien ne peut l'égayer, ni gibier, ni faucon, Ni son peuple mourant en face du balcon. Du bouffon

contradictoire de l'amour. Représentation de l'amour par un être orgueilleux, narcissique On part donc d'un témoignage personnel pour aboutir à un propos général sur la nature antithétique de l'amour. -Causerie Les Fleurs du Mal, 1857 Charles Baudelaire (1821-1867) français XIX Symbolisme et romantisme Poésie moderne L'auteur reçut un amende et la suppression de 6 poèmes de ce recueil. Sonnet irrégulier, alexandrins aux rimes croisées Une causerie est une petite conférence sans prétention

qui émettait des sons harmonieux au soleil levant. SPLEEN ( LXXVII ) Analyse Comme de nombreux poèmes des “Fleurs du mal”, celui-ci a le tour de l'allégorie la plus stricte el la plus traditionnelle. Mais la plupart ont toutefois quelque épilogue explicatif, où l'auteur dévoile le second terme de la comparaison sous-entendue ; il fait, en général, un retour sur lui-même en s'appliquant la moralité du sujet. Dans le “Spleen” dit “du roi”, il n’y a pas de retour sur le sujet pensant. Les trois

sont bâti sur cette fin. La mort est, comme nous l’avons dit précédemment la fin évident d’une vie, un passage obligatoire pour tous les êtres vivants. Cette vision d’abord effrayante de la mort nous est très bien d écrite dans le poème de Charles Baudelaire, « L’Horloge ». Ce poème fataliste nous rappelle que la vie n’est pas éternelle et qu’un jour la mort nous prendra la vie. La mort peut surgir sans prévenir du jour au lendemain, c’est cette mort tant redoutée de tous qu’a vécu Paul Eluard en perdant

mais inspiré aussi. Voilà qui fait de Verlaine un poète maudit car « Saturne l'y prédestinait, les grimoires anciens le lui prédisaient.»  2 ) Le recueil se divise en 6 parties : Le prologue, Melancholia, Eaux-Fortes, Paysages tristes, Caprices, Epilogue. Le prologue a pour but de remémorer les rapports entre le poète et les hommes depuis un mythique âge d'or jusqu'à nos jours où : « Aujourd’hui, l’Action et le Rêve ont brisé Le pacte primitif par les siècles usés Et plusieurs ont trouvé funeste

les prussiens, partage la mystique de la | | |Commune. Dans la société moderne, il ne voit que des motifs de fureur. | | |Comme Baudelaire, il aspire aux révélations d’un monde inconnu. Il se reconnaît poète et | | |veut remplir son devoir social par la recherche de l’inconnu par tous les dérèglements des| |

(ou Petits Poèmes en prose) Nom de l’auteur: Charles Baudelaire (1821-1867) Date: 1869 Mouvement littéraire: le romantisme, symbolisme Registres principaux: lyrique, pathétique et tragique Résumé de l’oeuvre: (5 à 10 lignes) Le Spleen de Paris (spleen= mélancolie profonde) est une oeuvre posthume de Baudelaire dont font partie «L’horloge» et «Enivrez-vous» par exemple. C’est un recueil de 50 poèmes qui ce termine d’un Epilogue, l’ensemble précédé d’une lettre ouverte à Arsène Houssaye

Baudelaire, Le Spleen de Paris Titre du poème | Thème du poème | Visée du poème/Remarque sur le ton du poème | I. L’étranger | Un mystérieux personnage interroge un étranger a propos de ce qu’il aime dans la vie. | L’étranger est amené a réfléchir sur ce qu’il aime dans la vie et fini d’une façon étonnante qui nous amène a la réflexion. | II. Le désespoir de la vieille | Une vielle femme assiste a la naissance d’un enfant ou une comparaison se forme enter ces deux être (sans dents et sans

A une passante de Charles Baudelaire A UNE PASSANTE La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé : comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide ou germe l’ouragan, La douceur qui fascine

sexe Simone de BeauvoirLes Thibault discours de Jaurès Martin du GardMontserrat Scène d’exposition RoblèsLambeaux Charles JulietLa peste extrait CamusLa peste autre extrait CamusLa peste fin du roman CamusL'étranger début du 1er chapitre CamusL'étranger épilogue CamusLa cantatrice chauve scène 1 IonescoLa cantatrice chauve scène 7 IonescoLettre d'adieu ManouchianL'âge d'homme M. LeirisSouvenirs pieux YourcenarNe me quitte pas Jacques BrelL'écume des jours incipit Boris VianEn attendant Godot scène d'exposition BeckettLe