Épithélium

informatif – Sous conditions d’évolution des connaissances et des pratiques – Administration sur prescription médicale et protocoles en vigueur. Laurent GUERREIRO (Infirmier – Montpellier 34) – iaahhh@hotmail.com - Mars 2009 3/6 Digestifs (épithélium digestif) Emesis (nausées, vomissements) Mécanisme (réflexe) fondamental de protection de l’organisme. Peu fréquent chez malade alcoolique et/ou affection ORL. Prémédication (zophren, Emend, corticoides, Anxiolytiques, plitican, …) + Traitements

Question 1 Les productions cornées de la chienne sont : – La peau qui recouvre l'ensemble du corps et est souple , assez fine, plus ou moins grasse (sébum). Sa pigmentation varie selon les races. – Le bord des paupières est en général pigmenté. – La truffe en générale noire et cornée est plus épaisse, elle doit rester souple, épaisse et humide. – Les lèvres et la muqueuse buccale sont en général non pigmentées, elles sont roses. – La muqueuse génitale externe est en général non pigmentée

innervée = la main). - Sensibilité à la douleur = Nocicepteur ou nocirecepteur - Tactile et perception, pression = Mécanorécepteur. - Chaleur = thermorécepteur Annexes de la peau 1 Glandes sudoripares ou sudoral. Structure épidermique = épithélium glandulaire Elle élabore la sueur. Petit glande exocrine en tube qui consiste en un peloton (Glomérule) situe dans la partie la plus profonde du derme. Il en existe deux à cinq millions dans le corps (nombreux aux aisselles, paumes et front).

des ailes et des narines. Mais l’anatomie du nez ne s’arrête pas là, le nez comporte deux muqueuses aux rôles bien précis et différents : -- La muqueuse jaune, joue un rôle sensoriel car elle permet l’odorat. On considère cette muqueuse comme un épithélium car c’est un amas de cellules nerveuses. Ici, ce sont plus précisément des cellules nerveuses spécialisées. Celle-ci est pauvre en vaisseaux sanguins et en glandes mais elle contient la source de l’olfaction : les terminaisons du nerf olfactif,

la zone 18. Nous comprenons mieux maintenant l’importance du contrôle visuel lors des rééducations. LES RECEPTEURS Ceux que nous pouvons utiliser pour l’instant en rééducation sont les mécano-récepteurs. Ils sont nombreux au niveau des épithéliums et des muqueuses et répondent aux changements de pression par phénomène de distension et de compression bien que N. Mei signale des récepteurs tensio musculaires qui pourraient être sensibles aux stimulations des chimio-récepteurs. Dans les rééducations

Fonction sécrétoire de l’épithélium prostatique. • Sympathique: contrôle le muscle prostatique, responsable de l’occlusion du col vésical au cours de l’orgasme et de l’éjaculation. II. Embryologie et histologie de la prostate 1) Développement  E12: épithélium glandulaire de la prostate se développe à partir d’excroissances entoblastiques de la face postérieure de l’urètre prostatique: les bourgeons prostatiques. Stroma et musculature lisse à partir du mésoblaste environnant.  E15: la prostate devient

cérébral Commande automatique  Périphérique: Nerfs périphériquesLES VOIES AERIENNES SUPERIEURES : LA CAVITÉ NASALE Vestibule Choanes  Assurer le passage de l’air et la convection par ventilation  Filtrer l’air inspiré grâce au tapis cellulaire (épithélium composé de cils)  Réchauffer l’air inspiré  Humidifier l’air inspiré o Enrichissement de l’air en vapeur d’eau o Grâce à des muqueuses qui permettent le réchauffement et l’humidification  Inconvénient: première résistance à l’entrée du gaz

constituée de 3 couches différentes superposées , de la surface à la profondeur on décrit : - l’épiderme - le derme - l’hypoderme a. structure de l’épiderme Il constitue la couche la plus superficielle de la peau et la recouvre intégralement. C’est un épithélium de revêtement pavimenteux stratifié ( formé de plusieurs assises cellulaires) kératinisé reposant sur le derme dont il est séparé par la jonction dermo-épidermique ou JDE . Il n’est pas vascularisé mais il est innervé. Les cellules principales de

latéralement du côté du stimulus le plus intense, ils remontent un couloir odorant à la manière d'un chien suivant une piste. Ces narines ne sont en réalité que des sacs (capsules) dont la surface interne représente de nombreux replis tapissés d'un épithélium formé de cellules allongées. Chacune porte un cil récepteur dressé en contact directement avec l'eau et, du coté opposé, une fibre nerveuse reliée au nerf olfactif. Le processus est simple : l'eau entre d'un côté et ressort de l'autre après avoir

important de rechercher par l'interrogatoire les facteurs déclenchant la crise et ou aggravant la maladie. Les Principaux facteurs sont 1. Allergènes   Pneumallergènes : (poussière de maison ; acariens, blattes ; phanères et déjections d’animaux (épithélium de chat ++) ; pollens, moisissures…) Allergènes digestifs : trophallergènes. eX P 1- L’inflammation :  un œdème muqueux o par infiltrat cellulaire (éosinophilique la plupart du temps) o par une extravasation simple  une hypersécrétion : mucus