Épuration des eaux

Contexte général 2.1. Notion d'EIE et aspects législatifs 2.2. Description du processus de production étudié 3. Pollutions potentielles et nuisances 3.1. Effluents solides 3.2. Effluents liquides 3.2.1. Pollution des eaux par les Nitrates 3.2.2. L’Eutrophisation 3.3. Effluents gazeux 3.3.1. Particules 3.3.2. Molécules 3.4. Pollution olfactive 3.5. Pollution sonore 3.6. Trafic routier supplémentaire 3.7. Altération

superficiel..................................... 13 l’eau....................................................................................................................................................13 A.5/6. Incidences indirectes sur les eaux de surface et les eaux souterraines................................................ 13 A.7. Incidences indirectes sur la sensibilité à l’érosion ................................................................................. 13 le sol et le sous-sol ....

attention, représentent une source de pollution qui fait parfois beaucoup de dégâts… Pollution des virus et des bactéries : Les rejets naturels provenant des animaux et de l’homme sont évacués dans le sol ou dans les cours de l’eau. Ils subissent des épurations naturels mais quand ils parviennent trop vite à une= source d’eau, ils peuvent provoquer une pollution microbiologique. Pollution agricole : La concentration des élevages donne un excédent de rejections animales qui s’évacuent dans les cours de

Microbiologie de l’eau = Relations entre le microorganismes et l’eau I- GENERALITES -Planète terre recouverte d'eau pour les 7/10ème de sa surface. L'hydrosphère comprend les océans, les glaciers, les lacs, les fleuves, les nappes souterraines et les eaux atmosphériques. -Microbiologie -Microbes -Sciences des différents microbes Remarques ; Le pouvoir de séparation de l'œil étant estimé à 100 µm à une distance de 25 centimètres. En dessous de cette taille qu'un être est considéré comme étant microscopique

tous les conflits armés depuis la fin de la seconde guerre mondiale. La raison principale de cette situation catastrophique est la pauvreté. Nombre de population ne disposent pas d'eau potable, les aménagements indispensables aux traitements des eaux usées et à la fabrication de l'eau potable étant trop coûteux, ni même des soins que ces affections nécessitent, les infrastructures médicales n'étant pas suffisantes. Cependant, avec de simples mesures d’hygiène, la plupart de ces morts pourrait déjà

technologiques. Ils apprennent à réaliser des techniques d’observation, de mesure et d’analyse, de fabrication pour différents produits de la santé (antibiotiques, bilan sanguin…), de l’environnement (contrôle de l’air, épuration des eaux…), des bio-industries (produits alimentaires, produits pharmaceutiques, biocarburants…), des industries de la chimie (produits cosmétiques, pharmaceutiques…). Dans le cadre de la réforme du lycée, le bac STL se réorganise autour de deux spécialités

par les collectivités locales ou l’état. [ce qui permet à l’eau d’entrer dans le sol, est la couche végétale] Conclusion : Zones humides n’ont pas des vocations naturalistes. Joue rôle dans l’approche fonctionnel des écosystèmes. - Epuration de l’eau, stockage, limitation des crues, réalimentation des nappes phréatiques, maintien des berges… Leurs destructions nécessitent alors la création d’infrastructure artificielle extrêmement coûteuse pour la société. Fondamentale d’envisager

l’unique vestige à la limite nord-est de la plaine de la Mitidja autrefois marécageuse. L’embouchure de l’oued est barrée par un cordon dunaire qui forme une barrière naturelle séparant le lac de la mer. Dans les années 1950, une digue retient les eaux de l’oued, favorisant le maintien d’un plan d’eau permanent d’une superficie d’une centaine d’hectares pour les besoins en irrigation de l’agriculture coloniale. Entre le barrage et le cordon dunaire s’étend un marais drainé. Il est accessible à l’ouest

H2S (20 à 5000 mg/m3) et de H2O, N2 et O2 (< 1%) 1000 m3 biogaz = 7000 kWh = 0,65 Tep 1000 m3 CH4 = 9900 kWh = 0,85 Tep gaz saturé en eau comprenant des impuretés (Cl2, H2S, O2 essentiellement)  mais…  Biométhane : biogaz ayant subi une épuration poussée en vue d’être injecté dans les réseaux de gaz naturel ou d’en faire du carburant  Voies de production :    « naturelle » (marais) captage en ISDND (décharges) contrôlée en méthaniseur (déchets fermentescibles humides : déchets agricoles

œuvre d'une réaction colorée et d'un dosage en spectrophotométrie d'absorption moléculaire. Elle permet de doser des concentrations faibles pour les eaux de consommation et les eaux de rivières. selon la norme (NF T 90 015-1) unité : en mg/l NH4 Une deuxième méthode de dosage permet de doser des concentrations plus importantes notamment dans les eaux industrielles ou résiduaires en mettant en œuvre un dosage volumétrique après entraînement à la vapeur en milieu basique. L'analyse se poursuit par